Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Le feuilleton sur la cuve de l'EPR dure depuis avril 2015 voire depuis plus longtemps quand on regarde en détail bon nombre de courriers de position sur les sous-traitants d'EDF. Chacun savait dès 2011 que quelque chose n'allait pas... mais l'application toute relative de la Loi TSN empêchait d'accéder à une information solide.
Il faut donc attendre 2015 et la longue série de révélation qui a suivi en 2016 pour mesurer l'ampleur du problème. Un problème de taille que d'aucuns pourraient qualifier de scandale... puisqu' EDF aurait commandé à AREVA des calottes de cuve à une entreprise dans l'incapacité technique, organisationnelle et humaine de les réaliser correctement. Mais seulement les calottes puisque la réalisation des viroles a été confiée à des gens sérieux...
Toujours est-il qu'aujourd'hui on se retrouve avec une cuve irrégulière sur les bras qui de surcroît a été assemblée de manière anticipée par un maitre d'ouvrage qui se doutait de quelque chose à en croire l'audition de M. Minière par l'OPESCT en octobre 2016. Non seulement la cuve a été installée et liée au circuit primaire mais EDF a livré en grande pompe le couvercle après le début du programme d'essais autorisé par l'ASN...
Et l'on se retrouve avec un projet d'avis qui anticipe une demande de dérogation du maitre d'ouvrage dans le cadre de la procédure d'autorisation de l'EPR... alors qu'on pouvait attendre une démarche plus robuste qui se fonde sur la réglementation applicable de 1999 et 2005 aux ESPN.
En tout cas une chose est sûre le fond et la forme de cet avis tel qu'il est présenté au public ne sont pas acceptables

Le feuilleton sur la cuve de l'EPR dure depuis avril 2015 voire depuis plus longtemps quand on regarde en détail bon nombre de courriers de position sur les sous-traitants d'EDF. Chacun savait dès 2011 que quelque chose n'allait pas... mais l'application toute relative de la Loi TSN empêchait d'accéder à une information solide.
Il faut donc attendre 2015 et la longue série de révélation qui a suivi en 2016 pour mesurer l'ampleur du problème. Un problème de taille que d'aucuns pourraient qualifier de scandale... puisqu' EDF aurait commandé à AREVA des calottes de cuve à une entreprise dans l'incapacité technique, organisationnelle et humaine de les réaliser correctement. Mais seulement les calottes puisque la réalisation des viroles a été confiée à des gens sérieux...
Toujours est-il qu'aujourd'hui on se retrouve avec une cuve irrégulière sur les bras qui de surcroît a été assemblée de manière anticipée par un maitre d'ouvrage qui se doutait de quelque chose à en croire l'audition de M. Minière par l'OPESCT en octobre 2016. Non seulement la cuve a été installée et liée au circuit primaire mais EDF a livré en grande pompe le couvercle après le début du programme d'essais autorisé par l'ASN...
Et l'on se retrouve avec un projet d'avis qui anticipe une demande de dérogation du maitre d'ouvrage dans le cadre de la procédure d'autorisation de l'EPR... alors qu'on pouvait attendre une démarche plus robuste qui se fonde sur la réglementation applicable de 1999 et 2005 aux ESPN.
En tout cas une chose est sûre le fond et la forme de cet avis tel qu'il est présenté au public ne sont pas acceptables

Le feuilleton sur la cuve de l'EPR dure depuis avril 2015 voire depuis plus longtemps quand on regarde en détail bon nombre de courriers de position sur les sous-traitants d'EDF. Chacun savait dès 2011 que quelque chose n'allait pas... mais l'application toute relative de la Loi TSN empêchait d'accéder à une information solide.
Il faut donc attendre 2015 et la longue série de révélation qui a suivi en 2016 pour mesurer l'ampleur du problème. Un problème de taille que d'aucuns pourraient qualifier de scandale... puisqu' EDF aurait commandé à AREVA des calottes de cuve à une entreprise dans l'incapacité technique, organisationnelle et humaine de les réaliser correctement. Mais seulement les calottes puisque la réalisation des viroles a été confiée à des gens sérieux...
Toujours est-il qu'aujourd'hui on se retrouve avec une cuve irrégulière sur les bras qui de surcroît a été assemblée de manière anticipée par un maitre d'ouvrage qui se doutait de quelque chose à en croire l'audition de M. Minière par l'OPESCT en octobre 2016. Non seulement la cuve a été installée et liée au circuit primaire mais EDF a livré en grande pompe le couvercle après le début du programme d'essais autorisé par l'ASN...
Et l'on se retrouve avec un projet d'avis qui anticipe une demande de dérogation du maitre d'ouvrage dans le cadre de la procédure d'autorisation de l'EPR... alors qu'on pouvait attendre une démarche plus robuste qui se fonde sur la réglementation applicable de 1999 et 2005 aux ESPN.
En tout cas une chose est sûre le fond et la forme de cet avis tel qu'il est présenté au public ne sont pas acceptables

Le feuilleton sur la cuve de l'EPR dure depuis avril 2015 voire depuis plus longtemps quand on regarde en détail bon nombre de courriers de position sur les sous-traitants d'EDF. Chacun savait dès 2011 que quelque chose n'allait pas... mais l'application toute relative de la Loi TSN empêchait d'accéder à une information solide.
Il faut donc attendre 2015 et la longue série de révélation qui a suivi en 2016 pour mesurer l'ampleur du problème. Un problème de taille que d'aucuns pourraient qualifier de scandale... puisqu' EDF aurait commandé à AREVA des calottes de cuve à une entreprise dans l'incapacité technique, organisationnelle et humaine de les réaliser correctement. Mais seulement les calottes puisque la réalisation des viroles a été confiée à des gens sérieux...
Toujours est-il qu'aujourd'hui on se retrouve avec une cuve irrégulière sur les bras qui de surcroît a été assemblée de manière anticipée par un maitre d'ouvrage qui se doutait de quelque chose à en croire l'audition de M. Minière par l'OPESCT en octobre 2016. Non seulement la cuve a été installée et liée au circuit primaire mais EDF a livré en grande pompe le couvercle après le début du programme d'essais autorisé par l'ASN...
Et l'on se retrouve avec un projet d'avis qui anticipe une demande de dérogation du maitre d'ouvrage dans le cadre de la procédure d'autorisation de l'EPR... alors qu'on pouvait attendre une démarche plus robuste qui se fonde sur la réglementation applicable de 1999 et 2005 aux ESPN.
En tout cas une chose est sûre le fond et la forme de cet avis tel qu'il est présenté au public ne sont pas acceptables

Le feuilleton sur la cuve de l'EPR dure depuis avril 2015 voire depuis plus longtemps quand on regarde en détail bon nombre de courriers de position sur les sous-traitants d'EDF. Chacun savait dès 2011 que quelque chose n'allait pas... mais l'application toute relative de la Loi TSN empêchait d'accéder à une information solide.
Il faut donc attendre 2015 et la longue série de révélation qui a suivi en 2016 pour mesurer l'ampleur du problème. Un problème de taille que d'aucuns pourraient qualifier de scandale... puisqu' EDF aurait commandé à AREVA des calottes de cuve à une entreprise dans l'incapacité technique, organisationnelle et humaine de les réaliser correctement. Mais seulement les calottes puisque la réalisation des viroles a été confiée à des gens sérieux...
Toujours est-il qu'aujourd'hui on se retrouve avec une cuve irrégulière sur les bras qui de surcroît a été assemblée de manière anticipée par un maitre d'ouvrage qui se doutait de quelque chose à en croire l'audition de M. Minière par l'OPESCT en octobre 2016. Non seulement la cuve a été installée et liée au circuit primaire mais EDF a livré en grande pompe le couvercle après le début du programme d'essais autorisé par l'ASN...
Et l'on se retrouve avec un projet d'avis qui anticipe une demande de dérogation du maitre d'ouvrage dans le cadre de la procédure d'autorisation de l'EPR... alors qu'on pouvait attendre une démarche plus robuste qui se fonde sur la réglementation applicable de 1999 et 2005 aux ESPN.
En tout cas une chose est sûre le fond et la forme de cet avis tel qu'il est présenté au public ne sont pas acceptables

Le feuilleton sur la cuve de l'EPR dure depuis avril 2015 voire depuis plus longtemps quand on regarde en détail bon nombre de courriers de position sur les sous-traitants d'EDF. Chacun savait dès 2011 que quelque chose n'allait pas... mais l'application toute relative de la Loi TSN empêchait d'accéder à une information solide.
Il faut donc attendre 2015 et la longue série de révélation qui a suivi en 2016 pour mesurer l'ampleur du problème. Un problème de taille que d'aucuns pourraient qualifier de scandale... puisqu' EDF aurait commandé à AREVA des calottes de cuve à une entreprise dans l'incapacité technique, organisationnelle et humaine de les réaliser correctement. Mais seulement les calottes puisque la réalisation des viroles a été confiée à des gens sérieux...
Toujours est-il qu'aujourd'hui on se retrouve avec une cuve irrégulière sur les bras qui de surcroît a été assemblée de manière anticipée par un maitre d'ouvrage qui se doutait de quelque chose à en croire l'audition de M. Minière par l'OPESCT en octobre 2016. Non seulement la cuve a été installée et liée au circuit primaire mais EDF a livré en grande pompe le couvercle après le début du programme d'essais autorisé par l'ASN...
Et l'on se retrouve avec un projet d'avis qui anticipe une demande de dérogation du maitre d'ouvrage dans le cadre de la procédure d'autorisation de l'EPR... alors qu'on pouvait attendre une démarche plus robuste qui se fonde sur la réglementation applicable de 1999 et 2005 aux ESPN.
En tout cas une chose est sûre le fond et la forme de cet avis tel qu'il est présenté au public ne sont pas acceptables

a cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

A quoi peuvent avoir servi les études qui ont conduit à l'édiction de règles et de normes pour la construction de ces pièces maîtresses que représentent la cuve et sont couvercle, si c'est pour ne pas les appliquer par la suite et s'accommoder du résultat négatif des essais et des mesures.
Les enjeux économiques sont certainement énormes et peuvent avoir des conséquences catastrophiques pour les sociétés impliquées dans la réalisation de l'EPR mais elles ne doivent pas passer au premier rang des préoccupations devant celles de la sécurité. L'essence même de l'existence de l'ASN est de justement mettre un frein à ces risques pour qu'ils restent dans des normes pré-définies avant que les situations délicates ne soient rencontrées comme ici.
Nous espérons pouvoir avoir confiance dans votre jugement et votre impartialité.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Merci de nous demander notre avis pour une fois, même si il me semble que l'on est dans un cas où cela ne devrait pas être nécessaire: la cuve, qui est la pièce essentielle du réacteur, présente des défauts qui la fragilisent. Comment dans ces conditions peut-on envisager un tant soit peu la poursuite du chantier? Ce n'est pas d'une simple centrale à gaz qu'il s'agit, ni d'une centrale à charbon, mais d'une centrale nucléaire, et les conséquences d'un dysfonctionnement pourraient être catastrophiques pour le pays. Il faut au minimum reprendre à zéro la construction du réacteur, et comme d'ici à ce que celle-ci soit achevée, on aura vraisemblablement trouvé mieux comme ressource d'énergie, il semble encore plus économique et plus sûr d'enterrer définitivement le projet.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté.. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté.. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.