Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Bonjour,

Je ne suis pas un professionnel de la résistance des matériaux, mais il est évident que si une pièce n'est pas homogène dans sa nature, c'est la porte ouverte aux problèmes de dilatations, donc de fissures. Surtout pour une pièce soumise à de la pression, de hautes températures et surtout des variations.

Vous êtes sur le point de donner une autorisation d'exploitation pour 7 ans, pas par expérience et/ou compétence, mais pour la simple raison qu'il faut 7 ans pour en fabriquer une nouvelle... ça fait peur !

Nous sommes dans un contexte mondial des énergies renouvelables et de l'arrêt du nucléaire, pourquoi ouvrir une nouvelle centrale qui présente des risques... inconnus ?

Certes, l'ardoise est lourde, mais n'est-elle pas préférable aux risques encourus ?
L'ardoise est financière presque symbolique/virtuelle facile à étaler dans le temps.
Les morts et la pollution de la planète seront bien réels, directs pour les morts et différés pour les malformations/décès prématurés, directs et étalés sur des dizaines ou centaines de milliers d'années pour la pollution .

Pour moi, je m'en fous, j'ai 63 ans et j'habite très loin de Flamanville (quoique... en fonction de la direction des vents... j'habitais très loin de Tchernobyl mais pas dans le bon sens et ça m'a couté la moitié d'une thyroïde) mais pour la planète et l'humanité, je pense que le risque n'en vaut pas la peine.

Merci pour cette consultation du petit peuple, en espérant qu'elle soit utile.

Cordialement,
Yves Brasey

je relaie simplement le texte proposé par Greenpeace déjà lu dans les autres commentaires, arguments très clairs et reflète bien mon inquiétude vis à vis de ce projet : "La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA." merci

je vous remets le texte prévu à cet effet, et croyez moi, j'espère que ca servira à quelque chose... vive la bêtise humaine et le besoin de sang... heu pardon, d'argent... enfin bref, arrêtez tout, et réveillez vous!!! il est grand temps que ca cesse. stop à la pollution!!!

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Le chantier de Flamanville doit s'interrompre.
Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
L'usine Creusot Forge d’AREVA n'a pas fourni de pièces conformes et pourtant le site existe !
En tant que citoyen de droit, comment faire confiance aux constructeurs ?
Qu'allons nous laisser en héritage aux générations futures ?
Il n'existe strictement aucune solutions pour le traitement des déchets nucléaires.
Nous en subissons déjà les conséquences. L'Allemagne en l'exemple le plus pitoyable.
Il existe des recours pour sortir du nucléaire et une grande partie de la population aurait aimé opter pour ces alternatives. Aucun référendum proposé !
Pour la planète, pour toutes les espèces, pour le vivant présent et à venir,
merci de nous demander notre avis.
En espérant que ces commentaires seront pris démocratiquement en compte.

Un homo sapiens qui nous veut du bien

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

l'energie nucléaire est un instrument magnifique, a condition qu'elles soient sure, et qu'il n'y ai pas de risque d'accident nucléaire. Sinon ça devient un objet extrêmement dangereux pour la survie de ceux qui sont sur le territoire des centrales, et les pays qui l'entoure.
Ici, nous parlons des centrales Francaise.
Laisser un une cuve, element essentiel d'un reacteur avec une anomalie dans son acier, n'est pas digne d'un pays qui se dit maitriser tout a fait ses centrales. Si nous nous permettons de faire des aussi gros ecarts dans la sûreté du nucléaire, et de laisser une cuve endommagé, alors je me range du côté des allemands qui ne veullent plus de nucléaire même si ils polluent plus avec d'autre centrales. L'accident nucléaire est trop grave pour ne pas avoir une cuve, élément important du réacteur, impeccable.

Bonjour. Je ne suis pas un spécialiste en sécurité nucléaire et donc ne peux donner un avis en me faisant un jugement à partir des pièces que vous me présentez qui elles, ont toutes été réalisée par des spécialistes de la chose.

Et donc que vois-je :

Que les propriétés chimiques qui entrent dans la composition de la cuve et de son couvercle ne respectent en rien le cahier des charges de sécurité, qui est particulièrement important, concernant tous les matériaux liés à l'exploitation des énergies nucléaires.
Les spécialistes me disent que ce non respect de la composition de cet acier pourrait poser deux problèmes : on ne pourrait pas surveiller son évolution dans le temps et encore moins prévenir le risque d'une rupture brutale...

Alors comment donner sa qualification à cette cuve et à ce couvercle en aillant connaissance d'une anomalie dans sa structure même ?

Vos rapports le disent eux même. Il faut passer commande pour une nouvelle fabrication avec un délai d'environ sept années avant la livraison. Et pendant ces sept années on ne peut pas contrôler le couvercle ? On ne peut pas savoir si il y a un risque de rupture ? On se dit quoi alors dans ces moments là ? "Allez on tente le coup on verra bien !" ou, "ouais ça va le faire..."

Le problème vient du fait que l'on est pas en train de ce dire que la "rustine ne va peut être pas très bien tenir sur la chambre à air d'un vieux vélo", non. On parle d'une cuve et d'un couvercle de centrale nucléaire. Je vous l'ai dit des le début, je ne suis pas un spécialiste de physique nucléaire, ce que je connais du nucléaire c'est des exemples comme 3 Miles Islande, Tchernobyl ou encore Fukushima, des exemples qui ont démontrés l'impuissance des hommes face au déchaînement du feu nucléaire.

Puisque vous me demandez mon avis en tant de citoyens je vous le donne : vous établissez une norme de sécurité, elle n'est pas respectée. La cuve et le couvercle doivent être refabriquée. Le principe de précaution doit prévaloir.

On sait que des 2005 EDF et AREVA auraient pu faire quelque chose, mais au lieu de cela ils ont continué à faire produire cette cuve et son couvercle par l'entreprise du Creusot Forge qui appartient, quel hasard, à AREVA. Donc cela nous prouve une fois de plus (était-ce vraiment nécessaire ?) la collusion entre intérêts industriels et intérêts nationaux. Nous savons bien depuis plusieurs scandales sanitaires que l'industrie favorise d'abord ses actionnaires aux détriments de la population. Depuis le scandale de la vache folle les exemples sont légions et ce qui est vrai dans l'agroalimentaire l'est également pour les laboratoires pharmaceutiques, le BTP, la chimie, etc, etc...

Et là, une preuve est faite aussi pour la sécurité des installations nucléaires.

Nous ne pouvons accepter que pour défendre leurs intérêts, EDF et AREVA fasse prendre le moindre risque à la population française. Le principe de précaution doit toujours prévaloir et il n'est pas admissible que les citoyens de France puisse endosser le moindre risque suite à une erreur technique ou technologique d'un industriel quelquonque.

Merci.