Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Je n'accepte pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Ce n’est pas parce qu’on nous complique la tâche qu’on ne va pas le faire : nous avons jusqu’au 12 septembre pour faire entendre nos voix et refuser le danger que nous impose EDF avec ses centrales nucléaires et l’EPR.

Merci !

Participer à la consultation publique

Il y aurait un risque supplémentaire sur la structure même de l'installation, mais ça ne serait pas si grave ?
Nul ne peut affirmer sérieusement qu'il n'y a AUCUN risque, et s'il y a un risque, celui-ci est potentiellement catastrophique pour notre pays. Il me semble donc impensable de continuer dans ces conditions. Les accidents nucléaires aux USA, en URSS et au Japon n'était forcément pas prévu, et on explique toujours a posteriori... mais a posteriori ! Qui peut sérieusement affirmer que toutes les conditions seraient toujours assurées pour la sécurité de l'installation ?
Encore une fois : la France peut se passer de cette installation de production électrique, le risque est gigantesque - aussi faible statistiquement soit-il - il ne faut donc pas courir ce risque.

je suis très étonné de cette consultation.... soit les spécialistes ont des doutes et cherchent à faire avaliser, ou pas, par le public la décision de mise en service d'un équipement ne présentant pas toutes les garanties de sécurité (toutes choses égales par ailleurs..) soit ils sont certains de leurs calculs, et ils prennent leurs responsabilités... devant la Nation et ... l'Histoire.
Celà dit, l'ingénieur que je suis ne signerait surement pas pour la mise en service de l'EPR en question.

S'il existe un risque, même le moindre, ne le tentons pas. Ne jouons pas avec le feu. Ne jouons pas la sécurité des populations sur un coup de poker.En cas d'incident nucléaire majeur, nous sommes en France très mal préparé : ce sera catastrophique. Le nucléaire est déjà risqué par essence, même si nos centrale sont les plus sûre au monde, je salut au passage les techniciens et techniciennes qui dans nos centrale depuis des décennies font un excellent travail. J'en profite également pour dire que les pièces usagés qui devaient être changées depuis un moment doivent l'être au plus vite. La sagesse selon moi et l'abandon du nucléaire à long terme.

Avis défavorable
a cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA. e la cuve

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Je viens de consulter les messages écrits sur cet avis par 99 % de gens totalement incompétents en métallurgie et ignorant l'ensemble des contrôles faits par AREVA sur les pièces sacrificielles conformément au programme approuvé par l'ASN et l'IRSN.

Comment comparer cette avalanche d'inepties aux avis éclairés donnés par les meilleurs métallurgistes Français et parfois étrangers.
Pourquoi l'ASN se sent-elle obligée de lancer ce genre de consultation où l'on sait par avance que les réponses seront téléguidées par les organisations antinucléaires et qui utilisent des pseudos pour signer leurs réponses?
Qu'en retiendra -t-on?
Fait-on la même consultation quand un nouveau traitement oncologique est mis en oeuvre ?
C'est vraiment une façon totalement démagogique de consulter les citoyens ! Et l'ASN a suffisamment d'éléments en provenance des meilleurs spécialistes pour prendre sa décision.
Jean Fluchère-Ancien directeur du CNPE BUGEY

Compte tenu de la qualité des investigations menées sur la qualité de l'acier de fond de cuve et du couvercle de l'EPR par les exploitants et les autorités, je pense qu'il est temps de donner un accord pour la poursuite du projet.
Les éléments concernant le suivi de ces équipements sont suffisants pour garantir la sûreté du réacteur.
D'autant que l'ASN appuyée par l'IRSN sera, à mon sens et comme elle l'a déjà démontrée, particulièrement intransigeante dans les années à venir lors de ces inspections.