Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Bonjour
Il me semble évident, pour toutes les raisons que tout le monde connait qu'aucun risque ne doit être pris concernant une installation aussi dangereuse qu'une centrale nucléaire. Pour une argumentation plus complète, je vous renvoie à cette excellente série documentaire de Radio France
https://www.franceculture.fr/emissions/lsd-la-serie-documentaire/lombre-des-centrales-nucleaires-34-de-tchernobyl-fukushima-les
car je ne saurai mieux dire mes préoccupations qui je pense sont partagées par une large partie de la population, peut être même par la majorité de celle ci.
Je remercie l'Asn pour cette consultation. J’espère très sincèrement que intelligence l'emportera.
Bien cordialement

Etant donné les dégâts de longue durée qui affecteraient la région entière, ses ressources et tous ses habitants en cas d'un dysfonctionnement majeur, je considère qu'il est irresponsable de prendre des libertés avec la sécurité dans une centrale nucléaire.
Je n'ai plus confiance dans l'industrie nucléaire française au vu 1) de la manière cavalière avec laquelle les travaux de l'EPR semblent avoir été menés, en brûlant des étapes pourtant essentielles, 2) l'inefficacité dont elle semble avoir fait preuve pour détecter à temps les défauts des pièces forgées au Creusot (et qui se retrouvent dans des centrales actuellement en activité !), 3) de l'absence d'enquête sérieuse sur les causes de cette inefficacité, 4) de la légèreté dont elle semble faire preuve en rognant un peu partout sur les marges de sécurité (accumulation inquiétante de "dérogations", recours abusif à plusieurs niveau de sous-traitance chez les personnes travaillant sur les sites).
Il faut que l'ASN soit plus indépendante, beaucoup plus stricte, et qu'elle ait réellement un pouvoir de contrôle sur l'industrie nucléaire.

A l'heure où personne ne garantie plus qu'un accident nucleaire majeur ne puisse arriver en france, autoriser la mise en place de composants défectueux est un ticket pris pour être considéré comme criminel contre l'humanité lorsque la catastrophe sera arrivée. Et chaque citoyen sera légitime pour réagir COMME il l'entend et chercher les responsables 'même jusque dans les chiotes'. D'ici là, chaque personne potentiellement victime, donc tout le monde, à le droit constitutionnel de faire ce qu'il juge nécessaire pour empêcher cette mise en danger.

Notre position: La cuve de Flamanville présente trop d'anomalies, nous jugeons ce risque disproportionné et demandons d'arrêter le chantier.
Précisions: Nous ne somme pas des militants Nimby, nous ne sommes pas technophobes, nous ne souffrons pas d'irrationalité pathologique. Nous sommes juste en désaccord sur la culture du risque et le coût environnemental, social, et économique que ce projet implique. Vous le savez d'ailleurs, vous qui planifiez déjà votre campagne de communication pour le prochain "incident".
FV, Membre sociétaire d'Enercoop.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.
Citoyennement votre
Marion Doerflinger

Nous ne pouvons nous permettre de jouer avec la sécurité des installations nucléaires. Le risque est bien trop grand. Qui serait prêt à assumer la responsabilité en cas de défaillance ? Qui signerait cette accord en son nom ?
L'ensemble de la population devrait être bien plus informée de ce type de décisions. Et les discussions non réservées à quelques acteurs non-indépendants en terme de décision.
Je me permet de rappeler une partie de ses informations :
• La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Nous, citoyens français, habitant du monde, n'acceptons pas la prise de risque que constitue la construction d'une installation nucléaire non maitrisée, l'utilisation de pièces comportant des anomalies...
LE CHANTIER DOIT ÊTRE ARRETER !
Nous n'avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d'EDF et AREVA. Ne faisons pas payer le prix aux générations futures d'un risque identifié et connu !
Je vous remercie.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Incompétence et irresponsabilité ... Voir le succés économique d'AREVA ... qui est actuellement dépecé , et c'est le contribuable qui paie .

• La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

• La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Le débat ne devrait même pas avoir lieu : s'il y a un risque pour les populations et l'environnement, le plus petit soit-il, c'est le principe de précaution qui doit prévaloir. La seule raison pour laquelle les autorités n'appliquent pas immédiatement ce principe est le poids des lobbys, et la logique économique morbide qui perdure encore aujourd'hui quand tout indique qu'il est défaillant et nuisible. À savoir une vision à court terme visant à engendrer des profits non pas pour le bien commun et la collectivité mais pour grossir le portefeuille des classes dirigeantes/dominantes quel que soit le prix à payer pour la planète et ses habitants.
Un rapport à démontré sous le ministère de Mme Royal que la France avait la capacité de passer aux énergies renouvelables et d'assurer cette transition énergétique sans problème. Alors ne venez plus nous parler de nucléaire, ce serait de la mauvaise foi caractérisée.

Depuis le début des travaux la facture de l'EPR a plus que triplé, et les autre EPR en construction dans le monde suivent la même voie avec des budgets qui explosent. Le problème de la non conformité du couvercle n'est malheureusement qu'un nouvel épisode de ce triste scénario. EDF est en quasi faillite depuis la reprise d'AREVA, et la couse en avant d'hinckley point ne va pas arranger les choses alors que les sommes prévues pour le démantèlement des anciens réacteurs français sont déjà largement insuffisantes.A termes le contribuable devra mettre largement la main à la poche pour soutenir cette énergie aujourd'hui faussement la moins chère.
Ce qui est nouveau cependant , et qui est un symptôme grave c'est le fait que l'on accepte de l'a peu prêt dans la construction même de l'EPR en remettant à plus tard sa mise en conformité. Nos centrales nucléaire sont déjà dans un état de vétusteté inquiétant et ne bénéficient pas du niveau d'entretien nécessaire par manque de budget selon les dires des gents d'AREVA ( j'habite prés du Creusot), on peut donc légitimement se demander quand sera effectivement fait cette mise à niveau si elle l'est un jour. De plus on peut également se poser la question de la contamination de l'environnement et de la dangerosité pour les intervenants (probablement prestataires intérimaires) suite au travaux sur le couvercle d'un réacteur ayant déjà fonctionné.
Je pense pour ma part, vous l'avez compris que l'énergie nucléaire est désormais une énergie du passé coûteuse et dangereuse, et qu'il est largement temps de prendre un virage énergétique si l'on ne veut pas se retrouver à la traîne des autres pays européens de plus en plus nombreux a le faire. D'ici peu le nucléaire sera une technologie invendable et sans ce virage, nous aurons pris du retard une nouvelle fois sur nos voisins Allemands qui eux l'ont bien compris.

Le nucléaire n'est plus une énergie d'avenir et l'EPR est une technologie des années 80. Comment peut-on sérieusement envisager d'installer une cuve défectueuse sur une installation aussi sensible ? Comment peut-on faire confiance à des entreprises qui ont tout fait pour nous cacher le désastre de ce chantier ? Nous avons déjà dépensé 10 MDS d'€ pour le site de Flamanville - Hickley Point C en Angleterre en coûtera au moins 24 ! D'après la Cour des comptes, nous devrons dépenser 100 MDS d'€ d'ici à 2030 pour entretenir le parc existant et 25 MDS rien que pour le traitement des déchets nucléaires alors arrêtons les frais et investissons dans du durable !