Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Déjà que le coup énergétique et les quantités d'eau nécessaires au fonctionnement d'une centrale sont inacceptable, il me semble obligatoire que chaque central en activité le soit de manière la plus sécuritaire possible. En effet, les conséquences d'un accident nucléaire seraient humainement et écologiquement une catastrophe. Or, la cuve du réacteur de la centrale nucléaire de Flamanville est aujourd'hui vétuste. Il est d'une importance capitale de remédier à ce problème !!

Parce que l'on nous impose encore et encore de nous enfoncer dans l'impasse du nucléaire et des risques de santé publique qu'impliquent les défections de ses systèmes d'exploitation, il est inacceptable de mettre en place un projet dans des circonstances de malveillance telles que celles signalées par les autorités en charge de la sécurité nucléaire.

Les problèmes liés à la sûreté des réseaux nucléaires mettent en lumière la nécessité de sortir d'un fonctionnement centralisé sur une production massive en centrale, pour des répartitions souvent inégalitaires pour les foyers, alors que l'acheminement des énergies sur les industries et pôles d'activités économiques prévalent sur le bien être de la population.

En l'état actuelle des choses, il faut mettre en lumière que le bénéfice et les profits personnels des dirigeants de l'entreprise Areva sont à l'inverse d'une valeur commune et d'une valorisation des techniques modernes de création énergétique. Les énergies renouvelables sont mise à mal par le financement public de projets dévalorisant les promesses écologistes des gouvernements succins.

L'expression et le dénigrement de l'avis des électeurs et de la volonté de sortie promise des centrales à énergies fossiles est une honte pour la démocratie, et ce projet d'EPR le symbole de l'hypocrisie de la classe dirigeante et financière à l'égard du peuple français, mais aussi de ces peuples d'Afrique et d'ailleurs ou les mines d'uranium sont le moteur de crises sociétales graves.

Il ne s'agit donc pas seulement de ne pas continuer à développer la centrale de Flamanville qui par son dysfonctionnement met en lumière l'impasse de la fonction nucléaire française et mondiale, mais de sortir définitivement du boulevard des énergies fossiles, pour dépasser enfin l'ère industrielle et revenir immédiatement à la volonté du peuple, derrière fracas et guerres sociales, derrière inégalité et surcoût de la consommation énergétique, pour redonner l'indépendance énergétique à la population dans un soucis éthique et de sécurité.

Je remercie les membres de l'autorité de sûreté nucléaire pour cette enquête et cette parole donnée enfin au public, sur un sujet qui concerne toute la population par delà les frontières, puisque l'on sait que les nuages toxiques qui suivent les catastrophes dramatiques dans les centrales nucléaires, ne reconnaissent pas les lignes imaginaires qui séparent nos peuples.

L'échec sécuritaire et budgétaire de Flamanville et la nomination d'un ancien d'Areva au poste de Premier Ministre du gouvernement prouvent bien la nonchalance de ceux là même qui nous proposent de toujours avancer plus loin dans l'impasse d'une société malade de ses inégalité de contrôle sur les ressources et l'avenir.

Il est temps que cela change.

Bien à vous, en espérant que les choses changent vraiment et que les voies du peuple soient entendues.

La qualité de la cuve doit être parfaite. Il ne faut pas rigoler avec le nucléaire, pourquoi mettre les intérêts de l'industrie du nucléaire avant celle de la population? Le chantier doit être arrêté, l'utilisation de pièces comportant des anomalies comporte un trop gros risque qu'il ne faut pas accepter
Nous n’avons pas à payer le prix des erreurs d’EDF et AREVA. Il faut s'y opposer fermement. Pourquoi alors que les risques sont connus, faut-il les laisser courir?

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Je n'accepte pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté !
Ni moi, ni les générations futures n'ont pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

J'espère que l ASN fera valoir son pouvoir et son impartialité pour ne jamais accorder d'autorisation de mise en service d'un matériel à si haut risque et présentant la moindre anomalie. Si des emplois sont en jeu des milliers de vies et de générations courent un risque absolu en cas de défaillance. Cette région est une des plus belle de France sa faune et sa flore sont d'une richesse unique . Cet EPR est situé dans une zone de pêche les plus importantes en Europe une erreur un accident et cette zone et bien au delà sera contaminée pour des millénaires.
L 'Asn a le pouvoir et la connaissance pour faire valoir le principe de précaution.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Je n'accepte pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Le cuve étant la pièce-clé du réacteur, la cuve de l'EPR ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Malgré la connaissance des erreurs les décideurs ont signé un chèque en blanc.Le principe de précaution doit prévaloir. Le chantier doit être arrêté, puisqu'il sera impossible de surveiller son évolution ni de prévenir sa rupture brutale.
AREVA coûte trop cher aux citoyens français. Nous n'avons pas à payer le prix si élevé des erreurs stratégiques et techniques d'Areva et d'EDF. Cet argent gaspillé est un scandale. Les choix budgétaires doivent s'orienter à 100% vers l'abandon du nucléaire et le développement des énergies renouvelables et des énergies douces. Le scandale doit cesser, la prise de risque aussi. Merci pour les générations actuelles et futures.

Comme mentionné dans le titre de la consultation, ASN constate une anomalie dans les caractéristiques de la cuve, pièce essentielle du réacteur, cette partie du réacteur n’ayant pas les caractéristiques requises pour garantir la sécurité et le bon fonctionnement de l’ERP.
La cuve ne peut pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir.
Je ne pense pas que vous puissiez accepter la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.