Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Consultation ASN- Couvercles EPR – Flamanville 3
Avis de Jean-Pierre Matha (28/082017)

Après avoir pris connaissance des différents attendus, je donne un avis favorable à la prise de position de L’ASN concernant l’aptitude du fond et du couvercle de cuve du réacteur EPR de Flamanville à remplir ses fonctions, à savoir : » L’anomalie de la composition en carbone de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de Flamanville n’est pas de nature à remettre en cause la mise en service de celle-ci… » J’ai toute confiance dans l’ASN et la démarche suivie.
Je suis surpris que pour un sujet technique aussi complexe on recueille l’avis général des citoyens. Doit-on consulter les citoyens sur la validité du principe de Carnot, le principe de Fermat, les lois de Kirchhoff… ? D’ailleurs, je note que de nombreuses contributions ne répondent pas à la question posée, n’apportent aucun éclairage sur le sujet mais sont le fruit de passions personnelles irraisonnées concernant le nucléaire.
Pourtant le nucléaire est le moins mortifère et de très loin parmi les moyens de production centralisés. Les ENR éolienne et photovoltaïque ont une particularité qui les handicape lourdement : elles sont intermittentes et ont une composante aléatoire forte. De plus, le photovoltaïque ne produit ni la nuit, ni au moment de la pointe de demande d’électricité du matin, ni à la pointe du soir. La durée HEPP (1) du photovoltaïque est d’environ 1000 h et l’éolien de 2000 à 2500 h, jusqu’à 4000h en mer. Comment fait-on le reste du temps, sachant que les moyens de stockage d’électricité et le potentiel de développement correspondant sont très limités ? Comment assurer l’équilibre offre demande avec un parc 100% renouvelable ? Seul un mixage d’ENR /nucléaire répond aux différents défis concernant l’équilibre offre-demande et la réduction des gaz à effet de serre.

(1) Heures Equivalentes à Pleine Puissance

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

Bonjour, tout d'abord merci de laisser la population s'exprimer. Le nucléaire est aujourd'hui une énergie désuète et sans avenir contrairement à ce qui se disait dans les années 60. Les déchets nucléaires vont s'accumuler pour les générations futures avec toutes les conséquences néfastes. Vous aurez beau les enterrer, ils seront toujours présents et non stable. Il y aura toujours un risque de fuite. Nous devrions plutôt trouver le moyen de moins consommer et plus propre, vers les énergies renouvelables (solaire, éolien...). Ainsi que décentraliser l'énergie afin que chacun produise sa propre énergie.
Cordialement.

Et si on arrêtait de mettre la population françaises en danger ? Et si on stoppait la gabegie liée aux projets d'EPR dont les coûts ne cessent de grimper ?

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Je refuse également que mes impôt soient utilisés pour ces projets dangereux et ruineux. Cet argent serait bien mieux employé dans la recherche et le développement des énergies renouvelables.

Considérant que le couvercle doit être remplacé dans les « meilleurs délais » (7 ans, qui est le temps nécessaire pour la fabrication de la pièce), parce que l’acier n’est pas aux normes, mais que les contrôles de surveillance ne sont pas possibles à cause de l’extrême encombrement des tubes qui le traversent (crayons de combustibles et grappes de contrôle), la cuve devrait être refusée ;
Considérant que le fond de cuve est constitué du même acier que le couvercle, la cuve devrait être refusée ;
Considérant que l’apparition de fissures dans l’acier d’une pièce soumise à de fortes contraintes mécaniques de pressions, températures, irradiations, vibrations...est un phénomène aléatoire, imprévisible et incalculable à l’avance, ces fissures pouvant conduire à une rupture brutale, la cuve devrait être refusée ;

On nous a présenté l'EPR comme une nouvelle étape dans le développement de l'énergie nucléaire. Or, les centrales en construction ne cessent de prendre du retard et de poser des problèmes. La sécurité est absolument cruciale et il est scandaleux que les industriels tergiversent sur la solidité de la cuve. Celle-ci est la pièce centrale d'un réacteur. Le moindre risque de rupture doit être résolument écarté.
Des accidents nucléaires graves se sont déclarés dans les principaux pays exploitant cette énergie. Statistiquement, la France est le prochain lieu d'un accident majeur. Il est donc crucial de toujours renforcer la sécurité et la rigueur dans les contrôles. Or, c'est le contraire qui se produit. EDF et AREVA jouent avec la vie des Français. Et avec notre argent.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Il est scandaleux que pour un sujet aussi typé "a risque" que la cuve d'un EPR qui n'à fait qu'accumuler les retards, les surcouts et les erreurs, un laxisme aussi grand soit de mise. On ne parle pas ici d'un micro onde mais d'un réacteur nucléaire qu'il est envisagé de faire fonctionner sans le maximum de rigueur quand à la qualité des elements qui vont le constituer. Stop a la bêtise, Tchernobyl et Fukushima ne vous ont donc pas servi de leçon ? Il serait scandaleux, honteux et totalement criminel de laisser cet EPR ouvrir avec des pièces déjà connu comme comportant des défauts de fabrication. NON a la bêtise et au laxisme. NON à la mise en route de l'EPR tant que des pièces conformes n'assureront pas le maximum de sécurité.

Autant pour les personnes qui vivent à proximité, autant pour toute la planète et toutes les répercussions à long terme que vous n'envisagez jamais, il semble que ce projet soit totalement délirant! A force de jouer avec le feu, tout ça pour être toujours plus rentable, vous bafouez totalement la sécurité des citoyens, des personnes humaines qui n'ont rien demandé. De plus en plus convaincu qu'il est urgent de cesser d'utiliser une énergie que nous ne savons pas maitriser, il semble plus qu'urgent de faire au moins face aux problématiques directes qui se présentent par exemple ici où le matériel ne semble pas à la hauteur et ne garantie pas son efficacité, il pourrait être totalement défectueux! Alors non on ne peut pas faire comme si de rien n'était... et non on ne peut pas valider sa mise ne route en l'état! La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le chantier doit être arrêté ! Merci.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable. Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale.
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées. Pourquoi ont-ils laissé faire ? Pourquoi leur faire confiance aujourd'hui ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations.
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir.
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté pour remplacer les pièces défectueuses par des pièces conformes aux normes de sécurité. Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.