Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

(Prem):
Bonjour
Les arguments techniques qui jettent plus qu'un doute sur la fiabilité du couverle de la cuve de l'EPR de Flamanville sont connus, ainsi que l'historique du contexte de la prise de décision par Areva de procéder à sa fabrication dans des conditions qui constituent une prise de risque importante pour la population.
Je pense qu'on ne doit en aucun cas jouer à la roulette russe, au jeu des probabilités avec la sécurité des personnes car les enjeux humains et environnementaux sont dans ce cas énormes.
J'ai un ami qui travaille au coeur des questions de sûreté nucléaire depuis plus de 30 ans. Il m'a averti: nous ne sommes pas meilleurs que les Japonais ou les Américains. Nous avons été à un cheveu de l'accident majeur en Gironde. S'il se produit un jour, et là il a lourdement insisté, "on va pourrir la moitié de la France" (j'ajoute: pour très longtemps, selon les isotopes qui seront concernés).
Je demande donc comme citoyen de ce pays que soit remplacé le couvercle de la cuve de l'EPR de Flamanville avant toute mise en service.
PREM

Aucun besoin ne doit faire passer la santé, la vie de la population et des génération futures en dernier. La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Je n'accepte pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Français de Belgique, je connais les risques liés aux fissures qui affectent les cuves d'une partie des réacteurs nucléaires belges. Les autorités allemandes, néerlandaises et luxembourgeoises considèrent qu'il est inacceptable de poursuivre l'exploitation de ces centrales et demandent avec insistance qu'elles soient arrêtées.

La cuve étant la pièce essentielle de tout réacteur, il est indispensable que sa conformité aux exigences les plus élevées soient respectées.
Or, ce n'est pas le cas non plus pour l'EPR de Flamanville.
L'ASN ne peut autoriser le démarrage de l'EPR car cela ferait courir un risque de fissuration de la cuve pouvant aboutir à une rupture brutale ! Une telle rupture entraînerait une catastrophe avec des risques incalculables pour les populations normandes et bretonnes et pour leurs territoires.
Toute autre décision constituerait un acte d'une grave irresponsabilité !

Faut-il rappeler que dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

Vous connaissez les risques : probabilité faible (quoique 2 récurrences en 30 ans) pour un risque extrêmement élevé (des milliers de km2 inhabitables pour des décennies + morts et malades sur des générations).
Comment pouvez vous valider une qualif sur du matériel défectueux mais si essentiel pour la sécurité du site ?
Parce que va coûter trop cher ? Mais oui le nucléaire coûte cher. Alors soit on accepte de payer le prix (avec les risques qui ne disparaîtront pas) soit on change de cap.

Comment peut-on ne serait-ce que se poser la question ???? On ne parle pas d'une casserole et de son couvercle qu'on mettrait à bouillir pour nos pates... Mais bien d'une cuve qui est la pièce essentielle du réacteur nucléaire. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

12 ans qu'EDF et AREVA connaissent les problèmes de fabrication de cette cuve. 12 ANS !! Rien ne bouge à la bonne vitesse, on peut se poser de sérieuses questions quant aux vraies motivations de l'État français, des différents organismes et des entreprises qui gèrent la construction et la sécurité des centrales françaises, ainsi que la qualité des relations avec EDF qui fait avancer les dossiers chauds au ralenti. Pendant ce temps les citoyens subissent les risques actuels et dangers potentiels…
Je suis absolument contre ce projet : un réacteur de 3e génération, technologie qui n'a jamais été testée auparavant grandeur nature, avec une pièce maîtresse défectueuse avant même sa mise en route, c'est prendre beaucoup trop de risque pour faire bouillir de l'eau et tourner une turbine. Que ferons-nous lorsqu'un accident majeur aura eu lieu ? Que va devenir notre magnifique pays, première destination touristique au monde, une fois que des territoires entiers auront été irradiés ? Et sa population ? N'oublions pas Tchernobyl, Fukushima, Three Miles Island, Forsmark et tous ceux dont on n'entend pas ou trop peu parler, notamment en France. C'est déjà beaucoup trop d'accidents majeurs pour une technologie réputée "risque zéro".

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Personnellement, je suis contre les énergies fossiles et le nucléaire qui ne peuvent être vus comme des énergies d'avenir car elles appauvrissent ou détruisent leur environnement. Environnement dont nous avons besoin pour d'autres buts bien plus importants comme : se nourrir, avoir de l'eau potable, respirer un air non vicié ...

Continuer à construire cette centrale alors même que le risque de problème est connu est tout simplement irresponsable.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

L'Epr
La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.