Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

J’ai suivi une formation de technicien en mécanique et machines tournantes dans les années 1975.
On m’a appris que le nucléaire ne peut souffrir d’aucun à peu près.
Dans nos exercices de calcul un seul coefficient de sécurité non respecté et nos professeurs nous gratifiaient d’un un zéro pointé.
Se poser la question de savoir si l’on peut modifier la règle de calcul en cours d’exercice a un nom : tricher
Ne jouez pas aux apprentis sorciers par respect pour nos professeurs qui croyaient à un nucléaire sûr grâce à la rigueur des calculs, des techniciens et des contrôleurs.
Ne jouez pas aux apprentis sorciers pour le seul bénéfice financier de quelques un.
Ne jouez pas aux apprentis sorciers pour nos et vos enfants.
Ne jouez pas aux apprentis sorciers si vous voulez pouvoir garder l’estime de vous et de votre métier.
Mon expérience professionnelle m’a appris que tout ce qui peut arriver arrive. Prenez du recul, ne soyez pas ceux qui auront permis le désastre nucléaire en France.

Les Réacteur à eau pressurisée (ou REP) sont des réactuers dans lesquels l'eau sous pression (donc à l'état liquide) est à la fois le caloporteur et le modérateur. Le combustible utilisé est de l'uranium enrichi. Ce type de réacteur est le plus répandu dans le monde, représentant environ 55 % des réacteurs installés.
En France, tous les réacteurs destinés à la production d'électricité sont des REP, excepté le réacteur de recherche Phénix (exploité par le CEA et EDF) mis à l'arrêt à l’automne 2009. (https://www.edf.fr/groupe-edf/espaces-dedies/l-energie-de-a-a-z/tout-sur-l-energie/produire-de-l-electricite/les-differents-types-de-reacteurs-nucleaires)

Il faut que les autorités compétentes réagissent. Ce type de réacteur a été mis au point dans les années 1950, et représente un dangereux modèle de réacteur nucléaire. En effet, lorsque que le système de refroidissement lache, le principal risque est que la fusion s'emballe et créé les catastrophes que l'on connait. Et ce malgré les divers améliorations connues par les REP, et même sa derniere version, l'EPR.
Pour les coûts investis dans la recherche de l'EPR, nous aurions deja pu développer et mettre en circulation des réacteurs à sels fondus, pour lesquels aucun risque d'emballement n'a jamais été mis en évidence (lorsque le mécanisme de refroidissement s'arrete, les sels fondus se dilatent et la réaction de fusion s'arrete), de plus en cas de fuite, les sels liquides se solidifient et empeche la contamination des milieux.
Les décisions qui ont amené à developper les REP sont aujourd'hui caduques, la production des déchets qui permettent d'alimenter l'arsenal nucléaire n'est plus un sujet d'actualité.

PASSONS AUX REACTEURS A SELS FONDUS !!!
https://www.youtube.com/watch?v=qHLUW3TAUqg (Arte - La face cachée du Thorium)
https://www.youtube.com/watch?v=Z0G8QxaYRds (L'énergie du thorium, l'avenir vert du nucléaire? Jean-Christophe de Mestral at TEDxParis)

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

Le Nucléaire n'est surement pas une énergie d'avenir.
Les mythes selon lesquels il a le meilleur rendement, est peu honnaireux et nous permet notre autonomie énergétique est une vaste mascarade...

1/ le calcul de l'énergie produite par le nucléaire prend aussi en compte l'énergie perdue (en chaleur, vapeur, etc.), il ne prend pas en compte l'énergie nécessaire pour sa production et son acheminement. C'est magique non ?! et ça biaise grandement les calculs...

2/ Sans parler des risques importants ; pour l'environnement et donc pour nous même ; que nous fait courir l'exploitation de cette énergie (les catastrophes qui ont déjà eu lieu dans le monde entier parlent d'elles-même, il est absurde de croire que nous ne risquons rien, le risque zéro n'existe pas !), le facture du nucléaire est inconnue. En effet, on connait le tarif d'exploitation, etc., mais qu'en est il de celui du démantèlement des centrales quand elles arriveront en fin de vie ? Il est inconnu, car absolument astronomique, on ne détruit pas une centrale nucléaire, comme on détruit une simple usine, cela nécessite une prise en charge spéciale, et où stockerons-nous les déchets ici de celles-ci ? On ne sait pas où stocker nos déchets nucléaires, pourquoi vouloir créer une nouvelle centrale ?

3/ Enfin, l'autonomie énergétique... D'où vient l'uranium permettant l'exploitation de nos centrales ? De France ? J'en doute, donc comment peut on dire que nous sommes indépendants énergétiquement grâce au nucléaire ?! Notre indépendance ne peut venir que des ressources que nous possédons, et la France est plutôt privilégiée en ce qui concerne les énergies renouvelables, à conditions d'investir dedans (plutôt que dans le nucléaire et dans l'ouverture de nouvelles centrales)

Je vous encourage à lire le livre du collectif négawatt, Manifeste Négawatt, qui envisage un scénario de transition énergétique intelligent et tout à fait réalisable.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

svp, pensez à l'avenir. s'il vous plaît arrêtez. il n'est jamais trop tard pour faire pire.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

Réponse à la consultation de l'ASN sur le problème de ségrégation du carbone dans les aciers de cuve de réacteurs

Je m'exprime en tant qu'ingénieur civil des Mines, École des Mines de Nancy, promotion 1968 ; ma spécialité était la métallurgie. J'ai travaillé en tant qu'ingénieur responsable de procédés de fabrication, puis responsable de l'assurance de qualité, des contrôles et de la certification de 1971 à 1979 aux aciéries Marrel de Rive de Gier. J'ai travaillé en particulier sur les aciers de type ASTM A533 grB. Par ailleurs, j'ai travaillé sur les processus de solidification des lingots et les phénomènes de ségrégation.

Ma première remarque est très générale. Les ségrégations sont inévitables, elles résultent des phénomènes de base de la métallurgie et des équilibres de phase liquide et solide. Elles intéressent tout le volume du matériau du fait de la solidification en cristallisation dendritique. Bien qu'une certaine homogénéisation soit obtenue par le corroyage du métal lors des phases de transformation, et les traitements thermiques de recristallisation, l'homogénéité parfaite est impossible à obtenir. Les méthodes d'analyse de la composition chimique ont beaucoup évolué au cours du temps. Les analyses par dissolution et réaction sur quelques grammes de matière telles qu'elles étaient pratiquées au début des programmes de construction nucléaire, par nature, montraient une certaine homogénéité compte tenu de la quantité relativement importante de matière analysée. Les méthodes par décharge électro luminescentes qui ont suivi intéressaient des volumes de métal beaucoup plus petits, et révélaient de manière évidente un plus grand niveau d'hétérogénéité. Pour caricaturer, plus nous nous approchons des dimensions atomiques plus l'hétérogénéité révélée par les méthodes d'analyse est importante. Tout cela pour dire que mon sentiment est qu'on redécouvre l'eau chaude avec ce problème de ségrégation qui est un phénomène largement connu depuis l'origine de l'élaboration et de la transformation des métaux.

Ma deuxième remarque porte sur la nocivité de ces ségrégations. C'est un fait connu depuis l'origine de la métallurgie que la ténacité des aciers diminue avec l'augmentation de la teneur en Carbone. Une zone de métal ayant une teneur en Carbone plus élevée que le métal environnant sera affectée par une ténacité inférieure. A ce stade, il faut noter que les aciers de type A533 grB sont utilisés depuis très longtemps dans les appareils à pression, notamment par l'industrie pétrochimique, et ceci longtemps avant l'utilisation de ce type d'acier par l'industrie nucléaire. Le retour d'expérience pratique disponible est donc très important. Les règles de dimensionnement des appareils à pression sont édictées depuis très longtemps par l'ASME. L'industrie nucléaire suit scrupuleusement ces règles avec des coefficients de sécurité importants. Si les phénomènes de ségrégation et les règles de dimensionnement associées avaient eu une influence négative sur le comportement des appareils à pression, nous le saurions depuis longtemps à travers ce retour d'expérience. Les règles de dimensionnement auraient été adaptées en conséquence, sans qu'il soit nécessaire pour cela de faire des études qui relèvent de la recherche fondamentale.
Il est vrai que les pièces nucléaires subissent au cours du temps un phénomène spécifique de vieillissement lié à l'irradiation des matériaux et à l'apparition d'éléments produits par cette irradiation. Ce phénomène fait l'objet d'un suivi spécifique à travers les essais de RTNDT sur coupons irradiés, suivi qui conditionne la durée technique de service des pièces utilisées dans le circuit primaire. Les ségrégations de carbone ne jouent aucun rôle d'accélérateur dans ce phénomène de vieillissement dans la mesure où le carbone n'intervient pas dans la production d'éléments issus de l'irradiation.

Ma troisième remarque porte sur les caractéristiques des matériaux élaborés par l'industrie française par rapport aux caractéristiques d'ensemble des matériaux qui sont considérées pour édicter les règles de dimensionnement. L'industrie française s'est efforcée depuis l'origine, et elle en a fait une fierté, d'élaborer des matériaux dont les teneurs en Soufre et en Phosphore sont particulièrement basses. Or ces éléments ont un impact majeur sur la ténacité des aciers. Malgré ces caractéristiques très supérieures des aciers élaborés en France, les règles de dimensionnement ont été conservées. Ainsi les aciers et pièces issus de l'industrie française présentent intrinsèquement des caractéristiques de ténacité très supérieures aux caractéristiques considérées pour les règles de dimensionnement.

Ma quatrième remarque porte sur le comportement des matériaux soumis à des sollicitations qui mettent en œuvre leur caractéristique de ténacité. Les observations métallurgiques des zones de rupture montrent que cette rupture intervient dans les zones les plus ductiles, comme si le métal coulait autour des zones les moins ductiles, plus dures. La présence de zones ségrégées n'affecte donc pas les caractéristiques moyennes de ténacité de pièces massives.

Une étude, de type recherche fondamentale, et un suivi en cours d'irradiation de l'impact des zones ségrégées est certainement pertinent pour augmenter la connaissance du sujet et pour s'assurer que les résultats confirment ce que les connaissances réunies sur le sujet permettent d'anticiper. En revanche, il serait aberrant de prendre des positions qui pénalisent l'exploitation des centrales alors que toutes les connaissances disponibles montrent l'absence d'impact du phénomène de ségrégation sur le comportement des pièces nucléaires.

En dernière remarque, je voudrais exprimer ma stupéfaction sur le fait que ce sujet, extrêmement technique, soit soumis à une enquête d'opinion. Nous ne sommes pas devant un sujet sur lequel les individus peuvent s'exprimer en fonction de convictions globales et partisanes et des opinions doctrinales peuvent servir d'éléments de décision. Il faudrait quand même que les experts, dont c'est le rôle, assument totalement leur responsabilité. Le fait que leurs rémunérations sont payées, d'une façon ou d'une autre, par le peuple français, impose cette obligation, sinon nous pouvons nous poser des questions sur l'utilité de ces experts et leur maintien ? Pour comparaison, imaginerions nous les experts de l'aviation civile qui demanderaient à la population de s'exprimer sur la progression des fissures dans les structures portantes des avions, et qui demanderaient, par exemple, aux passagers embarquant dans un avion de voter pour déterminer si l'avion peut réaliser son vol compte tenu du phénomène incontournable de présence de fissures. Nous tombons dans le ridicule complet : est-ce que l'ASN veut se transformer en « mesopinions.com ».

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Bonjour, je viens d’être père d'une petite fille, et je me demande comment des décisions comme celle d'ouvrir cette centrale sont possibles. Vous êtes prêt à jouer à la roulette russe des milliers de vies mais aussi un équilibre écologique . Pensez à vos enfants et à ceux des autres ! Nous avons une obligation dans ce siècle, celle de penser à un avenir sans pollution et surtout sans menace nucléaire ... Alors si vous ne voulez pas le faire pour vos faites l'au moins pour nous et nos enfants ! Dites non ! Merci.
Cordialement.

Le réacteur ne peut être lancé avec une pièce que vous même l'ASN reconnaissez potentiellement défaillante et dont "la faisabilité technique de contrôles similaires sur le couvercle de la cuve n’est pas acquise" ! (page 4 de Avis n°2014-AV- de l’Autorité de sûreté nucléaire du 21 janvier 2014).

La limitation de la durée d'utilisation de cette pièce dans le temps n'est pas une solution!
Vous posez nécessaire la condition de réalisation de contrôles, pour finalement reconnaître que la faisabilité de ces contrôles n'est pas acquise au niveau du couvercle.
Vous autorisez une mise en fonctionnement temporaire en délivrant une autorisation uniquement jusqu'au 31 décembre 2024. Mais l'ASN sera-t-elle en mesure d'engager au 31 décembre 2024, un arrêt du fonctionnement du réacteur en cas de non respect des délais (et tout chantier prend du retard) ou de la qualité de fabrication de la nouvelle cuve?
Cela est beaucoup moins sûr...

Le principe de précaution doit prévaloir.

Le réacteur ne peut être lancé avec une pièce que vous même l'ASN reconnaissez potentiellement défaillante et dont "la faisabilité technique de contrôles similaires sur le couvercle de la cuve n’est pas acquise" ! (page 4 de Avis n°2014-AV- de l’Autorité de sûreté nucléaire du 21 janvier 2014).

La limitation de la durée d'utilisation de cette pièce dans le temps n'est pas une solution!
Vous posez nécessaire la condition de réalisation de contrôles, pour finalement reconnaître que la faisabilité de ces contrôles n'est pas acquise au niveau du couvercle.
Vous autorisez une mise en fonctionnement temporaire en délivrant une autorisation uniquement jusqu'au 31 décembre 2024. Mais l'ASN sera-t-elle en mesure d'engager au 31 décembre 2024, un arrêt du fonctionnement du réacteur en cas de non respect des délais (et tout chantier prend du retard) ou de la qualité de fabrication de la nouvelle cuve?
Cela est beaucoup moins sûr...

Le principe de précaution doit prévaloir.

Le réacteur ne peut être lancé avec une pièce que vous même l'ASN reconnaissez potentiellement défaillante et dont "la faisabilité technique de contrôles similaires sur le couvercle de la cuve n’est pas acquise" ! (page 4 de Avis n°2014-AV- de l’Autorité de sûreté nucléaire du 21 janvier 2014).

La limitation de la durée d'utilisation de cette pièce dans le temps n'est pas une solution!
Vous posez nécessaire la condition de réalisation de contrôles, pour finalement reconnaître que la faisabilité de ces contrôles n'est pas acquise au niveau du couvercle.
Vous autorisez une mise en fonctionnement temporaire en délivrant une autorisation uniquement jusqu'au 31 décembre 2024. Mais l'ASN sera-t-elle en mesure d'engager au 31 décembre 2024, un arrêt du fonctionnement du réacteur en cas de non respect des délais (et tout chantier prend du retard) ou de la qualité de fabrication de la nouvelle cuve?
Cela est beaucoup moins sûr...

Le principe de précaution doit prévaloir.