Projet de décision de l’ASN relative au réexamen périodique de l’installation nucléaire de base no 80 (Atelier « Haute activité oxyde ») exploitée par AREVA NC sur le site de La Hague (Manche)

NON
La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

En conclusion, je n'accepte pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! nous, moi, mes enfants, la population Française, la population Européenne n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

NON
La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

En conclusion, je n'accepte pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! nous, moi, mes enfants, la population Française, la population Européenne n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Bonjour,

J'aimerai quand même rappeler que les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent certainement pas passer AVANT la protection des personnes et de la population. Ceci comprend bien évidement la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces défectueuses ou comportant des anomalies. Les citoyens français n'ont pas à payer le prix des erreurs commises par EDF ou AREVA, quelles soient stratégiques ou techniques. Prenons par exemple la cuve, pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit impérativement être impeccable. Il ne saurait en être autrement. Or, elle ne présente pas les caractéristiques requises pour être totalement fiable. En effet, rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale. Absolument rien. La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant bien à cet endroit que les pièces de l’EPR ont été fabriquées. Les dirigeants ont laissez courir... dans le silence le plus total. Comment leur faire confiance ? Le nucléaire n'est pas un jeu. Ce chantier doit être arrêté !

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

Ne donnez pas votre feu vert à l'EPR de Flamanville.
C'est le moment de changer d'orientation et ed partir sur les énergies renouvelable, le nucléaire est beaucoup trop dangereux, sans compter les déchets dont on ne sait pas quoi faire, il est temps d'investir dans d'autres choses.
La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA

Réagir avant l'irréparable
La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale ! La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel.
L’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées !
Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

Au matériel défectueux s'ajoute la question des conditions météorologiques insuffisamment prises en compte, soulignée dans le rapport de l'ASN.
Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Le chantier doit être arrêté !

Réagir avant l'irréparable
La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale ! La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel.
L’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées !
Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

Au matériel défectueux s'ajoute la question des conditions météorologiques insuffisamment prises en compte, soulignée dans le rapport de l'ASN.
Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Le chantier doit être arrêté !

Comment accepter le moindre risque concernant une centrale nucléaire?
Il est certain que les conséquences d'un accident sur notre territoire seraient catastrophiques pour les populations (des milliers de personnes atteintes, des dizaines de milliers déplacées) et pour l'économie (la France ruinée pour des décennies).
Malgré ce risque hors de proportion avec l'intérêt énergétique (le coût du nucléaire de plus en plus élevé) nos dirigeants continuent de nous imposer aveuglément cette solution. STOP!
La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Une énergie nous obligeant à penser à la gestion des déchets qu'elle génère en milliers d'années me semble impossible à sécuriser. J'aimerais qu'une transition s'opère vers une société moins consommatrice d'énergie et vers la fin de l'usage du nucléaire. Si cette évolution n'est pas immédiatement envisagée, j'aimerais au moins que les pièces constituant les centrales ne soient pas défectueuses.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.