Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

La psychopathologie de la « roulette russe » relève du domaine des « conduites à risques ». L'interprétation se fait usuellement à partir de quatre modèles de comportement :

- recherche de sensations en maintenant une opposition entre sensations (physiques) et émotions (élaborées psychiquement) ;

- tentative de maîtrise de l'excitation provoquée par l'objet libidinal ;

- comportement ordalique permettant un « auto-engendrement » ;

- addiction (économie parallèle de réduction du désir au besoin).

David Le Breton évoque la construction d'un « moi sacrificiel » dans le contexte d'une « ordalie moderne » (jugement de Dieu).

Je tiens à réaffirmer que les risques énoncés par nombre d'associations dont Greenpeace au sujet de la fiabilité des cuves des centrales nucléaires françaises et notamment de la future centrale EPR ne sont pas soutenables.

Il est inadmissible de prendre de tels risques sachant qu'il existe des alternatives à production d'électricité. Le cout environnemental, humain mais aussi économique en cas d'incident grave ne pourrait être assumé ni par AREVA, ni par EDF.

Le bon sens commande d'arrêter de tels projets. J'espère que cela sera bientôt le cas.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Vous dites : « L'anomalie de composition du métal n'est pas acceptable d'un point de vue comportement de l'industriel mais elle ne remet pas en cause la tenue de la cuve dans la mesure où elle doit être considérée comme une amélioration de la probabilité de défaillance et non comme un risque avéré.»

En ce qui me concerne, je ne fais aucune différence entre une "amélioration de la probabilité de défaillance" (donc une augmentation de probabilité de défaillance si je traduis) et un "risque avéré". Vous faites usage de la "langue de bois" (servant à éluder le sujet afin d'éviter de répondre à une question ou un sujet embarrassant). De plus vous faites preuve d'une foi aveugle dans la secte pro-nucléaire avec ses nombreux gourous (dans le sens négatif du terme). Vous dites une chose et son contraire, ce qui n'est pas rationnel : la probabilité d'accident augmente mais ce n'est pas grave, « la cuve peut-être acceptée en l'état, vu les mesures de contrôles en exploitation et de remplacement exigées par l'ASN ». Donc vous acceptez, en votre âme et conscience de jouer et de nous faire jouer au fascinant jeu de la roulette russe (comme le dit si bien sagittaire). Désolé de vous le dire, mais moi, j'aime trop la vie pour accepter une connerie aussi énorme. Elle est belle et n'a pas de prix pour nous et pour nos enfants (à condition de pouvoir vivre en bonne santé le plus longtemps possible). Il ne faut surtout pas la sacrifier sur l'autel du "Dieu argent" et des intérêts particuliers de l'industrie nucléaire qui nous remercie avec un doigt d'honneur pour tout l'argent qu'on leur donne. C'est bien le cas particulier où le principe de précaution, inscrit dans la constitution, doit prévaloir absolument. Il faut arrêter le chantier en attendant une nouvelle cuve et un nouveau couvercle sans ségrégations de carbone (sagittaire dit : il était connu en milieu informé que l'industrie japonaise était en mesure, dans ses forges, de réaliser un acier strictement conforme et sans aucune imperfection pour ce qui est de la teneur maximale en carbone). Il ne reste plus qu'à faire faire ces pièces à ceux qui savent les faire et très certainement plus vite que Creusot Forge soit quelques années au plus (sûrement moins de la moitié des 7 ans à la con). Le couvercle est déjà commandé au Japon. Il n'y a plus qu'à commander la cuve. Ce ne sont pas les contrôles qui changeront la composition chimique du mauvais acier de Creusot Forge et en 60 ans d'utilisation (si on va jusqu'au bout), même en surveillant scrupuleusement toutes les fissures, il sera impossible de dire quand exactement la rupture aura lieu. La seule chose dont on est absolument sûrs, c'est que sa probabilité de survenue est augmentée et on sait très exactement pourquoi (à cause des ségrégations de carbone mal placées à 0,3 % au lieu de 0,2 % extrêmement préjudiciables). Ce n'est pourtant pas grand chose que d'attendre tranquillement quelques années pour éviter Tchernobyl et Fukushima réunis. La sagesse est bonne conseillère.

Bien cordialement,

Emmanuel

En tant que particulier soucieux du bien être commun, je pense que la question du nucléaire doit être traitée de façon vraiment démocratique et je soutiens en particulier la position de Greenpeace sur le problème de la cuve :
"La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA. "

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Nous sommes tout à fait conscient des problèmes que peut engendrer une défaillance sur une tel réacteur, sur l'homme, la faune, la flore...la nature Nous sommes tout à fait conscient que notre façon de vivre et nos choix sur cette planète ont déjà bien trop d'impact sur la faune, la flore, nous même...la nature. L'homme est le microbe de cette planète, nous le savons, et tout cela à cause d'une seule chose...l'argent!
Conscient de tout cela, il ne faut arrêter de faire nos choix en faveur de l'argent, nos choix doivent être en faveur de notre maison, notre jardin, nos forêts...notre planète et de tous les être qui y vivent. Il y a un risque que cette cuve soit défaillante, cela va coûter de l'argent...ça ne sera dans tous les cas jamais assez cher face au drame qu'il engendrera si le réacteur n'est plus protégé. Nous avons, et nous continuons malheureusement à mal traité notre environnement!
NON à l'acceptation de cette cuve qui possède des anomalies qui pourraient engendrer une rupture durant son utilisation.

Réponse d'un anti-nucléaire pas forcément "non compétent" à eliz considéré comme compétent puisque défenseur du nucléaire.

Il paraît que l'exploitation des centrales nucléaires par EDF se fait en toute transparence sous contrôle de l'ASN.
C'est pour cela qu'un certain nombre d'incidents survenant régulièrement dans des centrales vieillissantes sont "déclassifiés", c'est à dire passés d'un niveau donné réel à un niveau de gravité inférieur pour éviter des investigations plus poussées, lorsque l'incident ne nécessite pas une mesure d'urgence. Inutile de citer les sites, car les exemples sont multiples.
Inutile également de parler de mesures de prévention et de surveillance insuffisantes qui contraignent EDF, après la chute d'un générateur de plusieurs tonnes dans la centrale de Paluel, à mettre à l'arrêt un réacteur en raison des dégâts occasionnés, sans pouvoir envisager une date de remise en fonctionnement.
Pour ceux qui ne l'ont pas encore vu, "Grand Central" est un film édifiant à conseiller, car il éclaire avec un réalisme sans concession la vie et le travail dans l'omniprésence de la radioactivité mortelle dans une centrale de la Vallée du Rhône: Tricastin.
A signaler en particulier la bonne observation quant à la manière dont les sous-traitants travaillant pour le compte d'EDF emploient du personnel sans aucune qualification réelle pour des tâches de haute technicité. La réalité semble être faussée par le prisme du cinéma, pourtant il ne s'agit que de la criante vérité, dans une centrale âgée où toutes les activités devraient être accomplies par des techniciens aguerris, formés pour les situations d'alerte les plus extrêmes.

On veut nous faire croire à la probité d'Areva, maître d'oeuvre des sites nucléaires français et tout particulièrement des sites de construction des EPR.
Rappelons la douche froide subie par les Finlandais en ce qui concerne les retards insensés sur le chantier de leur EPR et les dépenses supplémentaires gigantesques qui ont été générées par l'excellence de la filière nucléaire française.
Cette dernière a eu beaucoup de mal pour ne pas perdre la face au contact des ingénieurs et des responsables finlandais qui ont réclamé des explications fondées pour justifier l'envolée des coûts et l'enchaînement des retards à toutes les étapes de la construction de la future centrale.
Les pro-nucléaires ne peuvent pas admettre que tout ce qui touche à la "Com" d'Areva repose sur la dissimulation des faits avérés et le travestissement de la vérité, au nom d'intérêts supérieurs (qui alimentent bien entendu certains portefeuilles).
La conception du fond de la cuve et du couvercle destinés au méga-réacteur de Flamanville auraient dû amener les personnes compétentes à prévoir que l'usine Creusot-Forge d'Areva n'était pas en mesure de respecter intégralement les règles et les normes de sécurité qui sont théoriquement exigées pour une réalisation d'une telle puissance.
Il était connu en milieu informé que l'industrie japonaise était en mesure, dans ses forges, de réaliser un acier strictement conforme et sans aucune imperfection pour ce qui est de la teneur maximale en carbone.
Le seul problème tient au fait que l'entreprise Areva n'a jamais pu tolérer qu'une seule étape échappe à la filière nucléaire française dans la conception des centrales destinées à l'hexagone comme à la vente à l'étranger.
La mainmise totale, voilà le secret bien gardé et la cause de toutes les malversations qui plombent Areva, conjointement avec EDF, n'en déplaise aux tenants du nucléaire qui devraient au moins reconnaître le verrouillage total réalisé par le cartel jouant toutes ses cartes dans l'ombre.
La manière dont Areva a obtenu, grâce à une dérogation tombant à point nommé, le feu vert de principe de l'ASN pour le démarrage du réacteur de Flamanville, est fort instructive et corrobore ce qui précède.
En effet, l'autorisation définitive risque d'être accordée par l'ASN en raison de l'engagement pris par EDF/Areva de faire réaliser sur le futur réacteur, exploité à sa pleine puissance, les contrôles de sécurité adéquats afin de surveiller l'évolution de défauts éventuels liés à l'utilisation d'un acier imparfait, ou tout au moins présentant des performances à la déchirure moins élevées que ce qui était requis.
Qui fera croire en effet qu'EDF pourrait accepter de faire fonctionner l'EPR de Flamanville autrement qu'à sa puissance maximale, afin de réduire les risques liés à un dépassement continu de seuils inférieurs concernant les contraintes associées aux chocs thermiques ? Option impossible lorsque l'on sait à quel point les entreprises EDF et Areva sont liées pour faire croire à leur suprématie et permettre à la filière de conquérir de nouveaux marchés, ainsi arracher de nouvelles ventes des "produits phares" à l'étranger.
Une vitrine technologique c'est fait pour cela, n'est-ce pas ? Le prestige et les gains au détriment du principe de précaution.

Qui pourrait croire, lorsque l'on ne peut ignorer les défaillances ou l'insuffisance des contrôles dans la plupart des centrales ayant atteint leur durée d'exploitation maximale initialement prévue, que des contrôles appropriés pourront être menés en toute transparence sur un EPR fonctionnant à plein régime afin de détecter à leur apparition des défauts éventuels liés à la composition de l'acier et aux zones de ségrégation du carbone ?
Il est en effet connu qu'une utilisation du réacteur à sa pleine puissance le rendra de plus en plus difficile à contrôler efficacement avec le temps, d'autant plus que l'évolution du couvercle reste pour sa part impossible à surveiller une fois l'élément installé et irradié (du fait de sa conception le rendant inaccessible y compris aux instruments robotisés).
Qui fera croire que l'exigence formulée par l'ASN dans son autorisation de principe, d'un remplacement par EDF du couvercle irradié après 7 années d'exploitation (sans contrôle réel), donc en 2024 en cas de démarrage du réacteur en cette fin d'année ou l'année prochaine (??), sera respectée lorsque l'on connaît à priori le coût du remplacement (qui sera forcément dépassé en raison des contraintes inhérentes à l'irradiation) ?
Encore et toujours des chiffres avancés, comme pour tout démantèlement, et puis la réalité des coûts astronomiques qui s'envolent au fur et à mesure de l'avancement des chantiers...
Ce qui en revanche reste cruellement vrai avec cette filière du nucléaire, c'est la "poudre aux yeux" permanente, ce mensonge institutionnalisé comme modèle de communication afin de ne pas perdre la face et surtout des milliards d'Euros, cet enfumage systématique dont il a été plusieurs fois question dans les interventions lors de cette consultation publique, ce baratin complet dont EDF et Areva se sont fait les spécialistes.

Enfin, pour tous les citoyens français, un contrat de confiance totalement rompu avec l'ASN qui se voit contrainte, sous la pression du cartel nucléaire, de faire une exception aux règles de sécurité en accordant un feu de vert de principe sous réserve de ..., pour le démarrage de l'EPR de Flamanville.
Le "gendarme du nucléaire" ne s'honore pas par cette décision.
Auparavant considérée comme un garant du principe de précaution et d'avis non falsifiés, de rapports d'experts ne subissant aucune influence extérieure, l'ASN joue maintenant à la roulette russe avec cette position en demi-teinte, comme si l'on pouvait plaisanter, sans être Cassandre pour autant, en évoquant la menace de l'accident en matière nucléaire.

L'expérience désastreuse d'un passé récent ne suffit visiblement pas pour prendre les seules décisions qui s'imposent à tout humain sensé pour ne pas faire pencher le futur vers l'irréparable, qu'il s'agisse d'un futur réacteur surpuissant, de déchets hautement radioactifs pour des dizaines de milliers d'années ou encore de centrales vieillissantes, cadeaux empoisonnés pour les générations futures.
Plutôt que d'évoquer hypocritement les intérêts économiques de notre pays, ne serait-il pas plus juste de parler des intérêts particuliers de la filière du nucléaire et seulement de ceux-là ?
Ce sont ces derniers qui ont contraint l'ASN à mettre au point une dérogation providentielle afin de sauver à la fois EDF et Areva qui couleraient immanquablement sans la vitrine EPR pour sauver la mise (qui est considérable compte tenu de l'endettement monumental des deux entreprises, supporté par le contribuable français) et continuer à engranger impunément des bénéfices ... si la destinée de cette technologie (foncièrement diabolique, il n'y a pas besoin d'être un anti-nucléaire pour en convenir) ne distribue pas les cartes différemment un jour qui n'est peut-être pas si éloigné.

Continuons, persévérons dans l'absurdité humaine du profit sans limite, nous entrons dans une courbe sans voir la sortie du virage ...
Jouons à nous imaginer les acteurs du scénario d'un jeu virtuel où il n'y aurait pas de limite à la connaissance technologique, puisque l'ASN vient opportunément de nous ré-inventer le jeu fascinant de la roulette russe !
Quel que soit le lieu où elle est susceptible de se produire, la situation critique créée par l'emballement et la fusion d'un réacteur nucléaire, elle, pour sa part, ne sera pas virtuelle ...
L'homme, en ce moment là, se prendra peut-être pour Dieu ... et il ne pourra que connaître la solution !

je soutiens l'analyse et les conseils de green peace à savoir :
La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.
La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !