Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

A la gabegie du nucléaire, on associe maintenant l'incompétence et l'amateurisme.
Le nucléaire engouffre des sommes folles d'argent publique (pour la conception des EPR et pour la surveillance des déchets nucléaires).
Comment développons nous les futurs énergies propres de demain ?
Les mines d'uranium mondiales nous offre une perspective d'énergie nucléaire de combien d'années... 200 ans ?
La surveillance des déchets nucléaires c'est 100 000 ans voir 1 000 000 d'années pour le plutonium.
Quelle langue parlerons nous sur terre dans 100 000 ans pour prévenir les futures générations de ne pas creuser à Bures ?
Si le couvercle défectueux du réacteur rend l'âme (car on va l'imposer quoi qu'il arrive au nom du sacro-saint principe de l'argent déjà investit et donc qu'on ne peut pas faire machine arrière) quels seront les impacts sur les populations et sur quel périmètre ?

je voudrais bien que M. Chevet nous explique l'intérêt d'ouvrir cette "consultation du public" où par définition 90% au moins des avis proviendront des militants antinucléaires. Un peu de courage monsieur ! Assumez vos responsabilités et vos propos, et vos positions personnelles.

pour ma part je fais confiance aux ingénieurs très qualifiés de l'ASN, de l'IRSN, et aux salariés (ingénieurs, techniciens) EDF et AREVA qui ne sont pas suicidaires, qui travaillent tous les jours sur ces installations, et habitent à quelques km.

laissez les professionnels antinucléaires comme Greenpeace ou Sortir du nucléaire fournir des textes à "copier-coller" ici (amusant de lire les comms au hasard...) et faites votre travail.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

A quel moment, les autorités vont prendre conscience des risques que le Nucléaire fait peser sur l'Humanité ? A-t-on le droit "moral" de poursuivre des activités qui mettent en péril toute une civilisation au prix d'une économie qui ne profite qu'à quelques uns (dont je fais partie car je bénéficie de l'électricité Nucléaire) ?
La poursuite du Nucléaire est une tragédie et l'EPR n'en est que son reflet technique.

Bonjour,
L'ASN, l'IRSN ainsi que AREVA ont réalisé un travail considérable à la suite du constat de ségrégation trop importante de carbone (0,3 à 0,4 % au lieu de 0,2%) de l'acier dans les parties centrales du fond et du couvercle de la cuve de l'EPR de Flamanville. Les centaines d'études et d'essais réalisés sur des couvercles semblables à celui déjà installé montre, selon l'ASN et les groupes d'experts, que le couvercle et le fond ne présente pas de risque de rupture ou d'incident lors du fonctionnement.
J'observe, de plus, que les zones où le taux de carbone est plus élevé ne sont pas soumis à un flux neutronique intense.
Je suis donc tout à fait d'accord avec le projet d'autorisation de l'ASN sous réserve que le couvercle de la cuve soit examiné périodiquement après le démarrage du réacteur. Je suis tout à fait rassuré par la rigueur de l'ASN et l'IRSN.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

depuis 2005, EDF et AREVA étaient au courant que l'usine Creusot forge d'Areva n'était pas en capacité de produire des pièces répondant aux normes de sécurité, cependant c'est bien cette usine qui a été utilisée. Afin de prévenir tout risque de rupture , il est impératif de refuser l'utilisation de pièces portant des anomalies, il semble sage d'arrêter ce chantier qui ne répond pas aux normes de sécurité maximales. Les erreurs d'entreprises ne doivent pas mettre en péril es populations.

Je suis pour l'abandon total du projet car la cuve est la pièce essentielle du réacteur et sa qualité doit être impeccable. En l'état, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence. Je ne leur fais pas confiance pour la suite. Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Je n'accepte pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

La qualité de la cuve, pièce essentielle du réacteur doit être irréprochable. Pourtant, elle n’a pas les caractéristiques requises et rien ne permet d'en surveiller l'évolution. Le risque d’une rupture brutale ne peut alors être prévenu avec certitude.
Cette cuve ne peut être qualifiée avec son niveau de sûreté actuel : le principe de précaution doit s'appliquer !

Comment faire confiance à EDF et AREVA alors qu'ils ont laissé fabriquer des pièces non conformes aux normes de sûreté par une usine dont ils savaient parfaitement, et ce depuis 2005, qu'elle n'en avait pas la capacité (Creusot Forge d’AREVA) ??
La sécurité de la population doit passer avant les intérêts de l’industrie nucléaire !

EDF et AREVA ont commis de lourdes erreurs stratégiques et techniques. Ce n'est pas aux citoyen-nes d'en payer le prix, au risque de leur sécurité. Ce chantier doit être arrêté : les anomalies sont trop graves.

Des normes n'ont pas été respectés lors de la fabrication ce n'est pas la peine d'essayer de faire des tests servant à essayer de démontrer que ces normes ne servaient à rien...juste pour ne pas perdre l'argent des pieces. Les risques sont majeurs et doivent être pris comme tels et tant pis pour la rentabilité d'Areva. L'ASN doit être intransigeant sur la sûreté nucléaire et ne doit pas jouer avec des compromis pour une question de coût ce qui du coup invalide son existence ... je suis contre l'utilisation de la cuve et du couvercle tant que ces pièces ne respectent pas les exigences de départ qui ont été prises sans pression de la part d'Areva... et qui sont le cahier des charges à suivre pour la construction d'un Epr... cela pose aussi une réelle question du coût de cette énergie et de son utilité. Doit on du coup s'en passer ? Si les coûts de production sont plus élevés que les énergies renouvelables oui forcément !

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.