Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

La cuve du réacteur étant évidemment une pièce maîtresse, il serait inadmissible de mettre la centrale en service en l'état. Il faut considérer également que cette centrale devrait arriver en fin de vie après l'ultime choc pétrolier qui se profile à l'horizon 2050, lorsque les réserves du Moyen-Orient seront épuisées. On peut douter des capacités de la France à gérer un incident nucléaire dans le contexte de crise industrielle majeure qui s'annonce. Mieux vaut donc prévenir que guérir!

Le risque étant connu malgrès un rapport qui se veux rassurant, celui ne peux être pris.
Souhaitez-vous être les complices de projets dangereux et potentiellement destructeurs ?
Si un drame survenait, vous-en seriez les principaux acteurs de part votre autorisation. Vous auriez tout comme EDF et Areva des comptes à rendre aux populations qui n'ont malheureusement pas leurs mots à dire (cette consultation n'y change strictement rien puisque trop peu gens en sont informé).
La décision ce doit d'être sage, si l'enjeu principal est bien la sécurité des populations et non celle des finances de certaines entreprises.

Le risque étant connu malgrès un rapport qui se veux rassurant, celui ne peux être pris.
Souhaitez-vous être les complices de projets dangereux et potentiellement destructeurs ?
Si un drame survenait, vous-en seriez les principaux acteurs de part votre autorisation. Vous auriez tout comme EDF et Areva des comptes à rendre aux populations qui n'ont malheureusement pas leurs mots à dire (cette consultation n'y change strictement rien puisque trop peu gens en sont informé).
La décision ce doit d'être sage, si l'enjeu principal est bien la sécurité des populations et non celle des finances de certaines entreprises.

NON
C'est trop risque ; qu'est devenu le principe de précaution ?

cette cuve est UNE PIÈCE ESSENTIELLE du réacteur, donc sa QUALITÉ DOIT ÊTRE IRRÉPROCHABLE ! elle n'a pas les caractéristiques requises et le chantier doit être arrêté immédiatement !
De plus, aujourd'hui il semble évident qu'AREVA était parfaitement au courant ET CELA depuis la date de la commande ( peut être 2005 / 2006..... je ne sais) que l'usine chargé de la fabrication n’avait pas les moyens, n'avait pas la technicité pour fabriquer cette CUVE en respectant le cahier des charges !
C’est un comble « ON NE JOUE PAS AVEC LA SÉCURITÉ DES FRANÇAIS ! »
Je demande l'ARRET IMMÉDIAT de ce chantier

NON !
La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

Si j'ai connaissance d'une anomalie sur le couvercle de ma cocotte minute, je ne la jette et je la change pour un matériel sécurisé. La cocotte minute de Flamanville risque d'occasionner de gros dégâts humains et environnementaux. Je ne comprends pas que des techniciens, ingénieurs et d'une manière générale des personnes dites "responsables" prennent ce risque majeur.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.
L'ASN a laissé monter une cuve defectueuse et maintenant elle fait du cinéma via ce site pour faire croire que le travail est bien fait. Ce sont juste des clonws au service d'EDF.

La cuve étant la pièce essentielle du réacteur, sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté.. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA

En me joignant à l'appel de Greenpeace :

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.