Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Cher ASN, si vous avez conscience de ne serait-ce qu'une moindre fissure dans cet organisme illusoirement contrôlable qu'est une centrale nucléaire, votre réaction première devrait être de vous opposer à son utilisation. C'est votre travail, non ? Avez-vous déja oublié toutes las catastrophes pulvérisantes d'inhumanité, et toutes celles, passées sous silence, parce que de justesse évitées ? POSITIONNEZ-VOUS ! On compte sur vous ! Pour la vie et la sécurité, merci !

Lors de la catastrophe de Tchernobyl, le Pr Pellerin avait dit que le nuage n'avait pas passé le Rhin. Les autorités ont été obligées de démentir ces déclarations quelques années plus tard. On nous avait dit qu'une telle catastrophe ne pouvait pas se produire au Japon. On a eu pire. On nous a dit qu'un accident nucléaire ne pouvait pas se produire en France. C'est vite oublier la fusion partielle des 2 réacteurs de St Laurent avec dégazement et vidange dans la Loire dans laquelle on retrouve encore du Plutonium. Et maintenant on nous dit que cette cuve est bonne au service et que peut être on changera le couvercle. Mais comment ? On aimerait bien le savoir. Car jusqu'à preuve du contraire EDF n'arrive même pas à s'attaquer au réacteur de Brennilis qui n'est en rien comparable en terme de dangerosité avec celui de l'EPR. Cet EPR continuera à laisser le Niger dans la "merde" dans laquelle on le maintient depuis 40 ans. Les autres approvisionnements d'uranium se font auprès de pays plus que douteux où il faudra maintenir les dictatures pour les garantir. Et que deviendront les déchets de l'EPR ? Pour Bure ? Le summun de la politique nucléaire qui ne fait que déplacer la radioactivité et contaminer des territoires. Et le démantèlement de cette machine infernale? Passé par perte et profit pour le moment !!! Les générations futures se "démerderont" ??? In finé c'est "après moi le déluge" !!!!
Et si, à cause de cette cuve défectueuse, l'EPR était source d'une catastrophe nucléaire? Suivant les vents, soit Paris soit le Bénélux et autre pays du Nord de l'Europe seront contaminés !! Et le Pr Pellerin n'est plus de ce monde pour aller à la TV pour dire que le nuage n'a pas passé la frontière. Combien de personnes à déplacer - avec les drames que cela engendre- quels territoires? pour aller où ? pendant combien de temps? Combien de km2 déclarés inhabitables ? Qui payera cette addition ? Quelle prise en charge des personnes contaminées (prise en charge style ACCB???) Quelles indemnités recevront les gens? Pour quels biens? Est-ce que la EDF -ou la France- devra payer les conséquences de ses dégâts dans les autres pays ? Nous fera-t-on le coup des seuils de contamination qui fluctuent au gré des besoins de l'industrie nucléaire, comme au Japon, pour éviter les déplacements et indemnités?
Et cette fois-ci, est-ce que EDF déclarera, comme à son habitude, que c'est "sans conséquences pour l'environnement et la santé humaine"!!!

Personne ne maîtrise cette technologie et encore moins ses déchets. On pare aux problèmes avec des déclarations à l'emporte-pièce et on balade les déchets en espérant que tout cela tiendra 20 à 30 ans ce qui permet de "refiler le bébé" à la génération future.
Aucune génération nous ayant précédé n'a engagé à un tel point l'avenir de la planète. De plus nous ne donnons pas aux générations futures la méthodes pour se prémunir - et je ne dis pas "se débarrasser"-. Notre devoir moral est de ne pas hypothéquer notre futur ni celui des suivants avec une telle technologie. D'autant que nous avons les moyens de faire autrement.
Donc l'EPR ne doit pas être mis en fonctionnement.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

En tant que simple citoyens français et père de famille, je demande le non démarrage du réacteur avec cette cuve défaillante, il faut arrêter ce chantier fou... 'vous marchez sur la tête' !
Je ne souhaite pas prendre un tel risque et je n'ai pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.
Les exemples de non maitrise du nucléaire sont trop nombreuses (Tchernobil, Fukushima, la mine de stockage en Allemagne et aux USA...) et perdurent : après les accidents, les années passent et RIEN n'est résolu
De plus, les problèmes des déchets nucléaires restent gigantesques et sans solution à ce jour ; et les couts sont astronomiques (et sous estimés). Il vaut mieux investir ces milliards dans d'autres solutions énergétiques et de bon sens (cf Negawatt).

La cuve est la pièce essentielle du réacteur et sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Je n'accepte pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté !

Comme d'habitude, l'aspect financier prime sur l'aspect sécurité, et de quelle sécurité parle-t-on ? Tout simplement des conditions absolument inhumaines qui pourraient survenir d'un coup et pour des milliers d'années. Pour les humains, et pour les animaux et les plantes, qui n'ont rien demandé et dont les gênes seraient à jamais modifiées. On a déjà la pollution de l'air et des eaux. Mais celle-ci serait d'un niveau inimaginable. Alors oui, il faut tout faire pour supprimer le nucléaire, et en attendant de pouvoir disposer de sources d'énergie propres, il FAUT sécuriser les réparations et l'approvisionnement en pièces détachées. En l'occurrence, il s'agit de pièces essentielles.

Pourquoi le principe de précaution n'est-il pas appliqué?
Pourquoi une pièce non conforme aux normes de sûreté risque d'être employée?
Le principe de précaution évite les catastrophes, c'est un moyen de se prémunir du pire; il est de mise pour quantité de choses qui peuvent paraître bien plus futiles que le nucléaire.
La cuve est le cœur même de la centrale nucléaire. On ne peut se permettre le moindre doute, la moindre défaillance, la moindre fragilité, la moindre possibilité d'une fissure...
Les contingences budgétaires ne doivent pas entrer en ligne de compte dans ce choix.
Seul compte l'avenir des citoyens de France, voire celle de l'humanité.
Stop!
Ne prenez pas le risque d'employer un matériel non conforme.
Restez exigeants afin de conserver la confiance (et la santé!) des citoyens.

Ce projet connaît déjà bien des déboires, des retards, et désormais des défauts de conception. Le nucléaire est certe un domaine ou les entreprises françaises excellent, mais son avenir en est moins bien Certain. A travers le mondes, des pays prennent la décision d'inverser cette dynamique du tout nucléaire, et nous en France, ce pays ou longtemps le nucléaire a été l'emblème de l'indépendance vis à vis des mannes péteolières, nous construisons sur notre territoire une centrale nouvelle génération, qui dès sa construction présente des défauts majeurs mettant en danger non seulement un pays et nos voisins, mais également une industrie, et un modèle qui n'a plus la même envergure qu'il y à 20 ans. SI Cet EPR n'était que la seule faille dans notre histoire du nucléaire, peut être aurions nous moins de réserve, mais hélas bien d'autres erreurs voient le jour, ici ou à l'autre bout du monde.Cet outil de production atomique génère également trop de déchets non recyclabe. Il est donc important d'empêcher de nouveaux risques. Arrêtons cet EPR

Bonjour et merci de me lire,
Je suis en colère, très inquiet de savoir qu'une pièce donnée pour défectueuse soit utilisée pour l'EPR. La cuve est une pièce très importante et nous ne pouvons pas prendre pareil risque. L'interêt du nucléaire serait-il supérieur à celui de la sécurité des populations ?
Je pense sérieusement que l'ASN, si elle devait autoriser cette pièce défectueuse, perdrait du même coup tout le crédit et l'indépendance qu'elle a aux yeux de la population française. Le secteur nucléaire souffre déjà d'une image catastrophique dans la population. Accepter l'impensable et l'inacceptable aurait des conséquences irréversibles pour cette industrie dangereuse, polluante et d'un autre siècle.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA