Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Bien que les contre-mesures de surveillance avancées soient validées à travers les différents rapports d'expert, l'avis minoritaire de MM. Marignac et Autret soulève le point important du vide réglementaire et donc du précédent qui serait "créé".
Ces "marges perdues" du point de vue de la résistance de la cuve doivent être présentes pour une bonne raison?
Créer un précédent d'atteinte des marges de sécurité n'apparaît pas souhaitable...

De plus les mesures de surveillance du couvercle ne sont actuellement pas garanties d'un point de vue process et radioprotection des travailleurs, où est le comportement de bon père de famille de l'employeur, qui prévoit des opérations sans pouvoir en garantir la sécurité? C'est très limite d'un point de vue Code du Travail et évaluation des risques.

Après Fukushima, nous avons entendu le "plus jamais ça", donnons-nous en les moyens. Au vu des multiples affaires concernant l'EPR, la confiance est-elle encore de mise? Le doute est permis.

Enfin, j'apprécie d'être consulté sur le sujet, mais au vu des conséquences possibles d'un incident nucléaire, nos voisins européens (ou bientôt "ex" par delà la Manche) ne mérite-ils pas d'être interrogés?
Merci de votre lecture.
PS : La sécurité n'a pas de prix, mais elle a un coût, qui peut-être celui de tout recommencer quand on échoue.

Ce projet est une hécatombe : des années de retards, des malfaçons mettant en péril la sécurité de la population, une explosion du budget, des équipements déjà usés avant d'avoir déjà servit ...
La liste est longue! Cependant, le projet suit son cours.. On parle même d'une livraison du chantier en l'état actuel ! Autrement dit, aucun changements et mises en conformités de la cuve/couvercle ne sont prévu!
Il est aberrant de voir tous ces rapports avec avis négatifs émis par des entités tel que l'ASN ne soit pas du tout pris en compte.

On sent très bien qu'AREVA se démène pour faire aboutir son projet bien que cela la mène droit au mur. Et ce combat, elle le mène depuis le début! Je ne parlerais même pas du fait qu'ils savaient pertinemment que l'entreprise qui a réaliser la cuve serait en incapacité de respecter les exigences de fabrication. Non, je vais prendre un autre exemple très concret qui m'a été rapporté par un manœuvre sur site et confirmé par un cadre d'AREVA. Le contrat encadrant la prestation des différentes soudures prévoyait que CHAQUE soudure pouvait être raté 2 fois et que à partir du 3ème avis défavorable, la prestation serait au frais de l'entreprise.
Autrement dit, l'entreprise a en profiter pour ce faire payer 3 prestations de soudures au lieu d'une. (Comment lui en vouloir? c'est une aubaine pour elle ! Possibilité de former ses jeunes novices sur du concret tout en étant payé !)
Et ce genre d’aberration dans les contrats, il y en surement plein! A mon humble avis, je pense que AREVA ne possédait (et même encore aujourd'hui) pas des ressources nécessaires pour mener à bien ce projet titanesque et que très vite ils on tété dépassé par les événements. Mais l'entêtement de l'entreprise à fiat que nous en sommes arrivés à ce stade là.

Pour finir, j'entend bien que les sommes engagées dans ce projet sont colossales et que pour ses défenseurs, il serait déraisonnable d'arrêter le chantier. Mais si on fait le constat aujourd'hui : on a dépensé quasiment 10 milliards sur ce projet : ces fonds sont dans tous les cas engagés et ne peuvent plus être récupéré. Actuellement, le projet est fortement compromis pour des raisons de sécurité. Est-il raisonnable de continuer de dépenser dans un projet qui ne nous mènera au mieux à plus de pertes d'argent ou au pire à un accident? Et si on réinjecté cette argent d'autres projets énergétiques, plus durable et plus sur?
Pour ma part, c'est clair : l'EPR appartient au passé et il est grand temps d'arrêter de s'entêter à poursuivre dans cette voie.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable . Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable . Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

3) ETAPE 3 : vous pouvez ENFIN participer. Rendez-vous tout en bas de la page de consultation et laissez votre commentaire ! Nous devons rappeler à l’ASN les points suivants :

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

* La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
* Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
* La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
* Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

Elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.
You lie ! We Die !