Projet de décision de l’ASN fixant des prescriptions relatives aux modalités de prélèvement, de consommation d’eau et de surveillance dans l’environnement, durant la réalisation des essais périodiques du circuit d’eau de nappe de l’INB n° 67

Le niveau minimal de sûreté des installations nécessite un respect stricte du cahier des charges et des normes en vigueur.
Il est avéré que ces conditions minimales ne sont pas réunies pour la construction de l'EPR de Flamanville en particulier et pour d'autres EPR en construction.
Les mêmes défauts de fragilité potentielle de certaines zone du couvercle et du fond de cuve pré-existe, ils étaient prévisibles, puisque la capacité de l'usine du Creusot à réaliser ces éléments sans failles, était déjà mise en cause, ce qui n'a pas empêché que le feu vert de construction leur soit accordé pour autant, C'est inadmissible, scandaleux, et condamnable.
Les mêmes carences de défaut de la qualité des métaux mis en œuvre sont donc avérés sur le couvercle et dans le fond de cuve, si pour le couvercle il est stipulé que pour que l'ASN autorise sa mise en fonction, celui ci doit être changé après 7 ans d'utilisation, ce qui est déjà une prise de risque énorme et inconcevable, pour le fond de cuve RIEN, deux poids deux mesures, inégalité de traitement, inacceptable.

Dans 6 mois nous sera transmis un rapport de surveillance de la nappe d'accompagnement du DRAC, qui permettra de vérifier l’absence d’incidence significative du prélèvement dans cette nappe. Les conclusions du rapport de dans 6 mois sont déjà rédigés. De qui se moque-t-on ? 2000m² jour sans incidence significative... Voilà les corrections qui sont apportées sur nos installations nucléaires après Fukushima ! Stop à la recherche sur le nucléaire et aux installations d'un autre temps !

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Ca commence à Arlit (Niger) avec une irradiation sur plus de 80 km et ça veut finir à Bure (55) - Bure ou le weekend du 15 août la police a blessé plusieurs manifestants pacifiques avec des grenades entre autre de désencerclement (faux bruits transmis par internet d'après la préfecture de la Meuse !) - Ca suffit ! Ras le bol du fascisme nucléaire ( on se souvient de la mort de Michalon à Creys Malville en 1977) , et l'histoire des cuves du Creusot avec des défaillances n'en ai qu'un aléas de plus. Stop à cette pompe à fric, sûrement très rentable pour les actionnaires des investisseurs.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.