Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Imaginerait on qu'un fabriquant d'autocuiseurs ou cocottes-minutes mette sur le marché des autocuiseurs dont la fiabilité de la cuve et du couvercle soit suspecte ? Ces articles seraient retirés du marché pour éviter les risques d'accidents domestiques : explosion dans la cuisine provoquant des blessures graves des personnes à proximité.
imaginerait on que l'on se contente de dire aux clients de manipuler ces appareils avec précaution, d'éviter les chocs thermiques ou physiques ?
Pourquoi dans le cas d'une centrale nucléaire dont les conséquences d'avaries sont des centaines de milliers de fois plus importantes, des mesures radicales ne seraient pas prises ?
Pour l'instant, les indications pour l'EPR de Flamanville consistent en promesses de mesures complémentaires tarabiscotées sans obligations de résultats, en recommandations de précautions pour éviter les chocs thermiques et physiques. c'est à dire que le "feu vert" serait donné pour aller tout droit à la catastrophe dès la moindre fausse manoeuvre, et dieu sAit s'il y a de nombreuses erreurs de manipulations possibles réellement constatées dans nos centrales nucléaires.
Espérons de tout coeur que cette fois, l'enjeu de catastrophe humaine de grande ampleur l'emporte raisonnablement sur des enjeux de stratégie bassement économique.
Augmentons les tarifs et les impôts s'il le faut pour s'orienter vers des sources d'énergie à échelle humaine, mais restons en vie ; ce sera plus joyeux !
Valentin

"Areva NP a mis en évidence fin 2014 une anomalie de la composition chimique de l’acier de la cuve du réacteur EPR de Flamanville, pouvant conduire à dégrader sa capacité à résister à la propagation d’une fissure"!!!!!!!!!!!!!!!

Cela laisse rêveur... La France a été embarquée dans un drôle de bateau, dont la fiabilité se dégrade à vue d'oeil, et dont le coût explose progressivement.

Sortons rapidement du nucléaire avant une catastrophe...

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Est-il possible de privilégier le bon sens aux intérêts financiers ? Les anomalies sont identifiées et jugées sérieuses et malgré tout l'ASN autoriserait l'exploitation de l'EPR en l'état ? Si l'ASN était réellement indépendante et non soumise à des pression, la réponse coulerait de source. Le pognon ou la sécurité des Français ? Certains ne se posent même pas la question. Pourvu que leur compte en banque fructifie, le reste n'est que secondaire.
Arrêtons le nucléaire et consacrons notre argent aux énergies renouvelables, source d'emploi et de croissance !!!

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Il est très problématique de s'affranchir des risques encourus par une ségrégation majeure positive résiduelle du carbone. Ici nous parlons d'une cuve pour une centrale nucléaire... un peu de bon sens! Si un équipement industriel doit être irréprochable en terme de sécurité c'est bien les centrales nucléaires en premier !
Je relaie le message de greenpeace avec qui je suis d'accord :
La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Je conclus par le fait que le nucléaire basé sur l'uranium est une hérésie fondée sur du lobbying lors de la guerre froide qui a faussé les recherches sur les autres centrales nucléaires telles que celles sur le thorium qui sont énormément plus sûres et moins dramatiques pour l'environnement (déchets). Il y a des solutions partout, l'uranium et les réacteurs à eau pressurisée ne sont pas l'unique option.

Plutôt que de faire vivre des réacteurs peu fiables et dont on ne sait pas gérer les déchets, il me paraît plus opportun de regarder vers les solutions alternatives. Si on met en balance le coût de création d'une centrale nucléaire et celui pour que les français puissent s'équiper en énergies renouvelables par le biais de subventions, il me semble que l'on pourrait équiper de nombreux foyer.
Alors non, je suis tout à fait contre la mise en service d'un réacteur défectueux.