Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

En tant que citoyenne et mère de famille, je ne peux pas comprendre que la question même de garder des pièces défectueuses sur une installation d'une telle importance et potentiellement aussi dangereuse pour la population puisse se poser ??? On marche sur la tête, à considérer avant toute chose des intérêts financiers, en toute irresponsabilité. Merci d'avoir enfin le courage d'assumer les graves erreurs de gestion du passé, commises en toute connaissance de cause, pour éviter une catastrophe potentielle aussi lourde de conséquences. Le principe de précaution doit s'imposer sans hésitation, quel qu'en soit le prix à payer !
Michelle

https://www.youtube.com/watch?v=O92uoVb2JzA&feature=player_embedded
Ces nouvelles tranches de 1650 MWe sont nécessaires afin :

de faire chauffer nos radiateurs électriques,
d’assurer le fonctionnement permanent des serveurs informatiques (et leurs équipements de refroidissement) stockant nos données personnelles collectées par le nouveau compteur Linky en cours de déploiement,
d’éclairer les panneaux publicitaires imposés sur l’espace public, sur les quais de gare, stations de tramway et dans les souterrains du métropolitain,
d’alimenter les réseaux d’antennes GSM nécessaires aux téléphones portables et smartphones (bientôt la 5G !) ainsi qu’au compteur Linky précité,
d’éclairer la nuit quand tout le monde dort,
de donner vie à tous les objets connectés présents et futurs indispensables à notre bonheur terrestre,
d’irriguer de torrents d’électrons les usines, installations, équipements et bureaux où se prépare le nucléaire du futur (ASTRID, RJH, ITER),
de rester dans la compétition internationale, pour la grandeur de notre Nation “rayonnante”,
d’entretenir la Sainte Croissance par la perpétuation d’une ébriété énergétique qui ne saurait être remise en cause par quelques écologistes pisse-froid mais pisse-bio.

Cela dit, il n’y aura de toute façon plus assez d’argent pour refaire un couvercle d’ici 2024 à cause du dépassement budgétaire prévisible des JO à Paris.
Donc autant ne pas démarrer l’EPR de Flamanville 3 et transformer sa cuve en coffre-fort (Flamanville 3 => Fort Knox 3) en vue du rapatriement des 60 à 80 Mds€ de manque-à-collecter fiscal (fraude, évasion, optimisation) faisant défaut annuellement au Trésor Public français, car le Pouvoir actuel va résolument s’y employer plutôt que de demander à la population de se serrer la ceinture n’est-ce pas ?
Avec tout cet argent, il sera loisible à nos clairvoyants décideurs de lancer le remplacement de nos vieilles tranches nucléaires par autant d’EPR flambant neuf et enfin conformes, même à coûts triplés, pour les raisons suffisantes recensées plus haut. Ce qui permettra au passage de consommer du combustible MOx particulièrement dégueulasse et dangereux, débouché civil du plutonium non utilisé par les militaires.
Sinon, on arrête les conneries et cette industrie de mort qui les ont permises, on réfléchit et on change radicalement de société au bénéfice de l’Intérêt Général Planétaire.
https://www.youtube.com/watch?v=KecUV4q0_FM
NON A L’EPR DE FLAMANVILLE
AREVA, TON ACIER EST A CHIER

Vu l'immensité des risques, la moindre des choses est que la cuve doit être conforme. Il serait scandaleux de transiger sur ce point et mettre en danger la sécurité et la santé de la population. La plupart des justifications à la dérogation sont issues de rapports effectués par Areva NP. Quant au groupe d'experts GPESPN, je comprends qu'il est composé de 6 membres, dont 2 prononcent des réserves, ce qui représente le tiers. Il ne faut pas attendre l'accident pour bien faire, surtout quand on est au courant.

Vu l'immensité des risques, la moindre des choses est que la cuve doit être conforme. Il serait scandaleux de transiger sur ce point et mettre en danger la sécurité et la santé de la population. La plupart des justifications à la dérogation sont issues de rapports effectués par Areva NP. Quant au groupe d'experts GPESPN, je comprends qu'il est composé de 6 membres, dont 2 prononcent des réserves, ce qui représente le tiers. Il ne faut pas attendre l'accident pour bien faire, surtout quand on est au courant.

Un défaut dans une pièce essentielle telle que l'est la cuve du réacteur me semble inacceptable. La possibilité d'un incident nucléaire qui aurait des conséquences sur plusieurs milliers d'année ne peut être prise à la légère, la seule ligne de conduite possible dans ce domaine est l'intransigeance. (On nous impose le nucléaire comme source d'énergie depuis des décennies sous prétexte que c'est l'énergie la moins chère mais le coût ne doit pas intervenir lorsqu'il s'agit de la sureté et de la santé des futures générations. De plus on sait maintenant que cet argument du coût est inexact et ne tient pas compte de l'entretien et de la rénovation des sites de production actuels. Tous ces discours ne sont plus de mise aujourd'hui il faut concentrer notre énergie et nos moyens à développer toutes les énergies vertes (hydroélectricité, éolien, marée-motrice ... ) Tout cela est financé avec nos impôts il est légitime d'exiger une sûreté optimale ! La cuve ne doit pas être mise en service avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas optimal, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Le couvercle devra être changé en 2024. Cela signifie que pendant six ans l’EPR fonctionnerait avec un couvercle défectueux et non contrôlé… Impensable et inacceptable non ?
La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve étant la pièce essentielle du réacteur, sa qualité doit être irréprochable. Or, la cuve de l'EPR n'a pas les caractéristiques requises pour fonctionner en toute sécurité. Rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale ! Dès 2005, AREVA et EDF savaient parfaitement que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. Ils ont pourtant laissé fabriquer les pièces de l’EPR dans cette usine ! Dans ces conditions, il n'est pas possible de leur faire confiance. En effet, leur politique consiste à faire passer les intérêts de l’industrie nucléaire avant la sécurité des populations. La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'étant pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir ! Je m'oppose donc à la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier de l'EPR doit être arrêté immédiatement ! Les citoyens français, n’ont pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Madame, Monsieur,

Pourquoi continuer de prendre des risques inutiles, arrêtons d'agir uniquement au profit des actionnaires, et réfléchissons une nouvelle production d'énergie et manière de la consommer.

Pour rappel, les faits sont les suivants:

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Comment pouvons nous accepter cette négligence. En tant que citoyen, mon avis est clair, c'est stop. Réformons notre système de production énergétique dans le respect de l'humain et de son environnement.

EDF et AREVA ont été informés par l'ASN des risques encourus concernant les procédures de fabrication de la cuve (pièce maîtresse) de l’EPR de Flamanville mais ces derniers ont tout de même lancé sa fabrication et ce serait scandaleux aujourd'hui d'homologuer cette cuve. La pression d'EDF, d'AREVA, de l'état français et de la commission européenne ne peut pas compter plus que la sécurité de tous. La mission de l'ASN est de protéger le public, les travailleurs et l'environnement alors ne prenez pas de tels risques.

La probabilité d'un accident nucléaire majeur type fusion de cœur est certes très faible, mais en mathématique, un évènement à probabilité non nulle est certain. On ne sait pas quand ni comment il arrivera, mais il arrivera. Livrer l'EPR de Flamanville en connaissant des défauts majeurs sur la cuve et le couvercle serait pure folie. C'est Areva qui a mené les tests de qualification et on ne peut être juge et partie. Il faudrait au moins un second test par un autre organisme. Or, même si les tests se disent rassurants, un taux de couverture de test n'est jamais 100%. Monter cette cuve et ce couvercle, même en réduisant sa durée d'utilisation relèverait d'un excès de confiance, créant les conditions d'un accident nucléaire majeur en France, tout cela pour respecter un délai de livraison. On connait trop dans l'industrie en général ce genre de scénario pour accepter une telle dérogation. Alors, non, il faut repousser la date de livraison et corriger les défauts connus, c'est la moindre des choses.

Pourquoi faire courir un risque supplémentaire à la population en équipant le réacteur d'une cuve qui présente des anomalies ?
Le principe de précaution doit prévaloir en matière de nucléaire au vu des accidents/incidents déjà produit malgré des composants qui étaient aux normes. Pourquoi partir avec la pièce centrale du réacteur qui ne présente pas toutes les garanties de sécurité maximum ?
Autoriser la mise en place de la cuve en imposant de changer le couvercle d'ici 2024 et en ajoutant des contrôles supplémentaires pour le fond de cuve est une solution industrielle qui n'apporte aucune garantie quant à son efficacité et qui ne tient pas compte des risques potentiels pour la population. Cette solution est celle d'Areva.
L'ASN doit demander l'arrêt du chantier tant qu'il n'y a pas une nouvelle cuve qui réponde aux normes cette fois.
Je m'étonne que la population soit consultée sur un sujet si technique (en plein été de surcroit). S'il y a le moindre doute sur la sécurité que l'ASN fasse son travail.
Si Areva a fait des erreurs de conception de la cuve, qu'elle en assume elle la responsabilité et quelle la remette aux normes.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.