Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Situation inadmissible cette langue de bois pratiquée conjointement depuis des décennies par Areva et EDF qui s'emploient maintenant à tordre le bras à l'ASN afin d'obtenir, contre tous les avis d'experts, l'autorisation d'utiliser dans l'EPR de Flamanville une cuve de réacteur dont l'acier ne peut répondre aux normes de sûreté indispensables à la sécurité des populations.
L'ASN cèdera-t-elle aux pressions insensées du lobby du nucléaire en délivrant une autorisation d'exploitation pour cette future bombe à retardement alors que les défauts affectant l'acier de la cuve et du couvercle de l'EPR ont été connus depuis fort longtemps ... et passés sous silence ?
Voulons-nous en France un désastre nucléaire et écologique à l'image des catastrophes de Tchernobyl et de Fukushima ?
Vous les spécialistes de l'ASN, n'oubliez jamais qu'une catastrophe nucléaire est toujours constituée par un enchaînement de faits imprévisibles contre lesquels tout le savoir technologique ne peut fournir l'ultime parade salvatrice.
Vous avez entre vos mains LA décision de valider ou d'invalider le risque majeur d'un accident toujours envisageable dès lors que le principe de précaution est délibérément bafoué pour faire fructifier des intérêts mercantiles.
Imaginez-vous à quel point, dans le monde entier, les experts du nucléaire observent avec la plus grande attention quelle sera la décision de votre Agence qui, jusqu'à il y a peu de temps encore, était considérée comme un gage de sécurité et d'objectivité là où la fascination des gains hypothétiques et du pouvoir fait facilement perdre la raison à quelques décideurs ... pourtant pas tout à fait inconscients !!
Mais l'on préfère faire passer sous le tapis tout ce que l'on considère comme des considérations, des arguties ... ou des déchets embarrassants.
A vous de déterminer, à l'ASN, de quel côté vous souhaitez vous placer ! L'enjeu est majeur, à la fois pour la sécurité des zones à risques et pour tout le déploiement des énergies alternatives.
Dans quelques dizaines d'années, il sera possible de regarder en arrière pour constater que les décisions prises aujourd'hui auront déterminé le paysage technologique ayant permis de mettre un terme au nucléaire et de toutes ses menaces non résolues.

Dans le domaine du nucléaire civil, le risque 0 n'existe. Depuis les accidents qui se sont produits de par le passé récent ou plus lointain, toutes les parties prenantes le reconnaissent. S'engager dans un projet comme celui de Flamanville, qui de plus comporte des faiblesses déjà connues, c'est accepter la possibilité qu'un jour peut-être une partie du département de la Manche ou même tout le Cotentin, avec son bocage, son environnement naturel exceptionnel, son patrimoine remarquable, devienne un jour inhabitable.
Pour ma part, je ne peux me résoudre à cette idée qui m'apparaît comme totalement inconcevable car inhumaine, sans respect pour la vie et les personnes. Ce serait sombrer dans une folie moderne, déconnectée des réalités vitales.
A ce genre de projet insensé, il faut préférer les orientations mesurées et durables. Les alternatives existent.

Dans le domaine du nucléaire civil, le risque 0 n'existe. Depuis les accidents qui se sont produits de par le passé récent ou plus lointain, toutes les parties prenantes le reconnaissent. S'engager dans un projet comme celui de Flamanville, qui de plus comporte des faiblesses déjà connues, c'est accepter la possibilité qu'un jour peut-être une partie du département de la Manche ou même tout le Cotentin, avec son bocage, son environnement naturel exceptionnel, son patrimoine remarquable, devienne un jour inhabitable.
Pour ma part, je ne peux me résoudre à cette idée qui m'apparaît comme totalement inconcevable car inhumaine, sans respect pour la vie et les personnes. Ce serait sombrer dans une folie moderne, déconnectée des réalités vitales.
A ce genre de projet insensé, il faut préférer les orientations mesurées et durables. Les alternatives existent.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Cela fait trop longtemps que nous continuons à développer cette technologie dangereuse et coûteuse. Il est grand temps d'arrêter le nucléaire comme énergie civile ! Science sans conscience n'est que ruine de l'âme !
La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Cela fait 40 ans qu'on nous impose une source d'énergie mortifère, sans nous avoir jamais demandé notre avis. Stop ! ça suffit ! la dangerosité avérée de cette nouvelle technique est connue de tous, et maintenant on veut nous imposer une cuve défectueuse, et un couvercle prêt à péter ??? il faut arrêter ce chantier, le nucléaire c'est fini, s'obstiner dans cette voie est une grosse erreur. Tous ces milliards déjà dépensés auraient pu servir à développer davantage les énergies propres... arrêtons ce gâchis !

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.