Demande d’autorisation de modification relatif aux rejets du site de Flamanville

Bonjour,
ce genre de demande repose sur des études d'impact (ou, pour le cas présent, une portion d'étude d'impact) supposées démontrer que l'exploitant maîtrise les effets de ses activités sur l'environnement. Or, en consultant les lettres de suite mises en ligne, on apprend que des inspections menées par l'ASN depuis 2013 ont démontré que le réseau de collecte des eaux pluviales est défaillant (portions de réseau obstruées ou désolidarisées).
Cela remet donc en cause le discours d'EDF, contenu dans l'étude d'impact initiale, selon lequel le réseau permet de collecter les eaux pluviales et les traiter, car manifestement cela fait longtemps que le réseau est dans cet état, ce qui n'a pas empêché EDF de prétendre dans son étude d'impact qu'il est opérationnel. Dans le cas présent, le sujet n'a pas grande importance comparé aux rejets radioactifs, même si on peut se poser des questions sur ce qui adviendrait des eaux utilisées pour éteindre un incendie et qui ne pourraient pas être contenues correctement et pollueraient donc les sols. En revanche, ce simple exemple conduit à se demander s'il s'agit d'un cas isolé ou si l'étude d'impact contient d'autres affirmations erronées. Dans ce cas, comment faire confiance?
Je pose donc une question à l'ASN : comment vous assurez-vous de la véracité des hypothèses de base des études d'impact? Le cas cité ci-dessus démontre que la manière dont vous délivrez des autorisations manque de rigueur, si vous avez autorisé la création de l'EPR sur la foi d'une étude d'impact contenant des erreurs (au mieux).
Cordialement,

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• La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable! Or,elle n'a pas les caractéristiques requises: rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale! Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l'usine Creusot Forge d'AREVA n'était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté! C'est pourtant là que les pièces de l'EPR ont été fabriquées! Ils ont laissé faire dans le silence... comment leur faire confiance? Les intérêts de l'industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations!
La cuve ne doit pas être qualifiée avec l'acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir!
Je n'accepte pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté! Nous, citoyens français, n'avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d'EDF et d'AREVA.

• La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.