Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Couvercle et fonds de cuve de L'EPR : comme on a pu le voir lors de la réunion de l'OPECST du 25 juin 2015, deux sujets ont été abordés.

Le premier concernait l'évolution de la réglementation et le second les problèmes posés par les ségrégations de carbone sur le fonds et le couvercle de cuve de l'EPR.

Ces problèmes ont été particulièrement bien exposés pour qui veut se donner la peine de lire le rapport.

Au cours de cette audition, AREVA s'est engagé à réaliser un programme d'essais sur deux couvercles sacrificiels fabriqués dans les mêmes conditions que celui de Flamanville 3. Ce programme était soumis par l'ASN à l'IRSN qui devait en vérifier la complétude avant de lancer les essais proposés par AREVA.

Ces essais ont été faits, y compris les études de chargement pendant les cyclages thermiques les plus importants.

Les résultats obtenus par AREVA ont été rendus à l'ASN et analysés par l'IRSN. A la suite de quoi, ils ont été présentés à un large panel de spécialistes en métallurgie et au groupe permanents des Equipements sous pression nucléaire.

Les avis rendus par les spécialistes ont permis à l'ASN de considérer que le fonds de cuve était accepté et que le couvercle pouvait être utilisé pendant 5 ans avant un remplacement sauf si EDF trouvait un dispositif permettant de contrôler son évolution en service.

Jamais une industrie, y compris aéronautique, n'avait conduit des analyses, des essais sacrificiels et des études si poussées.

Mon avis est donc favorable à la prise de position de l'ASN en qui j'ai toute confiance.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable! Or elle n'a pas les caractéristiques requises: rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale!
Dès 2005, AREVA et EDF était parfaitement au courant que l'usine Creusot Forge d'AREVA n'était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C'est pourtant là que les pièces de l'EPR ont été fabriquées! C'est à croire que les intérêts de l'industrie nucléaire doivent passer avant la protection des populations !
Dans son état actuel la cuve ne doit pas être qualifiée. Le principe de précaution doit prévaloir car le niveau de sûreté n'est absolument pas satisfaisant !
La prise de risque constituant à utiliser de pièces comportant des anomalies est inacceptable. Le chantier de l' EPR doit être arrêté! Nous, citoyens français, n'avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d'EDF et AREVA.

La cuve de l'EPR de Flamanville et de son couvercle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Ce projet de note de l"ASN est une mascarade : on y explique que rien n' a été fait dans les regles, que la cuve élément critique ne répond pas aux normes mais que, on pourra quand même démarrer comme ça. A quoi servent les normes de sécurité si on ne les respectent pas. Des techniciens pointilleux les ont établis comme un minimum pour être à peu près garant contre un accident terrible : la fuite du coeur en fusion. Et on passe outre. Bon courage habitants de la Manche et de la Normandie, relisez ce qui est arrivé aux habitants de Fukushima et à ceux de Thernobyl...

La technologie demande rigueur, elle n'a pas été mise en oeuvre. Il faut refuser la livraison.
L'enjeu de sécurité est massif car la cuve est elle est le premier réceptacle des forces mises en oeuvre.
Le risque n'est pas seulement immédiatement humain mais très durable, au delà de nos durées de vie, de nos civilisations.
Aussi soyons responsables, arrêtons ce pari stupide.

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Suite à la lecture de l'avis du groupe d'expert et du projet d'avis de l'ASN, je suis convaincue qu'il faut privilégier le principe de précaution et exclure toute mise en service du réacteur avec la cuve actuelle.
Si Areva n'a pas pris les précautions nécessaires au bon moment, l'entreprise doit en assumer les conséquences et la remplacer entièrement, peu importe les délais impliqués, c'est une question de sécurité et une condition nécessaire à l'entretien de relations de confiance avec les citoyens.
On ne peut par ailleurs envisager sérieusement une mise en service de la cuve pour 7 ans avec remplacement obligatoire du couvercle à l'issue de ce délais compte tenu du fait que les engagements dans le domaine nucléaire ne sont ni respectés par l'Etat, ni par Areva (prolongation de mise en service des centrales, délais de construction etc.)
De mon point de vue, il est temps de mettre un terme à ce gouffre financier et ce danger environnemental que sont les centrales nucléaires et de se pencher sur des moyens de production d'énergie véritablement écologiques tout en incitant l'ensemble de la société à une réelle sobriété énergétique.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Je n'accepte pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.