Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Il parait difficile de s'en remettre aux aléas du futur alors même que les éléments scientifiques nous donnent des preuves d'un risque important et inutile. La garantie de la fiabilité du couvercle de la cuve n'étant pas acquise, la dangerosité de cet état ne peut être maintenue. Le discours des autorités ayant toujours été qu'aucun risque nucléaire ne serait jamais pris en France (ce qui semblait nous distinguer de tous les autres pays), que se passe t il pour que cela ne soit plus la présentation officielle de la politique nucléaire en France? Aucun lobby financier ou autre ne devrait pouvoir mettre en danger la vie sur terre.

Comment peut-on sérieusement en arriver la?
La cuve doit respecter certaines normes, pour s'en assurer des controles ont été effectués... et ont montré que la qualité n'était pas satisfaisante. Dès lors, comment peut-il même y avoir débat? D'où sors cette idée comme quoi on pourrait l'utiliser jusqu'à 2024??
Soit il y a un risque et évidemment tout doit être arreté, soit il n'y en a pas, mais du coup pourquoi avoir fixé ces normes la? La crédibilité de l'ASN était déjà douteuse, la ca devient carrément ridicule.

Comme la plupart des gens à qui s’adresse cette consultation, je ne peux évidemment pas donner un avis d’expert sur un domaine technique qui n’entre pas dans le domaine de mes compétences.
Cependant, le simple résumé du rapport montre que l’ASN ne remplit pas sa mission de « protection des citoyens » et elle le dit elle-même.
En l’occurrence, l’ASN admet d’un côté l’existence d’un risque pour la cuve ; celle-ci présente toutefois a priori la possibilité d’être régulièrement contrôlée rendant le risque « relativement » maîtrisé (même si, de mon point de vue, cela reste discutable) ; d’un autre côté, l’ASN admet et accepte sans réserve l’existence d’un risque non maîtrisé et non contrôlable lié au couvercle. La raison évoquée par l’ASN pour accepter ce risque est l’impossibilité technique de réaliser un nouveau couvercle d’ici 7 ans. Et alors ? Autant autoriser des voitures à fonctionner avec des freins déficients, parce que ce serait trop compliqué ou trop long d’en fabriquer de nouveaux. L’ASN accepte donc officiellement de jouer à la roulette russe avec une installation nucléaire, et ce pendant au moins 7 ans…. S’il est de fait impossible de s’assurer de la sécurité du couvercle, il ne reste plus qu’à rejeter le projet.
En concluant de la sorte il me semble que l’ASN sort de ses prérogatives: elle se doit d’assurer la protection de la population vis-à-vis du risque nucléaire et non son approvisionnement en énergie ou l’approvisionnement financier des entreprises. Or, assurer la protection de la population, c’est refuser le risque aléatoire. On peut donc se poser la question de la légitimité de sa réponse et de son analyse.
L’ASN sacrifie de toute évidence la sécurité citoyenne sur l’autel du confort énergétique si ce n’est des lobbys du nucléaire.
Si l’agence et ses membres ne placent pas la sécurité au centre de leurs préoccupations, elle est une coquille vide et ne justifie pas même son existence.

L'ASN assure, au nom de l'État, la réglementation et le contrôle de la sûreté nucléaire et de la radioprotection pour PROTEGER le public, les patients, les travailleurs et l'environnement.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Nous devons rappeler à l’ASN les points suivants :

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA