Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Je n'accepte pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Moi,citoyen français, n’a pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

L'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) - sous pression des industriels EDF et AREVA - a donné un feu vert de principe à la cuve de l’EPR malgré des anomalies graves, notamment en ce qui concerne le couvercle de la cuve qui "devra être changé en 2024", reconnaissance implicite d'une défectuosité majeure.
L'intérêt économique de la nation justifie-t-il la mise en danger de la population ?
Quelles sont les solutions pour rendre inoffensifs les centrales nucléaires, leurs déchets et leur démantèlement ? Personne n'a résolu le problème et l'on s'achemine vers un gouffre financier (construction / catastrophes et conséquences matérielles et sociales) bien supérieur au coût déjà pharaonique injecté dans cette énergie.
Je suis bien content de profiter de l'électricité mais regrette l'inconséquence de certaines décisions.

Sébastien

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Je n'accepte pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Merci à l'ASF de réaliser cette consultation.
Il n'est clairement pas admissible de prendre le risque d'ouvrir cet EPR avec une pièce majeure reconnue défectueuse.
Les conséquences pour l'ensemble des européens sont hors de proportion avec l'intérêt d'une telle centrale. Les coûts déjà considérables ne justifient pas l'acharnement d'Areva et EDF sur ce projet, comme sur l'ensemble du nucléaire dont personne, aujourd'hui, ne sait réellement traiter les déchets à long terme, dont personne n'a considéré le coût du démantèlement, où se manifestent régulièrement des accidents aux conséquences catastrophiques et qui ne font qu'empirer d'année en année.

A quoi bon rappeler tout ce qui milite pour l'arrêt du nucléaire? Tout le monde sait que le nucléaire n'offre aucune indépendance énergétique (depuis quand le France produit-elle de l'uranium ?), tout le monde connaît les conditions dans lesquelles l'option tout nucléaire a été prise dans les années 70, la puissance et les combines du lobby pro nucléaire, l'inanité de l'ubuesque accumulation des déchets. Tout le monde est conscient qu'un jour ou l'autre un accident majeur se (re) produira en qu'il y en aura un en France (terrorisme, usure prématurée, économies sur la qualité des matériaux ... : ça y est, nous y voilà!!). Alors, pas la peine d'en rajouter. Arrêtons ce projet absurde.

Citoyenne soucieuse de mon pays et de l'environnement, je suis très inquiète de l'anomalie détectée concernant l'acier de la cuve et du couvercle du réacteur du futur EPR de Flamanville. En effet, la cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale ! De plus, dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Pourquoi s'obstiner à mettre en service cet EPR alors qu'on sait que les pièces produites par l'usine Creusot Forge d'AREVA présentent des nonconformités ?
Tout ne doit-il être qu'une question d'argent ? Pourquoi prendre des risques inconsidérés avec la vie de milliers de personnes ?
Ce projet d'EPR doit être abandonné dès à présent, dans l'intérêt du peuple français et des autres peuples européens. Un accident nucléaire en Europe serait catastrophique et contaminerait des régions très peuplées (France et Royaume-Uni notamment).
Je suis contre la poursuite de ce projet pharaonique et coûteux. Nous n'avons pas à payer l'incompétence d'AREVA et D'EDF !

La lecture des considérants, dont j'extrais ces mots-ci : "la cuve du réacteur EPR de Flamanville est soumise aux exigences essentielles de sécurité", "ses composants n'ont pas la caractéristiques requises initialement lors de la conception", "anomalie due à la présence de ségrégation majeure", "exigence de qualification technique (...) pas respectée", "la présence d'une zone de ségrégation majeure positive du carbone peut conduire à diminuer la ténacité de l'acier, c'est-à-dire sa résistance à la propagation d'une fissure, et remettre en cause sa résistance à la rupture brutale" (...) laisse perplexe sur la mansuétude dont AREVA profite, alors que cette société a menti et caché des malformations graves.
Il est impossible de laisser AREVA poursuivre le chantier EPR, ni lui laisser une 2nde chance pour remplacer toutes pièces défectueuse d'ici 2024 !!!
Je reste d'ailleurs stupéfait sur une telle proposition : le couvercle est malfait et ne respecte pas les normes définies, Donc, STOP au chantier, et IMPOSSIBLE de mettre en activité l'EPR. Ce n'est pas pensable.
Le nucléaire est trop dangereux pour laisser le moindre flottement et incertitude sur la sécurité. IL FAUT ARRÊTER CE CHANTIER AVANT LA CATASTROPHE.
Au nom des millions de Français et Européens (Britanniques, Belges, Bataves, Allemands...) vivant à proximité et sous les vents dominants de l'ouest, actuellement et pour les siècles à venir, aucune centrale EPR ne doit JAMAIS être mise en service, au vu des conditions de conception et de fabrication constatées.
En effet, puisque la cuve pièce essentielle du réacteur n'est pas de qualité impeccable, qu'elle ne possède pas les caractéristiques requises : RIEN ne permet de surveiller son évolution et de prévenir tout risque de rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté, et pourtant ces pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Car AREVA et EDF ont laissé faire dans le silence... Et maintenant, IMPOSSIBLE DE FAIRE CONFIANCE. Les intérêts industriels du nucléaire immédiat bafouent TOUS les principes élémentaires de protection des populations d'aujourd'hui et des siècles à venir !
La cuve NE PEUT PAS, et NE DOIT PAS être qualifiée avec son acier actuel. Son niveau de sûreté reste INSATISFAISANT : le principe élémentaire de précaution doit prévaloir !
AUCUNE PRISE DE RISQUE ne doit être tolérée quelque soient les anomalies. IL FAUT ARRÊTER LE CHANTIER !
Les citoyens français et européens n’ont pas à payer les erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.
S'il vous plaît, Membres du Collège, restez modestes et sages, décidez l'arrêt du chantier de l'EPR de Flamanville.

Il est plus que temps d'arrêter la fuite en avant et réorienter la politique énergétique française. Plus les années passent, plus il devient évident que le nucléaire n'est ni sûr, ni économiquement viable (si l'on prend en compte les coûts de démantèlement).
Après AREVA, c'est au tour d'EDF d'être exposée à la faillite en raison de la ruineuse aventure de l'EPR, sachant que c'est le citoyen français qui doit payer la facture in fine. Les anomalies majeures mises à jour pour la cuve du réacteur EPR de Flamanville démontrent à quel point nous sommes pris en otage par un lobby pro-nucléaire, qui sacrifie l'intérêt national à ses propres intérêts particuliers. Aucune réelle confiance ne peut être accordée aux dirigeants d'EDF-Areva et l'ASN se doit de défendre l'intérêt des citoyens par-delà les pressions qui peuvent être exercées.
Personnellement, je ne suis pas anti-nucléaire par principe mais je constate que pratiquement tous les pays développés choisissent d'abandonner l'énergie nucléaire (jugée peu rentable et trop risquée), alors que la France persiste à y investir des sommes astronomiques au lieu de les consacrer aux énergies nouvelles. Je doute que nous puissions avoir raison et (presque) tous les autres tort sur ce sujet...

En tant que voisin de la centrale, des incertitudes sur sa fiabilité sont inacceptables.

3) ETAPE 3 : vous pouvez ENFIN participer. Rendez-vous tout en bas de la page de consultation et laissez votre commentaire ! Nous devons rappeler à l’ASN les points suivants :

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Après Tchernobyl et Fukushima, il est temps de sortir de l'âge du nucléaire