Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

L'orgueil nous incite à vouloir personnellement des machines + puissantes, de l'éclairage + puissant, + de données via internet etc.
L'avarice nous incite à vouloir payer moins cher notre facture d'électricité.
L'envie de voir, de se déplacer + rapidement, + loin est encouragée par une électricité bon marché sur du court terme.
La colère, dont naissent les actes violents souvent illustrés par des bombes nucléaires, n'est vraiment polluante qui si elle est sponsorisée par une grande énergie, telle que l'énergie nucléaire.
La luxure est favorisée par une énergie bon marché: une génération de branleurs n'est possible qu'avec une énergie abondante et peu chère sur du court terme.
Qu'il est facile de tomber dans un excès de gourmandise, lorsque tout est payé par les autres.
La paresse se ravit de savoir qu'il n'y a aucun effort manuel ou intellectuel à faire lorsque les machines électriques (dont les intelligences artificielles et internet) font le travail à notre place.

Le nucléaire a pour inconvénient principal de produire des déchets contaminants pendant plusieurs milliers d'années
et de favoriser le gaspillage d'électricité. Ce gaspillage d'électricité génère plusieurs inconvénients: d'abord, par l'effet joule, il réchauffe la planète (au point que son équilibre écologique soit menacé); ensuite, il favorise l'assistance électrique de tout projet humain. Cet assistance électrique génére 2 inconvénients: la démesure des projets humains (qui deviennent donc de + en + irréversibles dans leurs conséquences) et l'affaiblissement physique et intellectuel des sur-assistés que nous sommes devenus.
L'électricité a été découverte en charcutant un cadavre de grenouille par Tesla, quel acte pourrait être symboliquement + diabolique? Le principal coût du nucléaire est reporté sur les générations futures : après nous, le déluge.
Nous sommes devenus si fainéants à cause du nucléaire, que même quand quelques terrorristes auront fait le sale boulot d'exploser quelques-unes de nos centrales, et que les mafias renonceront au marché des déchets nucléaires, nous ne serons pas capables de renoncer à cette énergie si faiblement facturée aux consommateurs, sans l'intervention armée de l'état, seul réputé capable de nous sauver de ces pollutions de + en + flagrantes.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Merci.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Ce projet qui coûte une fortune ne semble pas vraiment au point. Sur ce type de technologie on devrait peut-être essayer de viser le top de la fiabilité. Cela n'a pas l'air d'être le cas ici pour cette cuve. D'autant que les rapports qui ont servi de support de travail à l'ASN viennent d'Areva NP et EDF, qui n'ont peut-être pas su être totalement objectifs dans leur analyse de la situation. Je crois que la cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté ne me semble pas satisfaisant.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
Les tests ne sont pas la "réalité"d'une catastrophe et s'il y en a une,vous ne pourrez pas faire grand chose.(Fukushima)
Qui plus est,je note que si nous acceptons que cette centrale fonctionne alors qu'elle n'est pas conforme,
Nous aurons la un cas de jurisprudence qui vous permettra de construire sans controles véritables et indépendants d'autres
centrales "au rabais".
Comme d'habitude,vous (EDF Areva) essayez de passer en force pour votre profit au mépris de l'avenir et de la santé de tous.
Arrèter ce projet non conforme.

La cuve n'est pas sûre. La dimension financière ne doit pas primer sur le risque de catastrophe, on a vu ce que cela pouvait donner avec les faiblesses tolérées à la construction sur le site de Fukushima. Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées. La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir. En outre, pourquoi poursuivre une telle gabegie ?

1- Cette procédure de consultation n'est pas sincère, car les experts n'ont pas été consultés sur la faisabilité du remplacement du fond de la cuve. Ils l'écrivent eux-mêmes dans leur avis du 27 juin : on ne leur demande que d'examiner les conséquences de l'anomalie de la cuve sur son "aptitude au service". Cela les oblige à porter leur examen sur la seule hypothèse d'une cuve déjà installée. Le public n'est donc pas informé des autres possibilités (remplacement total, évidemment plus coûteux...)

2- L'argument de l'ASN sur le couvercle est fallacieux : elle écrit que comme il faut 7 ans pour en fabriquer un nouveau, "le couvercle actuel ne pourra pas être utilisé au-delà de cette date". Or ce n'est pas parce qu'il faut 7 ans pour remplacer une pièce qu'elle ne présente aucun danger jusqu'à cette date.

3- Accepter une cuve défectueuse influencera les pratiques dans l'avenir. La cuve est une pièce maîtresse : lorsque se poseront des problèmes techniques moins graves, que fera-t-on ? Il sera tentant d'adopter des compromis similaires et d'accumuler les défauts mineurs, sources de réactions en chaîne incontrôlables. Baisser le niveau de vigilance est toujours néfaste, quand les risques sont grands ; et là, ils sont gigantesques.

4- Il y a tout de même un élément positif : tous les acteurs admettent qu'il y a un défaut (progrès historique). Mais dans ce cas, on ne prend pas le risque.

Il n'y a rien à prendre avec plus de sérieux que la sureté nucléaire.
L'EPR présente un risque. Un accident nucléaire ce sont des millions de vies humaines.
Il faut arrêter de fermer les yeux sur de tels risques pour des raisons financières. La vie et la santé d'une population doit primer sur les intérêts d'un lobby. Il n'y a pas à réfléchir, à définir des exceptions, surtout quand elles sont financières.

Il faut arrêter de se réveiller et de s'excuser une fois l'accident arrivé. Nous en avons un exemple assez récent à Fukushima avec des conséquences pourtant fraiches dans nos mémoires, comment peut-on encore tergiverser devant un manque de respect des mesures de sécurité ?
Si ce risque était négligeable, pourquoi EDF et Areva nous l'aurait-il caché pendant 10 ans ? Cette seule raison devrait être suffisante à annuler ce chantier. Nous ne sommes plus au temps de Tchernobyl, on ne peut plus nous dire que le nuage s'est arrêté à notre frontière.

Vous êtes l'Autorité de Sureté Nucléaire. Cette cuve n'est pas sûre. Agissez.

Bien qu'on consomme tous et toutes l'énergie électrique, il ne fallait pas consommer, et évidemment produire, de l'énergie par le biais de centrales absolument irresponsables vis à vis de nos proches, voir ceux qui viennent après nous! Vu que les centrales nucléaires sont des "fabriques d'électricité" que l'humanité n'a pas sous contrôle en cas d'accident (voir Fukushima ) - il faut arrêter la production d'électricité nucléaire au plus vite. Surtout si, comme c'est le cas à Flamanville, un problème est connu, il FAUT REAGIR !! Il n'y a pas d'autre solution que d'arrêter cette centrale! ou faut-il vraiment qu'une centrale saute proche de chez nous avant qu'on comprenne??
D'ailleurs, c'est l'énergie électrique la plus chère, au moins si on compte tout avec, càd le démontage de la centrale, le stockage des déchets à long terme.... C'est que nous on ne paye pas cher, mais ceux qui viennent après nous!? Sauf si on raisonne de la façon : "après nous le déluge" il n'y a pas d'autre choix que de fermer les centrales et d'arrêter cette connerie!

La même rigueur doit s'appliquer avec le nucléaire qu'avec la défense nationale. Soit EDF et Areva montrent qu'ils sont capables de gérer un sujet d'une telle gravité avec un professionnalisme et une compétence exemplaire, soit leurs activités doivent cesser et leurs installations démantelées. S'ils persistent ou cherchent à faire pression, ils doivent être combattus au même titre que des terroristes. Leurs erreurs peuvent causer des pertes humaines et économiques incommensurables à la France, cela vient donc avec de grandes responsabilités.
L'état est garant des intérêts de la France et de son peuple. L'industrie nucléaire est loin d'être la seule industrie à protéger ou même la seule source d'énergie viable. Peut-être est-il temps de progressivement ranger le nucléaire au placard et de se tourner vers le futur.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Les rapports d'expertise indiquent que les conséquences de l'anomalie de la cuve ont été caractérisées, ne permettent pas de s'affranchir des risques de rupture brutale et affectent la robustesse du 1er niveau de défense. S'agissant d'une pièce fondamentale du réacteur et son niveau de sûreté n'étant pas satisfaisant, il semble qu'il n'y ait plus de débat : le chantier doit être stoppé.

De plus, la surveillance de l'évolution de cette cuve est entre les mains de ceux qui ont fait fabriquer les pièces incriminées alors qu'ils semblaient au courant depuis 2005 que l’usine Creusot Forge d’AREVA ne pouvait pas produire des pièces conformes aux normes de sûreté. Il s'agit donc d'un nouvel argument en faveur de l'arrêt du chantier, puisque les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent en aucun cas valider la prise de risque d'accident nucléaire. Aucune anomalie (et celle-ci est de taille) ne peut être acceptée au vu du potentiel destructeur dans la balance.