Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Les calculs de dimensionnement sont faits pour un acier ayant un niveau de santé matière sans ségrégation notable de carbone.
A partir du moment où la pièce est non conforme pour " présence d’une zone de ségrégation majeure positive résiduelle du carbone", c'est que les défauts de santé matière sont hors tolérance et les pièces doivent être rebutées, c'est basique et rédhibitoire !
De plus, Areva a dissimulé ces anomalies aux autorités de surveillance pour utiliser des pièces majeures non conformes, c'est une faute gravissime qui ne peut qu'être sanctionnée par une décision de rebut sans état d'âme !
Areva et EDF ont sciemment pris la décision de mettre en danger la population de tout l’hémisphère Nord (voir Tchernobyl...), pour des raisons économiques et dogmatiques. On pouvait compter sur eux pour démontrer après coup, de n'importe quelle façon, que finalement on peut s’accommoder de pièces avec des défauts majeurs dans un réacteur nucléaire. La preuve qu'ils n'ont aucune déontologie alors que nos vies en dépendent...
Areva "conclut que l’anomalie ne remet pas en cause l’aptitude au service du fond et du couvercle de la cuve", c'est nier l'évidence, sinon ce ne serait pas une anomalie...
L'ASN dit "Areva NP a justifié que le procédé de fabrication utilisé n’était pas de nature à créer de défaut préjudiciable à la qualité des pièces", mais si ! justement il y est le défaut, c'est la ségrégation majeure positive de carbone ! Il n'y a pas que les fissures en fatigue qui s'appellent "un défaut".
L'ASN dit "considérant, en revanche, que la faisabilité technique de contrôles similaires sur le couvercle de la cuve n’est pas acquise et que l’utilisation de ce couvercle doit donc être limitée dans le temps" elle donne sept ans d'usage parce que c'est le délai pour fabriquer un autre couvercle... (!!?).
Ne jouons pas la sécurité de ce réacteur à la roulette russe, il est temps d'admettre que le nucléaire est une solution du passé, trop risquée, beaucoup plus coûteuse que ce qui était prétendu, que nous ne savons pas retraiter véritablement les déchets et que nous ne trouverons jamais de solution satisfaisante, que cet héritage pour les générations futures est déjà bien trop lourd et irresponsable. Pendant ce temps, d'autres pays que la France vont devenir des champions mondiaux des énergies renouvelables et nous loupons le coche.

je partage totalement le combat de greenpeace
La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

a cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

a cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

L'industrie nucléaire est très risquée dans la mesure où les conséquences d'un accident sont incalculables, et d'ailleurs inassurables.
Le devoir de l'ASN est de prémunir les populations des dangers du nucléaire.
Et ce type de danger ne souffre pas de tolérance.
Je comprends que la décision est lourde de conséquences pour toute une industrie.
Mais notre confiance dans le nucléaire, présent partout en France, exige que tous les acteurs respectent scrupuleusement les règles.
L'ASN est la garante de ce respect, et doit rester ferme.
Pour quelque raison que ce soit, si une norme n'est pas respectée, le travail n'est pas conforme et doit être refusé.
La raison d'être de l'ASN est de résister aux pressions afin de garantir la sécurité.
Une décision favorable au démarrage de l'EPR avec une cuve défectueuse démontrerait hélas l'inutilité d'une telle instance.

J'habite à quelques kilomètres de la Centrale , lorsque nous nous promenons dans notre belle presqu'île de La Hague , entre deux caps... Flamanville et le Nez de Jobourg, nous sommes entre la Centrale de Flamanville et l'usine de retraitement d'AREVA, et croyez-moi, nous avons des frayeurs en pensant à ce qui pourrait nous arriver , et nous retrouver piégés , nous et toute la population, si l'ASN ne PREND pas ses responsabilités à cause de lobbys indécents, couteux, et mettant la vie d'autrui en danger :
La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
Alors STOP à l'EPR, au nucléaire coûteux et dangereux, à AREVA "un puits sans fond" - OUI aux énergies renouvelables et au respect des habitants du COTENTIN qui voudraient vivre sereins et qui en ont assez des lobbys financiers et nucléaires que les Hommes politiques leur font subir.

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Soit les règles de conception des pièces de la cuve ont un sens, et elles doivent être appliquées à la lettre, soit elles n'ont pas de sens, et on se demande pourquoi elles existent. La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l'usine Creusot Forge d'AREVA n'était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté.. C'est pourtant là que les pièces de l'EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l'industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des population

Comment peut-on prendre le risque de mettre en service une cuve de réacteur nucléaire présentant des anomalies, aussi infimes soient-elles ? Si les normes et les conditions de fabrication n'ont pas été respectées, la cuve de l'EPR ne doit pas être mise en service ! Aucun risque ne peut être pris ! Comment oser faire courir ce risque aux citoyens français et européens ? Les désastres de Tchernobyl et Fukushima ne sont pas suffisant ? NON à l'EPR de Flamanville ! Et OUI à une sortie rapide du nucléaire vers des énergies renouvelables adaptées aux spécificités de chaque territoire français !

Bonjour,
L'EPR est en construction dans une période incertaine de "croissance négative" ou récession.
La crise devrait empirer dans les années a venir avec la raréfaction ou l'épuisement des matières premières (Meadows 1972).
Dans ses conditions on peut se poser la question de savoir s'il y aura, dans l'avenir, la possibilité d'investir dans le renouvellement de la cuve et du couvercle du réacteur EPR de Flamanville.
Pour ma part je pense que non.
La dégradation de la situation économique fait que la sécurité ne sera plus une priorité faute de moyens.
Au même titre la gestion des déchets ainsi que le démantèlement des centrales poseront un réelle problème de toxicité pour l'environnement.
Pour cela il me semble que l'EPR ne doit pas démarrer avec des éléments ne répondant pas aux exigences de sécurité premières.
Voir ne pas démarrer tout court pour éviter d'ajouter des éléments a la toxicité environnementale ambiante.
C'est de l'inconscience pure, selon moi.
Voici mon point de vue merci de l'avoir pris en considération.