Le 9 septembre 2019, EDF a informé l’ASN d’un écart concernant la fabrication d’équipements sous pression nucléaires installés dans ses réacteurs, principalement des générateurs de vapeur. Lors du traitement thermique de détensionnement appliqué aux soudures réalisées pour assembler entre eux les composants de ces équipements, l’intervalle de température requis n’a pas été respecté sur l’ensemble de la zone à traiter.
L’ASN soumet à la consultation du public son projet de position sur les orientations de la phase générique des quatrièmes réexamens périodiques des réacteurs de 1300 MWe exploités par EDF.
Retrouvez l'intégralité du communiqué de presse publié par le Haut Comité pour la Transparence et l'Information sur la Sûreté Nucléaire (HCTISN)à l’issue de la conférence de presse conjointe
Les personnes et les établissements recevant du public (ERP), dont les établissements scolaires, situés dans un rayon de 10 à 20 km autour d’une des 19 centrales nucléaires françaises, recevront dans les prochains jours un courrier des pouvoirs publics leur permettant de retirer gratuitement leur(s) boite(s) de comprimés d’iode stable dans les pharmacies participant à l’opération.
Le fonctionnement des réacteurs nucléaires pendant les périodes de canicule est pris en compte dans leur démonstration de sûreté. Les températures considérées sont régulièrement réévaluées, notamment à l’occasion des réexamens périodiques, pour prendre en compte les évolutions climatiques.
Les réacteurs nucléaires de « première génération » d’EDF de type « uranium naturel-graphite gaz » (UNGG) ont été arrêtés entre 1973 et 1994. Le combustible, qui représentait la quasi-totalité du risque, a été évacué. Les installations n’ont été que partiellement démantelées.
Par décision du 25 juin 2019, l’ASN a prescrit à EDF le renforcement complémentaire d’une portion de la digue du canal de Donzère-Mondragon protégeant la centrale nucléaire du Tricastin et la surveillance de cette portion de digue.
A l’occasion de la parution du rapport de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) sur l’état de sûreté nucléaire et de la radioprotection en France, la division territoriale de Lyon de l’ASN présente les conclusions des actions de contrôle qu’elle a menées tout au long de l’année 2018 en région Auvergne-Rhône-Alpes.
A l’occasion de la parution du rapport de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) sur l’état de sûreté nucléaire et de la radioprotection en France, la division territoriale de Caen de l’ASN présente les conclusions des actions de contrôle qu’elle a menées tout au long de l’année 2018 en région Normandie.
A l’occasion de la parution du rapport de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) sur l’état de sûreté nucléaire et de la radioprotection en France, la division territoriale de Caen de l’ASN présente les conclusions des actions de contrôle qu’elle a menées tout au long de l’année 2018 en région Normandie.
EDF a déclaré en 2017 un événement significatif pour la sûreté portant sur l’absence de démonstration de résistance au séisme des ancrages dans le génie civil de systèmes auxiliaires des groupes électrogènes de secours à moteur diesel (diesels de secours) de de ses réacteurs électronucléaires de 1300 MWe. L’ASN avait classé cet événement au niveau 2 sur l’échelle INES.
L’ASN a décidé de modifier le calendrier de mise en service des groupes électrogènes à moteur diesel d’ultime secours (DUS) compte tenu des difficultés rencontrées par EDF lors des opérations de construction.
Dans le cadre de la concertation en cours sur le quatrième réexamen périodique des réacteurs de 900 MWe, l’ASN livre sa première analyse de la note de réponse aux objectifs transmise par EDF. Cette note détaille les contrôles et les modifications qu’EDF prévoit de mettre en œuvre sur ses réacteurs pour répondre aux objectifs du réexamen.
Le 29 juin 2018, le Président de l’ASN, Pierre-Franck Chevet, a accueilli, une délégation de sept membres de l’Autorité de sûreté nucléaire britannique (ONR) conduite par son inspecteur en chef, Mark Foy.