Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Je suis totalement contre le démarrage de l'EPR avec cette cuve défectueuse. Il est évident que l'on court à la catastrophe ! Ce n'est pas encore démarré et l'on sait que le couvercle n'est pas sécurisé, mais on veut continuer quand même ! on joue toujours les apprentis sorciers ! Ca devait coûter 3 milliards on est à 11 et ça ne fonctionne toujours pas donc on veut démarrer coûte que coûte (!). Moi je dis "il est grand temps d'arrêter les frais" et passer aux énergies renouvelables. C'est un nouveau Superphénix !!

J'ai pris le temps de lire le rapport qui me semble très clair alors quel est le sens de cette consultation publique organisée l'été ? Le "S" de ASN ne signifie-t-il pas "sûreté" ? Apparemment il s'agit plus de la sûreté économique des entreprises que de celles des citoyens ! Sinon pourquoi ne pas attendre la fabrication d'un nouveau couvercle et surtout pourquoi ne pas exiger le remplacement de la cuve, élément crucial lui aussi défectueux ? Il faut vraiment avoir une vision à court terme et un sens des responsabilités très limité pour permettre "une réduction des marges". Quels risques judiciaires en cas d'accident pour ceux qui auront permis cet état de fait ? L'avenir des êtres humains me soucie davantage que l'avenir d'Areva !

J'ai pris le temps de lire le rapport qui me semble très clair alors quel est le sens de cette consultation publique organisée l'été ? Le "S" de ASN ne signifie-t-il pas "sûreté" ? Apparemment il s'agit plus de la sûreté économique des entreprises que de celles des citoyens ! Sinon pourquoi ne pas attendre la fabrication d'un nouveau couvercle et surtout pourquoi ne pas exiger le remplacement de la cuve, élément crucial lui aussi défectueux ? Il faut vraiment avoir une vision à court terme et un sens des responsabilités très limité pour permettre "une réduction des marges". Quels risques judiciaires en cas d'accident pour ceux qui auront permis cet état de fait ? L'avenir des êtres humains me soucie davantage que l'avenir d'Areva !

Je suis impressionné en lisant les commentaires ci-dessus par le nombre de spécialistes en métallurgie et en énergie d'origine nucléaire capable de comprendre de tels rapports et d'apporter une décision ... je ne parle pas ici de ceux qui n'ont de commentaires à faire qu'idéologiquement.
Pour ma part étant scientifique (16 ans de recherche en physico-chimie) et 20 ans d'analyses de recherches en SetT, j'avoue être incapable de formuler un commentaire sur le rapport de l'ASN. Entre autres je ne sais pas si les facteurs de marge indiqués dans les tableaux de l'annexe 14 sont suffisants, n'ayant pas de points de comparaison.
Quant à ceux qui prônent les énergie "nouvelles" ou "renouvelables", je voudrais signaler qu'il ne s'agit en aucune manière d'une énergie permanent comme les énergies d'origine fossile ou nucléaire mais intermittentes ... et que, malheureusement il n'y a encore aucun moyen de stocker à long terme cette énergie lorsque, par chance, elle est abondante. Donc oui à ce type de sources d'électricité mais il doit y avoir nécessairement, en plus, une source qui DOIT être PERMANENTE et qui ne produit pas, ou peu, de CO2 ... Je sais qu'on peut prendre des exemples de réussite dans des pays comme le Danemark, mais attention à comparer ce qui peut l'être : conditions géographiques, climatiques, industrielles, etc. identiques. Tout n'est pas si simple, d'où ma réaction en lisant les réactions tranchées des commentaires.
J'espère que l'ASN où se trouve des grandes compétences saura faire la part des choses et prendre une décision basée sur les résultats scientifiques et techniques et sur sa longue expérience de l'énergie nucléaire.

Je suis impressionné en lisant les commentaires ci-dessus par le nombre de spécialistes en métallurgie et en énergie d'origine nucléaire capable de comprendre de tels rapports et d'apporter une décision ... je ne parle pas ici de ceux qui n'ont de commentaires à faire qu'idéologiquement.
Pour ma part étant scientifique (16 ans de recherche en physico-chimie) et 20 ans d'analyses de recherches en SetT, j'avoue être incapable de formuler un commentaire sur le rapport de l'ASN. Entre autres je ne sais pas si les facteurs de marge indiqués dans les tableaux de l'annexe 14 sont suffisants, n'ayant pas de points de comparaison.
Quant à ceux qui prônent les énergie "nouvelles" ou "renouvelables", je voudrais signaler qu'il ne s'agit en aucune manière d'une énergie permanent comme les énergies d'origine fossile ou nucléaire mais intermittentes ... et que, malheureusement il n'y a encore aucun moyen de stocker à long terme cette énergie lorsque, par chance, elle est abondante. Donc oui à ce type de sources d'électricité mais il doit y avoir nécessairement, en plus, une source qui DOIT être PERMANENTE et qui ne produit pas, ou peu, de CO2 ... Je sais qu'on peut prendre des exemples de réussite dans des pays comme le Danemark, mais attention à comparer ce qui peut l'être : conditions géographiques, climatiques, industrielles, etc. identiques. Tout n'est pas si simple, d'où ma réaction en lisant les réactions tranchées des commentaires.
J'espère que l'ASN où se trouve des grandes compétences saura faire la part des choses et prendre une décision basée sur les résultats scientifiques et techniques et sur sa longue expérience de l'énergie nucléaire.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA. Ce chantier DOIT être abandonné!

Comment peut-on même se poser la question ? La réponse est pourtant évidente!
La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.
Ce projet est un énorme mensonge depuis le début, les budgets ont explosé, la rentabilité n'est même pas imaginable, mais on veut continuer à gaspiller l'argent public, au mépris de toute sécurité!
Et ce serait ça, le symbole du savoir-faire nucléaire français...? Au secours!!!
Arrêtons les dégâts, avec un peu ou beaucoup d'humilité...

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La recommendation proposée est une vaste plaisanterie. En effet,
- d'une part il y a une chance que Techniquement le fabricant n'arrive toujours pas à réaliser les pièces
- Areva pourrait très bien etre liquidé d'ici la vu sa bonne gestion
- d'ici sept ans on nous expliquera qu'il n'y a plus de fond pour payer
- Nous aruons de nouveau rapport expliquant par X etY pourquoi il n'est plus nécéssaire de le changer.

In fine, il faudra attendre un vrai accident pour que ce projet s'arrte définitevement. Notre parc de centrales obsolète n'est pas suffisant, il nous faut abosulment créer une centrale neuve déjà obsolète!

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.