Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

A partir du moment ou l'on nous annonce que des défauts existent sur les éléments et infrastructures, il est essentiel et nécessaire de dire STOP.

Quand un modèle de voiture présente un défaut, le constructeur procède à un rappel, parfois gigantesque, des véhicules concernés afin d'assurer la sécurité des conducteurs actuels et de rassurer les autres, et ce même si le défaut est mineur. Pourquoi donc continuer coûte que coûte la construction de ce réacteur, alors même que si un accident venait à arriver, il y aurait un nombre de victimes bien plus grand que de simples accidents de voitures ?

On voit ici une certaine logique, le projet qui ne devait coûter "que" 3 milliards d'euros en coûte désormais plus de 10, et la facture s'allonge de jour en jour. Alors plutôt que d'engager plus de frais maintenant, on reporte en croisant les doigts et en se disant que la prochaine génération n'aura qu'à s'en débrouiller, après tout.

Dans l'état actuel des choses, il est indispensable que l'ASN stoppe le chantier et que les pièces à défaut soit changées. Nous, Français, devons avoir un droit de regard, au travers de l'Etat actionnaire, sur les décisions folles d'EDF et d'AREVA et de leur vision à court-terme.

De manière générale, il nous sortir du nucléaire au plus vite car il n'est pas une solution d'avenir. Il ne règle aucune question : ni l'indépendance d'approvisionnement, ni la sûreté des installations, ni la gestion des déchets, ni les coûts financiers.

Arrêtons l'EPR de Flamanville, arrêtons cette folie.

Bonjour,

concernant l'EPR, si les défauts de la cuve tels qu'ils ont été annoncés dans les médias s'avèrent véridiques, alors, oui, le chantier doit être arrêté et une reflexion sur sa poursuite doit être entreprise et sans tomber dans le piège du biais des coups irrécupérables (cf vidéo: https://www.youtube.com/watch?v=GCmfXMMhRzk); biais que les directions d'EDF et d'Areva semblent largement partager. Si par ailleurs, ces défauts étaient connus d'EDF et d'Areva depuis 2005 comme certaines sources l'affirment et qu'elles ont continuées le projet en tentant de les camoufler, alors ces entreprises devront être sanctionnées.

Concernant, l’avenir du nucléaire en France, je pense que s’il doit subsister, c’est uniquement à des fins de recherche et en très petite quantité. Les coûts du nucléaire sont pharamineux et seraient sans doutes mieux réinvestis dans les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique. Par ailleurs, la France importe la totalité (ou du moins une très grande partie) de l’uranium - dont les ressources sont limitées - nécessaire au fonctionnement des centrales. Nous sommes donc en situation de dépendance totale d’autres pays; il s’avère en plus que le comportement de la France ou de ses entreprises dans ses pays est franchement discutable.

En conclusion, le sortie progressive du nucléaire au profit du renouvelable et de l’efficacité devrait permettre d’accéder à une véritable autonomie et sécurité énergétique en même temps qu’elle assainirait certaines de nos relations diplomatiques. La sortie apparaît donc comme apportant nettement plus de bénéfices que le maintien dont les coûts humains, environnementaux, matériels, financiers et diplomatiques sont déjà très lourds et ne risquent pas de baisser.

Cordialement.

Ce que fais Areva est n'importe quoi ! Il faut stopper tout cela. Même le conception de l'EPR est un exemple erreur, repartir sur des bases anciennes pour les complexifier tellement que tout le projet et inadéquat.

Je suis en accord avec les propos de Greenpeace, je reporte donc ici leur dire sur ce sujet :

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

Bonjour,
Ce projet a déjà couté énormément et il est aujourd'hui important de réfléchir à une conversion écologique dans les énergies renouvelables qui pourraient sur moyen terme être moins couteuse que les énergies issues du nucléaire. Elles sont également bien moins dangereuses.
De plus, plusieurs points s'opposent à la poursuite de l'EPR :
La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Cet EPR nous a déjà coûté assez cher, épargnons-nous les coûts d'une catastrophe nucléaire. En l'état actuel des choses rien ne garantit la sécurité de cette installation et le contrôle semble être inopérant alors même que l'installation n'est pas en service; que saurons nous des dysfonctionnements lorsque l'EPR sera lancé ?

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.