Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Il semble aberrant d'autoriser la construction d'une cuve qui abritera des réactions nucléaires dangereuses alors que celle ci n'est pas sûre. Ce projet est couteux, met en difficultés les entreprises nationales et est un scandale social vu le recours au travailleurs détaché. Il serait peut-être temps d'arrêter cette bêtise de projet pour investir l'argent autrement et mieux. Comme par exemple dans les énergies renouvelable qui, elles, ne risque de tuer personne en cas de défaillance (éolien, solaire, hydrolien, géothermie etc...)

Dans les années 1970-1980, soit au début de l'électro- nucléaire en France, les promoteurs de cette technique (EDF, CEA...) affirmaient que les risques d'accidents majeurs étaient négligeables sur des milliers d'années. Et puis il y eut TMI, Tchernobyl et Fukushima, et nos statisticiens nucléaires ont revus leurs probabilités... Dans ces conditions
Dans ces conditions, j'aimerais bien connaître vos hypothèses de calcul pour évaluer les risques de fissurations... Au regard de vos anciens discours, votre crédibilité est très faible. Mais il est vrai que face aux énormes intérêts financiers en jeu, la future sécurité des populations est négligeable.
J'espère simplement, pour votre confort intellectuel, que tout se passera bien jusqu'au remplacement des éléments douteux.

Je ne comprends pas la pertinence d'une consultation sur ce sujet. La seule question qui vaille est : la cuve et son couvercle ont ils des caractéristiques mécaniques qui permettent de garantir une exploitation sans risque ? Si oui, il n'y a pas de raisons d'interdire l'exploitation, si non, il faut l'interdire.
Il s'agit d'un point qui ne peut être tranché que par des experts, sur la base d'essais et/ou de modèles numériques, et je ne comprends pas ce qui est attendu d'une consultation populaire pour répondre à une question aussi pointue que "l'acier est il suffisamment résistant et ductile pour permettre une exploitation de la cuve" ?

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Un sou est un sou. Un coût est un coût. Etre responsable, c'est répondre de chaque coût. Le coût de la sécurité des populations y compris futures doit être assumé par toute entreprise dans notre pays. C'est pourquoi les réacteurs EPR ne sont pas compétitifs, et vont contre l'intérêt de la France. Produire un nouveau couvercle, le remplacer, serait trop cher. Pour ne parler que de l'économique. On peut aussi se rappeler qu'une anomalie est une anomalie, techniquement. Qu'une radiation est une radiation, et un cancer, un cancer.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

Après les catastrophes de Fukushima et de Tchernobyl, peut-on raisonnablement démarrer un réacteur d'une nouvelle technologie sans avoir toutes les certitudes quand à sa sécurité ? Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. Résultat : le couvercle est certifié non-conforme. Comment peut-on continuer à risquer ainsi un accident nucléaire ? Peut-on faire confiance à ces 2 sociétés pour le démarrage du réacteur ? Stoppez les travaux tant qu'il en est encore temps, cela a déjà couté beaucoup trop cher.