Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

La prise de risque dans le domaine du nucléaire ne peut exister car abouti à des catastrophes de dimension incalculable. C'est pourquoi nous devons sortir de l'énergie nucléaire, au lieu de nous entêter à "trouver des solutions techniques provisoire" comme cette idée de couvercle de cuve utilisable jusqu'en 2024. Les accidents passés doivent nous pousser à dire "stop", avant un nouvel accident, inéluctable. En ce qui concerne les EPR, en dehors des problèmes de sécurité, rien ne permet de les défendre. Non rentable économiquement, non efficace, absorbe des capacités financières qui seraient plus utile sur d'autres front de la transition énergétique. Il n'est jamais trop tard pour arrêter avant une catastrophe, le prix des entêtements passés sera toujours moindre que des entêtements futurs ... Refusons ce couvercle non conforme, et à l'opérateur AREVA_EDF d'en tirer ses propres conclusions.

La prise de risque dans le domaine du nucléaire ne peut exister car abouti à des catastrophes de dimension incalculable. C'est pourquoi nous devons sortir de l'énergie nucléaire, au lieu de nous entêter à "trouver des solutions techniques provisoire" comme cette idée de couvercle de cuve utilisable jusqu'en 2024. Les accidents passés doivent nous pousser à dire "stop", avant un nouvel accident, inéluctable. En ce qui concerne les EPR, en dehors des problèmes de sécurité, rien ne permet de les défendre. Non rentable économiquement, non efficace, absorbe des capacités financières qui seraient plus utile sur d'autres front de la transition énergétique. Il n'est jamais trop tard pour arrêter avant une catastrophe, le prix des entêtements passés sera toujours moindre que des entêtements futurs ... Refusons ce couvercle non conforme, et à l'opérateur AREVA_EDF d'en tirer ses propres conclusions.

Preuve est faite une fois encore que les intérêts financiers dépassent les engagements de sécurité et plus encore, n'ont que faire de l'avenir.
Car en construisant toujours plus de centrales nucléaires, c'est non seulement l'avenir du pays qui est menacé, mais l'avenir du monde qui, dans un futur à long terme, risque de devenir un désert radioactif stérile. L'usage de l'atome avait peut être un intérêt dans les années 1950 quand l’humanité, euphorique de ce nouveau savoir, ne jurait que par l'énergie de la fission.
Mais la seconde moitié du XXème siècle nous a montré le péril immense qui guette notre civilisation si nous nous laissons abusé par cette technologie. Les accidents et incidents sont innombrables, et chacun d'eux amène un grand nombre de lourdes conséquences, tant humaines qu’environnementales. Sommes-nous contraints de prendre le risque nucléaire pour disposer d'une quantité d'énergie suffisante, alors que d'autres alternatives existent ? L'âge atomique a assez duré, et si nous ne voulons pas que l'histoire s'arrête, il serait grand temps d'imaginer comment faire autrement.

Messieurs, Mesdames, le choix vous reviendra d'autoriser ou non la construction de cette nouvelle centrale, dont des pièces d'importance capitale sont, avant même sa mise en service, défectueuses. Vous savez plus que quiconque les risques que représentent la technologie de l'atome, et les échelles de temps immenses durant lesquels l'humain ne pourra intervenir au sein du réacteur. Ne laissez pas l'occasion à une nouvelle catastrophe nucléaire d'avoir lieu. Usez de votre statut de juge pour défendre les intérêts humains et écologiques qui sont les promesses d'un avenir sûr.

Je remercie l'ASN de permettre à chacun de s'exprimer sur le sujet, et espère que la parole du peuple vous permettra de faire le bon choix.

Même si je pense que mon avis ne vas pas changer grand chose je le donne quand même :
La cuve et le couvercle ne sont pas au normes et devraient pas être qualifié. Un taux de carbone qui est presque 50% plus haut que la norme l'exige change les propriétés de l'acier et rend ces parties primordiales pour la sécurité vulnérable. Je trouve la mise en service de la centrale de Flammanville sans que ces pièces soit remplacés irresponsable et inacceptable, vu les graves conséquences qui pourrait avoir un accident nucléaire si on prend Fukushima et Tschernobyl comme référence. De plus je me demande si déjà ces deux pièces principal comportent des anomalies, comment sont fait les autres éléments du réacteur. Peut on être sure que ces pièces la correspond aux normes? La forge d'AREVA a le Creusot a déjà dans le passé falsifié des certificats de sécurité pour des nombreuses pièces. Mon avis est donc négatif, pas de mise en service d'une centrale ou les pièces ne correspond pas aux normes.

Même si je pense que mon avis ne vas pas changer grand chose je le donne quand même :
La cuve et le couvercle ne sont pas au normes et devraient pas être qualifié. Un taux de carbone qui est presque 50% plus haut que la norme l'exige change les propriétés de l'acier et rend ces parties primordiales pour la sécurité vulnérable. Je trouve la mise en service de la centrale de Flammanville sans que ces pièces soit remplacés irresponsable et inacceptable, vu les graves conséquences qui pourrait avoir un accident nucléaire si on prend Fukushima et Tschernobyl comme référence. De plus je me demande si déjà ces deux pièces principal comportent des anomalies, comment sont fait les autres éléments du réacteur. Peut on être sure que ces pièces la correspond aux normes? La forge d'AREVA a le Creusot a déjà dans le passé falsifié des certificats de sécurité pour des nombreuses pièces. Mon avis est donc négatif, pas de mise en service d'une centrale ou les pièces ne correspond pas aux normes.

Même si je pense que mon avis ne vas pas changer grand chose je le donne quand même :
La cuve et le couvercle ne sont pas au normes et devraient pas être qualifié. Un taux de carbone qui est presque 50% plus haut que la norme l'exige change les propriétés de l'acier et rend ces parties primordiales pour la sécurité vulnérable. Je trouve la mise en service de la centrale de Flammanville sans que ces pièces soit remplacés irresponsable et inacceptable, vu les graves conséquences qui pourrait avoir un accident nucléaire si on prend Fukushima et Tschernobyl comme référence. De plus je me demande si déjà ces deux pièces principal comportent des anomalies, comment sont fait les autres éléments du réacteur. Peut on être sure que ces pièces la correspond aux normes? La forge d'AREVA a le Creusot a déjà dans le passé falsifié des certificats de sécurité pour des nombreuses pièces. Mon avis est donc négatif, pas de mise en service d'une centrale ou les pièces ne correspond pas aux normes.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable !
Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Lorsque le programme électronucléaire a été lancé dans les années 70, les "responsables" annonçait un risque d'accident majeur de 1 sur plusieurs millions. Ce qui promettait un absence d'accident majeur avant plusieurs centaines d'années. Nous avons eu au moins 3 connus : Three Miles Island, Tchernobyl, Fukushima. Que ce soit pour le nucléaire ou pour l'environnement de notre planète, la réalité est toujours bien pire que les prévisions, et même que les plus pessimistes.
Lors de la conception de l'EPR, des caractéristiques mécaniques ont été définies, calculées afin de répondre à une exigence de sécurité. Des anomalies graves ont été détectées. Les caractéristiques mécaniques ne sont pas au niveau attendu et donc, la pièce (la cuve) ne peut respecter les exigences de sécurité.
Il s'agirait d'une pièce de quelques milliers ou dizaine de milliers d'euros, la question ne se poserait pas et la pièce serait refaite. Dans le cas de la cuve, le cout est synonyme de l'arrêt de mort de la filière nucléaire déjà moribonde. Doit-on prendre le risque d'un accident majeur pour sauver une filière morte de toute manière? Le principe de précaution doit prévaloir d'autant plus que, rappelons le nous, les prévisions sont toujours trop optimiste dans ce secteur.
Accepter cette cuve, c'est mettre en péril des vies, une région, un pays! La France se remettra de la mort de la filière nucléaire mais ne se remettrait pas d'un accident majeur!

L’énergie nucléaire n’est pas une énergie comme les autres. Elle dépasse le niveau de connaissance et de maîtrise de l’être humain. En attendant de tourner la page de cette industrie, ce qui serait sage, aucune faiblesse dans les choix de prolongation ou les précautions encadrant son usage n’est permise. Si l’ASN a des doutes et demande son avis aux citoyens, alors pour moi, c’est : non, pas d’accord d’utilisation de la cuve actuelle de l’EPR.
Merci à l’ASN d’avoir ouvert cette consultation et aux associations vigilantes d’en avoir relayé l’information.