Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

La physique de propagation des criques n'est pas une science de l'ingénieur exacte et il faut garder des marges énormes pour diminuer le risque, mais autant l'industrie spatiale accepte par exemple un taux de survie de 75% à 18 ans (durée de vie moyenne d'un satellite moderne) pour un satellite commercial, autant elle n'accepte pas de mettre en danger bêtement la vie des astronautes, bien qu'ils ou elles acceptent un haut degré de risque (ce qui n'est pas le cas de la population Française).
L'industrie spatiale, donc, fait en sorte que ses spécifications soient respectées et des déviations mineures sur du matériel produit par un sous-traitant peuvent être parfois acceptées si les spécifications du maître-d'oeuvre incluent des marges définies en amont de l'incident, pas après ! (condition sine qua non !!!).

Avec le nucléaire, on met en danger de manière immédiate, moyen terme et long terme non seulement une population considérable , mais aussi tout un territoire qu'il faut laisser à l'abandon, avec les conséquences économiques énormes (Cf. Le Japon après Fukushima...). Le risque est sans commune mesure avec la perte de revenus d'un opérateur de satellite, seule conséquence d'une panne.

En ce qui concerne le réacteur EPR de Flamanville, on a clairement affaire à une malfaçon décelée ab-initio et seuls les intérêts économiques des actionnaires ont été préservés, faisant d'A. Lauvergeon une chef d'entreprise admirée ... à tors, on le sait maintenant.

Les intérêts des actionnaires étant exclusivement court-terme, les intérêts long terme de la population, du territoire, de la région, ont été totalement ignorés. TEPCO a fait la même chose avant Fukushima (il suffit d'analyser la présentation de ses performances économiques sur les 20 dernières années, visible sur internet l'année de Fukushima, pour s'en rendre compte...).

On ne donne pas une responsabilité d'ordre régalienne (santé d'une population et économie d'un territoire) à des actionnaires ! C'est aussi simple que cela !

A défaut de l'état (non crédible car actionnaire de EDF, chargé d'éponger les dettes d'Areva sur le dos des citoyens...) ce sont donc les citoyens qui doivent prendre le pouvoir de décision sur ce dossier. Et pour moi, il est hors de question d'entériner une malfaçon sur ce réacteur.

Je n'accepte pas non plus de chantage au chômage : les brillants ingénieurs du nucléaire sont parfaitement reconvertibles en bloc sur les énergies renouvelables. La filière nucléaire a pu se bâtir en France grâce à des plans quinquennaux successifs à une époque où les ultra-libéraux régnant aujourd'hui à Bruxelles n'existaient pas. Elle n'a donc pas eu à financer elle-même son développement, comme il est demandé aujourd'hui aux filières "énergies renouvelable" par ces fous ultra-libéraux qui sont même allés jusqu'à laisser fixer le prix de la tonne de CO2 par ...."le marché".
Nous , citoyens, devons faire le ménage avant que ces fous ne nous mènent à notre perte.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Les russes, puis plus près de nous les japonais avaient sûrement une confiance aveugle dans leur technologie et dans leurs ingénieurs et règlementations... jusqu'aux terribles jours où l'impensable arriva...
Il me semble que nous pêchons par manque d'humilité, nous les ingénieurs français! Sommes nous à l'abri de tout accident/incident? Non, des incidents, il s'en produit régulièrement, on en sait qqs bribes malgré le couvercle de plomb qui cherche à toujours tout étouffer... dormez en paix braves gens, faites nous confiance! Eh bien non ça suffit !!!! Doit-on attendre le pire!??? Surtout quant on apprend ces malfaçons inadmissibles sur des pièces aussi cruciales et sollicitées que sont la cuve, soit le coeur du réacteur! Et surtout quand on sait que le combustible utilisé dans l'EPR sera encore plus toxique que pour les centrales classiques! Résistez aux lobbies et faites votre boulot! Vous ne devez faire aucun compromis sur la sécurité, l'enjeu est trop incroyablement important et potentiellement dévastateur. Cette cuve ne doit pas être installée. C'est prendre un risque insensé que d'autoriser son installation. Que de pressions devez vous subir pour agir ainsi...

Il s'agit de nucléaire, pas d'une cocotte minute pour les patates du soir,
aucun risque si minime soit il ne doit être pris,
Areva parvient à nous expliquer à la fois qu'il y a un danger....et qu'il n'y en a pas.
Nous savons malheureusement ce que les petites entorses coûtent sur le sujet du nucléaire.
Le nucléaire est un danger permanent et une catastrophe écologique.
Plus de centrales et vite, osons avouer l’infâme de ce "fleuron" de notre industrie.
Trouvons de vraies solutions pour nos déchets, le moins impactantes possibles pour notre terre, ses citoyens.
Ayons ce courage et sortons en grandis.
Commençons par refuser la poursuite du chantier!

Il est d'une évidence implacable que n'importe quel fournisseur d'énergie contentieux ne pourrait tolérer qu'une pièce de l'un de ses sites de production soit possiblement dangereuse aussi bien pour nos concitoyens que pour la nature elle-même.
Si EDF et AREVA décident d'installer cette pièce, cela remet en jeu la capacité de ces deux entreprises à gérer une difficulté mais, plus grave encore, ces multinationales montrent publiquement que la sécurité de la population passe après leurs intérêts économiques.