Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Dans la mesure ou l'ASN valide par des données techniques la fiabilité de cette cuve, il est impératif pour les générations futures d'aller vers cette nouvelle génération de réacteurs.
La lutte contre le réchauffement climatique doit être notre priorité et le nucléaire est impératif au regard de nos connaissances actuelles pour limiter nos émissions de CO² avec nos besoins en énergie.
Dire l'inverse n'est que pur dogmatisme. L’Allemagne pollue impunément avec ses centrales à charbons en se targuant d'avoir arrêté le nucléaire. Beau leg pour nos enfants, car le réchauffement climatique ne s'arrête pas aux frontières lui non plus!
En conclusion, oui à l'EPR exploité par une entreprise qui dispose des compétences humaines et des moyens financiers pour l'exploiter en toute sureté ainsi qu'à une autorité de sureté compétente et indépendante des exploitants.
Arrêtons de financer des intérêts privés sous couvert d'une belle écologie, alors que ces investisseurs n'ont pour seule ambition que de faire du profit via la CSPE. CQFD

Il existe un trop grand risque d'une rupture brutale de la cuve. Quelles conséquences cela aurait ? Nul ne peut le savoir mais ce serait évidemment une catastrophe épouvantable.
Les intérêts de l’industrie nucléaire, ainsi que de quelques personnes, passent avant la protection des populations, c'est absolument assassin et désastreux vu le niveau de connaissances scientifiques de ces personnes.
Il est trop risqué d'utiliser des pièces comportant des anomalies. Il faut arrêter le chantier le plus vite possible.

Arrêtons les frais sur ce type d'investissement nos enfants apprécieront cette prise de décision.
Mettons notre argent sur le développement de fabrication renouvelable d'électricité avec moins de risques financier, sécuritaire et surtout sanitaire.
Comment peut-on continuer à investir dans cet objet alors que nous sommes contraints budgétairement en reportant des économies à faire auprès des plus démunis, les citoyens? Réductions des ressources, augmentations des prélèvements.... Reporter nos dépenses sur la sobrièté , l'égalité, la dignité.

Bonjour,

Merci d'appliquer les règles les plus strictes dans une total impartialité et sous aucune contrainte de quelconque lobby! Le sujet du nucléaire étant trop sensible pour être traité à la légère! Il faut prendre des décisions strictes, afin que nous puissons retrouver une certaine confiance dans l'ASN.
Si les règles de sécurité ne sont pas conforme merci d'arrêter purement et simplement la construction.
Au vu des enjeux environnementaux et des risques pour les populations il serait temps d'arrêter d'investir dans le nucléaire et d'enfin lancer la transition energétique en france.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

Merci d'assumer vos responsabilités et d'assurer notre sécurité!

AVIS DEFAVORABLE

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! C'est une question de bon sens...

Comptant sur votre totale impartialité et sens des responsabilités pour mettre ce projet en sommeil.

Cordialement, F. Boirin

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Si les anomalies sont connues et reconnues, je ne comprends pas comment l'Etat français peut accepter la poursuite de l'exploitation de cet EPR (encore faut-il savoir ce que signifie ce sigle ...). Maintenant, y-a-t-il d'autres alternatives énergétiques pour la région concernée ? Ce n'est pas certain.
De manière générale, vouloir sortir du nucléaire, c'est très bien, mais combien de personnes se donnent les moyens au quotidien pour moins consommer d'électricité ? Avec un mode et un confort de vie "à l'occidentale", je ne vois pas de solution.
Par ailleurs, l'Etat français s'est peut-être lancé dans un projet trop ambitieux, trop grand, et trop complexe techniquement.
Contrairement à l'hélice du Charles-de-Gaulle, qui a d'ailleurs passablement ébranlé l'image de la fonderie française, une fissure dans la cuve et le couvercle du réacteur serait lourde de conséquences, pour la population et plus généralement pour l'écosystème.
Merci aux dirigeants de l'Etat, y compris les personnes actionnaires du projet, de prendre en compte ces considérations relatives à la sécurité et à l'Environnement.

Etant donné la dangerosité des installations nucléaires, avec des moyens d'action qui s'avèrent limités en cas d'accident majeur (cf Fukushima), il est inacceptable, et criminel, que des failles dans la sécurité soient tolérées au nom des impératifs économiques. Un organisme comme l'ASN se doit de protéger la population, ainsi que l'environnement, des risques encourus. Les nombreuses irrégularités déjà constatées sur le chantier de l'EPR font craindre le pire ; il semble que le savoir-faire français en matière de centrales nucléaires, que l'on nous a présenté comme garant de fiabilité, soit en train d'être bradé au nom de la rentabilité. Cela fait froid dans le dos.
La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Fermer les yeux sur les défaillances constatées serait un signal négatif très grave envoyé à la population.
Je me prononce résolument contre la poursuite du chantier dans ces conditions.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.