Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Les problèmes générés par ce chantier, et bien évidemment les surcouts qui vont avec, sont un argument de plus pour investir dans les énergies renouvelables, sures, fiables, et dont les projets restent moins couteux et moins sujet aux factures à rallonge. Et contrairement à ce que laisse entendre les partisans du nucléaire, un réacteur de moins ou de plus ne fait actuellement pas grande différence, puisque jusqu’à preuve du contraire il n’y a pas eu de coupures de courant lors de l’arrêt de plus d’un tiers des réacteurs français pour des « contrôles de résistance » en octobre 2016. La route vers la fin du nucléaire sera longue, mais mettre un arrêt aux travaux de l’EPR de Flamanville sera un premier pas pour un transfert des financements vers le renouvelable et vers la transition énergétique.

La prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies est trop énorme pour jouer aux probabilités. Le chantier doit être arrêté et n'aurait pas dû voir le jour quand on pense à tout ce qui peut être fait niveau développement des énergies durables et non polluantes à moindre frais qu'une technologie dangereuse !
Je suis citoyenne française et moi et mes compatriotes ainsi que tous les citoyens du monde, n’avons pas à payer (dans tous les sens du termes) le prix des erreurs (volontaires il semblerait, où est l'erreur ?) stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA
Merci donc de ne pas faire n'importe quoi !!!

Outre le lobbying assez important afin de spam le coin (avec parfois de jolis copier/coller : https://www.greenpeace.fr/incroyable-on-demande-avis-nucleaire/), l'arbitrage doit se faire à la lumière d'une certaine réalité. S'il est impossible de compenser par des energies vertes ou par un changement de mode de vie, il est nécessaire de renouveler les réacteurs. La livraison doit donc se faire dès que de conditions favorables sinon optimales sont atteintes, afin de permettre la fermeture de réacteurs en bout de course.

Honteux, dangereux, inadmissible et irresponsable!!!

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

Je ne suis pas ingénieure en centrales nucléaires, pourtant, je m'estime capable de pouvoir porter un avis sur la question de son utilisation et de la quantité de risque qu'on peut se permettre de prendre pour exploiter ce type d'énergie. En effet, moi comme le reste des 67 millions de français(e)s plus les populations des pays voisins seront directement concerné(e)s, durement touché(e)s en cas d'accidents causé par l'erreur de jugement ou le pari perdu des quelques un(e)s qui ont le pouvoir de décision en la matière.
Si mon avis compte pour quelque chose, il me semble que c'est une idée catastrophique que de vouloir faire usage d'une cuve défectueuse et dont la sécurité/résistance n'est absolument pas assurée. Je suis contre la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies et la mise en otage de toute une population qui n'est même pas préparée à réagir en cas d'accident nucléaire.
Le fait que quelques personnes choisissent de prendre le pari que ça tiendra le coup, c'est assumer que nous ne sommes pas en démocratie et qu'un petit nombre prends une décision, un risque qui peut avoir des répercussions monstrueuses sur le plus grand nombres. La sécurité de tous avant les intérêts économiques s'il vous plaît!

Je trouve scandaleuse et irresponsable la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté !
Nos impôts n'ont pas vocation à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Il semble inacceptable que l'EPR soit mis en marche alors que la cuve n'est pas aux normes de sécurité ! La cuve est la pièce la plus importante, comme la plus dangereuse. En étant incapable de surveiller si elle reste intacte, et ne se brise pas, il faut qu'elle soit sans défaut. Comment expliquer qu'Areva et EDF aient laissés l'usine Creusot Forge faire la cuve, alors qu'ils savaient que l'usine en n'était pas capable ? Tout simplement parce que l'usine Creusot Forge appartient à Areva, ce qui montre bien que ces entreprises ne se soucient guère de la sécurité de la population quand il s'agit de servir leurs intérêts économiques. C'est donc a l'ASN d'assurer cette protection de la population contre le risque des centrales nucléaires. Il est inadmissible que l'ASN laisse l'EPR se construire avec une cuve dont l'acier n'est pas à la hauteur. Le principe de précaution doit prévaloir sur les intérêts économiques de ces entreprises ! En vue des anomalies, le chantier doit être arrêté pour que ce ne soit pas les français et les habitants des pays voisins qui paient le prix de ces décisions !

Le problème des aciers est un problème technique, le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant mais c'est aussi et surtout un problème de confiance en AREVA et EDF qui étaient parfaitement au courant dès 2005 que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté.
Pourtant le choix de cette filiale d'AREVA a été maintenu...pour les avantages économiques qu'il générait pour AREVA et au détriment de la protection des populations.
Il est inenvisageable et inconcevable qu'un quelconque risque puisse être couru par l'usage de pièces, dont les capacités et qualités techniques sont insuffisantes et donc dangereuses. Le principe de précaution doit ici être mis en avant. Il en va de la sécurité et de la santé des populations.
Il serait plus raisonnable d'abandonner l'EPR et d'investir dans les réseaux intelligents et les technologies de stockage des renouvelables.
Évidemment les pertes financières sont énormes mais il est grand temps d'arrêter cette gabegie et cette hémorragie financière qui a déjà tant couté aux citoyens que nous sommes. Paie d'argent n'est pas mortelle...alors qu'une fuite radioactive l'est !!

Les catastrophes de Tchernobyl et de Fukushima n'ont donc pas servi de leçon ?
L'ASN autorise la mise en service du réacteur EPR de Flamanville, malgré les malfaçons de l'acier composant la cuve du réacteur, pourtant jugée "apte au service". Et ceci à la suite de rapports d'experts émanant d'AREVA et d'EDF, qui ont toute chance d'être aussi objectifs qu'une étude de Servier sur les effets secondaires du Médiator.
Dans le domaine de la sécurité du nucléaire, il n'y a même pas à penser en termes de probabilité, même minime, qu'un accident puisse se produire : celui-ci serait tellement grave qu'il ne doit pas se produire. Point Barre !
Et toute décision autre que l'interdiction pure et simple serait criminelle, surtout si les raisons inavouées en sont les intérêts économiques d'EDF et d'AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.