Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Bonjour, je suis fermement contre la mise en route de l'EPR de Flamanville. Je suis pour la transition énergétique et l'arrêt du nucléaire en France. Je pense que c'est hautement dangereux et que le nombre de malades de la thyroïde n'a fait que croître depuis Tchernobyl. J'aimerais me sentir en sécurité dans mon pays. Or le nucléaire ne me donne pas du tout ce sentiment de sécurité. J'aimerais être en accord avec les décisions de l'Etat Français concernant notre planète. Or les décisions prises en ce qui concerne le nucléaire ont été prises sans consultation des citoyens. Aussi, je vous remercie pour la première fois de consulter le "peuple". Serons nous écoutés si c'est le non à l'EPR de Flamanville qui l'emporte ou cela fera-t-il comme lors du référendum de 2005 lorsque les citoyens français ont dit non mais que l'état français a dit oui ?

Consultation "bidon" pour "chaudron nucléaire":
Consultation du public? Quel public? Vous et moi?
Le public, vous et moi, est-il compétent? Soudain, les experts ne seraient plus crédibles? Intéressant...
Est-ce que ce monde est sérieux?
Ma fille, bientôt médecin, vient me dire bonsoir. Elle me demande ce que je fais: je lui explique que je suis entrain de donner mon avis sur une consultation publique à propos de la qualité de l'acier d'une cuve de réacteur nucléaire, quelquepart en France... Elle me suggère, pour rire, d'écrire une grossièreté... Elle a compris plus vite que vous et moi l'inanité de la consultation! Allez, Bonsoir! Bonne nuit nucléaire!

Consultation "bidon" pour "chaudron nucléaire":
Consultation du public? Quel public? Vous et moi?
Le public, vous et moi, est-il compétent? Soudain, les experts ne seraient plus crédibles? Intéressant...
Est-ce que ce monde est sérieux?
Ma fille, bientôt médecin, vient me dire bonsoir. Elle me demande ce que je fais: je lui explique que je suis entrain de donner mon avis sur une consultation publique à propos de la qualité de l'acier d'une cuve de réacteur nucléaire, quelquepart en France... Elle me suggère, pour rire, d'écrire une grossièreté... Elle a compris plus vite que vous et moi l'inanité de la consultation! Allez, Bonsoir! Bonne nuit nucléaire!

Consultation "bidon" pour "chaudron nucléaire":
Consultation du public? Quel public? Vous et moi?
Le public, vous et moi, est-il compétent? Soudain, les experts ne seraient plus crédibles? Intéressant...
Est-ce que ce monde est sérieux?
Ma fille, bientôt médecin, vient me dire bonsoir. Elle me demande ce que je fais: je lui explique que je suis entrain de donner mon avis sur une consultation publique à propos de la qualité de l'acier d'une cuve de réacteur nucléaire, quelquepart en France... Elle me suggère, pour rire, d'écrire une grossièreté... Elle a compris plus vite que vous et moi l'inanité de la consultation! Allez, Bonsoir! Bonne nuit nucléaire!

Consultation "bidon" pour "chaudron nucléaire":
Consultation du public? Quel public? Vous et moi?
Le public, vous et moi, est-il compétent? Soudain, les experts ne seraient plus crédibles? Intéressant...
Est-ce que ce monde est sérieux?
Ma fille, bientôt médecin, vient me dire bonsoir. Elle me demande ce que je fais: je lui explique que je suis entrain de donner mon avis sur une consultation publique à propos de la qualité de l'acier d'une cuve de réacteur nucléaire, quelquepart en France... Elle me suggère, pour rire, d'écrire une grossièreté... Elle a compris plus vite que vous et moi l'inanité de la consultation! Allez, Bonsoir! Bonne nuit nucléaire!

Consultation "bidon" pour "chaudron nucléaire":
Consultation du public? Quel public? Vous et moi?
Le public, vous et moi, est-il compétent? Soudain, les experts ne seraient plus crédibles? Intéressant...
Est-ce que ce monde est sérieux?
Ma fille, bientôt médecin, vient me dire bonsoir. Elle me demande ce que je fais: je lui explique que je suis entrain de donner mon avis sur une consultation publique à propos de la qualité de l'acier d'une cuve de réacteur nucléaire, quelquepart en France... Elle me suggère, pour rire, d'écrire une grossièreté... Elle a compris plus vite que vous et moi l'inanité de la consultation! Allez, Bonsoir! Bonne nuit nucléaire!

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La conclusion de l'ASN n'est objectivement pas reluisante pour l'EPR Flamanville :

- diminution des marges de sécurité ;
- contrôles périodiques supplémentaires afin de s’assurer de l’absence d’apparition de défauts ;
- faisabilité technique de contrôles similaires sur le couvercle de la cuve pas acquise ;
- l’ASN considère que le couvercle actuel ne pourra pas être utilisé au-delà de 2024 ... car il faut 7 ans pour en fabriquer un autre (ce qui n'est pas du tout une bonne raison de l'utiliser quand même, j'espère que vous en convenez).

Franchement rien de très réjouissant dans tout cela.

Vous dites : « Il me parait totalement inutile de porter crédit aux propos dogmatiques, manipulatoires et stériles qui sont tenus par les "anti" ... qui s'inscrivent dans une volonté délibérée de porter atteinte aux intérêts de la France, de son industrie et de ses concitoyens ».

Je réponds : « Il me parait totalement inutile de porter crédit aux mensonges, aux propos dogmatiques, manipulatoires et stériles qui sont tenus par les "pro utilisation de l'EPR Flamanville dans des conditions de sécurité douteuses" qui s'inscrivent dans une volonté délibérée de mentir en portant atteinte à la sécurité des Français, aux intérêts de la France, à son avenir, à celui des générations futures ainsi qu'aux intérêts de l'Europe et du monde ».

Quant à la Chine, je préfèrerais qu'on ne lui brade pas nos bijoux de famille (qu'on a payés avec nos sous) car elle est assez grande pour se débrouiller toute seule. N'oublions pas que l'une des pires externalités négatives du nucléaire est sa dissémination. La Chine n'est pas une démocratie. Elle est en guerre économique pour dominer le monde. Elle est bien capable de nous prêter ses sous pour qu'on se fasse exploser. C'est beaucoup plus futé et efficace que la vraie guerre. Donc rien de rassurant sur ce point pour notre avenir selon moi. Vendre du nucléaire, c'est un peu comme vendre des armes, ça finit toujours par se retourner contre nous (le peuple).

Il est grand temps de changer de paradigme. Le nucléaire, c'est beaucoup trop dangereux (Tchernobyl, Fukushima) surtout quand on n'est même plus capable de respecter les plus élémentaires règles de sécurité, à savoir utiliser des pièces parfaites et non pas avec des marges de sécurité réduites surtout quand on veut un réacteur d'une puissance inédite comme l'EPR, ce qui n'a jamais été fait jusqu'à présent. Vivement les sources d'énergie renouvelables et la sortie du nucléaire avant qu'il ne soit trop tard.

Bien cordialement,

Emmanuel

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

De l'art du gaspillage éhonté de l'argent des Français, tel pourrait être le titre de l'épisode que nous continuons à vivre avec la mise en service annoncée de l'EPR de Flamanville.
Situation kafkaïenne que cette vérité en trompe l'oeil sous la forme d'une pseudo consultation démocratique des citoyens français, dans l'ombre des diktat distillés par Areva et EDF.
Aucune contrainte éthique ne semble pouvoir faire retrouver la raison aux décideurs qui oeuvrent au sein du lobby du nucléaire.
Reprenons l'essentiel:
La cuve et le couvercle d'un futur réacteur dont la composition de l'acier démontre la dangerosité potentielle en cas d'incident majeur susceptible de se produire dans une situation d'exploitation réelle.
Malgré les dires d'Areva/EDF qui s'emploient à berner l'opinion, comme d'ordinaire, en prétendant que les contrôles effectués, bien entendu hors de toute expérimentation sur un réacteur en fonctionnement -et pour cause!- ne permettent pas de conclure que le risque de fragilisation des pièces majeures est avéré (en raison de la structure de l'acier liée à sa composition) dans l'hypothèse d'une fissuration pouvant survenir en cas de fonctionnement anormal dans la centrale.
Pour éclairer la problématique à laquelle se trouvent confrontées conjointement EDF et Areva, faisant fi du principe de précaution en présence d'incertitudes aussi graves quant à la résistance du réacteur, il est évident que l'enjeu est majeur pour toute la filière du nucléaire.
Les défauts et la non-conformité de l'acier utilisé pour le futur réacteur par l'usine Creusot-Forge d'Areva ont été connus dès l'origine, mieux encore il semble que la non aptitude de cette usine à fournir dans les délais impartis un acier conforme aux exigences de sécurité pour l'EPR avait bien été détectée en amont et l'information communiquée en temps utile à l'ASN.
Voilà donc la situation cruciale pour les deux entreprises endettées de manière catastrophique, en raison de leurs choix et erreurs stratégiques, n'ont aucune alternative à la mise en service de l'EPR.
Ce méga-réacteur, pseudo fleuron de l'industrie nucléaire française, destiné avant toute chose à promouvoir la haute technicité de la filière, doit impérativement démarrer, quel que soit le coût final de l'opération pour l'ensemble de l'économie française.
Il est également intéressant de savoir qu'une collusion existe avec les instances dirigeantes au sommet de l'Etat.
En effet, compte tenu de l'indécision qui semble caractériser la position actuelle du gouvernement dans le domaine du nucléaire, il est connu qu'EDF conditionne la fermeture de la centrale de Fessenheim à l'autorisation de mise en service de l'EPR de Flamanville.
Chantage ignoble donc vis à vis de l'ASN, où se révèlent les pratiques les plus opaques, les plus inavouables, du cartel impie EDF/Areva.
L'ASN, qui constituait auparavant le dernier rempart face aux stratégies quasi-mafieuses des magnats du nucléaire, se trouve désormais au pied du mur.
Pour Areva et EDF le dernier verrou doit sauter. Peu importent les considérations éthiques sur la protection des populations en présence d'une technologie où même les esprits les moins avertis savent que le lobby du nucléaire joue avec le feu, peu importent les avertissements objectifs des lanceurs d'alerte.
La mise en service de l'EPR a pour fonction de sauver la mise pour deux entreprises en déroute et combler le gouffre financier qui plombe toute la filière.
La vérité à peine dissimulée à laquelle se trouve confrontée l'ASN est la suivante: Est-il sain de considérer que la confirmation du feu vert de principe qui a déjà été formulé par l'ASN pour le démarrage de l'EPR constitue en réalité un aveu d'impuissance du seul organisme garant du respect des normes de protection pour toutes les populations se trouvant exposées en cas d'accident nucléaire ?
La preuve est faite depuis longtemps que le kilowatt produit par le nucléaire ne sera absolument plus rentable à brève échéance, si l'on retire simplement les subventions versées à la filière par l'Etat et si l'on prend en compte les coûts exorbitants qui devront être investis à la fois pour le démantèlement des centrales parvenues en fin de vie, pour le retraitement des déchets ou leur enfouissement sans aucune certitude sur la protection réalisée sur une échelle de temps géologique.
Est-il légitime que les puissances d'argent qui "magouillent" derrière un enjeu majeur pour l'avenir de la filière et une décision de mise en service qui est fort loin d'aller de soi, est-il normal que des gains hypothétiques liés à la perspective de vendre de futures centrales EPR à l'étranger, est-il normal que des profits envisageables pour une poignée de décideurs irresponsables et sans aucun scrupule l'emportent sur l'ensemble des précautions élémentaires qui devraient être retenues après les catastrophes nucléaires survenues à Tchernobyl et Fukushima ?
L'être humain est-il devenu fou pour s'illusionner ainsi sur l'étendue de ses compétences technologiques lorsqu'il croie être devenu le maître des forces physiques qui régissent la Nature, est-il devenu fou pour s'aveugler de la sorte sur les conséquences de ses actes ?
Réfléchissons tant qu'il en est encore temps ...
Ne commettons pas l'irréparable !

Non à la mise en service de l'EPR qui a déjà englouti trop d'argent. Le nucléaire est l'énergie du passé et constitue une énergie trop dangereuse
La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Je note dans le rapport que sur la base des analyses techniques approfondies réalisées par l'ASN et l'IRSN, l’ASN considère que les caractéristiques mécaniques du fond et du couvercle de la cuve sont suffisantes au regard des sollicitations auxquelles ces pièces sont soumises, y compris en cas d’accident. Que pour autant, l’anomalie de la composition chimique de l’acier conduit à une diminution des marges vis-à-vis du risque de rupture brutale. De fait il est nécessaire qu’EDF mette en œuvre des contrôles périodiques supplémentaires afin de s’assurer de l’absence d’apparition ultérieure de défauts. L’ASN constate que de tels contrôles sont réalisables sur le fond de la cuve et considère qu’ils doivent donc être mis en œuvre. En revanche, comme la faisabilité technique de contrôles similaires sur le couvercle de la cuve n’est pas acquise, celui-ci devra être changé après sept année d'utilisation de la chaudière.
J'ai pleine confiance dans l'expertise technique des experts de l'ASN et de l'IRSN. Je sais que leur avis sont rendus sur des bases d'analyses solides. Je suis donc totalement favorable à ce que l'on avance vers la mise en service de l'EPR de Flamanville. Il me parait totalement inutile de porter crédit aux propos dogmatiques, manipulatoires et stériles qui sont tenus par les "anti" ... qui s'inscrivent dans une volonté délibérée de porter atteinte aux intérêts de la France, de son industrie et de ses concitoyens. La Chine à qui l'usine du Creusot a livré pour son EPR une chaudière de même facture n'a pas l'ombre d'une hésitation quant à la sûreté du produit qui a été fourni et s'inscrit dans un calendrier de démarrage de son installation qui peut laisser rêveur. Alors cessons de polémiquer, de nous regarder le nombril et de proférer des injonctions totalement contradictoires.