Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Je ne suis pas un farouche opposant au nucléaire, mais force est de reconnaître qu'avec toutes les fraudes et malversations qui apparaissent au fur et à mesure, il est difficile de continuer à faire confiance, même aux instances "indépendantes".
A mon humble avis, l'ASN devrait reprendre son rôle de contrôle beaucoup plus strictement, tout d'abord pour assurer effectivement la sûreté des citoyens mais aussi pour montrer l'excellence technique des solutions Françaises.
Les politiques corrompus par les lobbies se chargeront déjà de passer outre ces avis !

Il y a énormément de règles de sécurité avec le nucléaire car les professionnels concernés savent comment la radio activité est puissante, dangereuse, invisible et durable. Mais les assurances sont lucides : elles n'assurent pas les risques nucléaires, c'est l'état qui assure, donc nous tous ! Nous et nos enfants vont payer.

Après la fusion de 3 cœurs de réacteurs en 1979 aux USA, 1986 en URSS et 2011 au Japon, il est logique de penser qu'un accident majeur va arriver prochainement en France, deuxième pays le plus important en nombre de réacteurs nucléaires civils dans le monde. La question raisonnable à se poser n'est pas va-t'il arriver un accident majeur, mais quand va-t'il arriver en France ?

La fusion du cœur du réacteur aux USA qui a été contenue dans l'enceinte montre à quel point la cuve est importante. Elle peut, éventuellement, empêcher une catastrophe. Alors pas question de laisser fonctionner un nouveau réacteur à Flamanville ayant un matériau de qualité insuffisant.

Arrêtez de mettre en danger la population. La seule solution sans risque majeur est d'arrêter la production électro-nucléaire le plus rapidement possible en la remplaçant par un nouveau mix énergétique créant beaucoup plus d'emplois, durables.

Et inutile de démanteler les centrales en dispersant la radio-activité avec un coût exorbitant. Ce sera moins cher et plus sûr de les confiner sur place, et de les transformer en musées. On saura au moins où se trouve le danger...

Philippe

le risque c'est de se tromper, le risque c'est de mettre la moitié de la France hors service, sans compter l'Angleterre et autres pays de l'Europe. Avons nous le droit de prendre se risque ...je ne le crois pas. La France peut elle se permettre de supporter un tel risque aussi longtemps sans avoir demandé aux autres ( habitants des autres pays si il voulais jouer aussi à la roulette russe ?) n'oublions pas que nous parlons en centaines d'années
Si nous avions mis autant d'argent dans les autres moyens que dans le nucléaire , pour produire de l'énergie , aujourd'hui nous serions indépendant....

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Je n'accepte pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté !
Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Je préfèrerais que l'argent investi dans cet EPR soit utilisé dans la recherche et le développement des énergies renouvelables.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur.C'est l'élément critique de la centrale. Sa qualité doit être impeccable. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant. La cuve est l'élément critique de la centrale.
Il est impératif que les enjeux de sécurité passent avant tous les autres.
Les contribuables ont déjà payé très cher ce projet absurde de centrale nucléaire alors qu’il semble impératif d’engager une transition énergétique.
Je souhaite l'arrêt du chantier, sur le seul principe de précaution.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Je n'accepte pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Bonjour,
Je me permets d'attirer votre attention sur les points suivants :
- La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
- Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence… Comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
- La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n’acceptons pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

Bonjour. J'ai bien tout lu et je me suis renseigné amplement. Le Monde "L'Autorité de sûreté nucléaire a donné son feu vert à la cuve du futur
réacteur de 3ème génération, malgré les défauts de son acier". Donc, si je résume, on n'est pas dans des procédures déjà connues, et on a fait
appel à des ingénieurs qui ont donné des chiffres à respecter pour la qualité de l'acier de la cuve notamment. Le produit final n'est pas conforme
et présente des défauts qui "peuvent" ou pas provoquer des défaillances dans le fonctionnement ou dans le confinement des matériaux radioactifs, et en cas de problème majeur, une aggravation des réactions en chaines qui peuvent conduire à un accident nucléaire majeur sur le sol
français. Je demande de respecter le principe de précaution, c'est trop grave. L'usine du Creusot est-elle vraiment un bon choix ? Pourquoi se presser ?
Faut-il vraiment démarrer le réacteur au lieu d'attendre les 7 ans pour le nouveau couvercle ?
On pense à des accidents qui se sont produit à cause de défauts minuscules... Arrêtons les frais, engageons les bons investissements.
Merci de s'en tenir à ces irrégularités de process avant que ça finisse devant des tribunaux après le drame.
Le nucléaire on s'en passerait, mais au rabais en plus, non merci ! On fait vraiment de la démarche qualité ou on arrête tout, svp.
On ne joue pas avec la vie des gens et avec la planète, merci d'avance !

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable, elle ne peut pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant. La cuve est l'élément critique de la centrale.
Il est impératif que les enjeux de sécurité passent avant tous les autres.
Les contribuables ont déjà payé très cher ce projet absurde de centrale nucléaire alors qu’il semble impératif d’engager une transition énergétique.
Je souhaite l'arrêt du chantier, sur le seul principe de précaution.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable, elle ne peut pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant. La cuve est l'élément critique de la centrale.
Il est impératif que les enjeux de sécurité passent avant tous les autres.
Les contribuables ont déjà payé très cher ce projet absurde de centrale nucléaire alors qu’il semble impératif d’engager une transition énergétique.
Je souhaite l'arrêt du chantier, sur le seul principe de précaution.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.