Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Bonjour,
Je ne suis ni chercheuse ni ingénieur, mais en temps que citoyenne je souhaite livrer mon avis sur la question :
- Il me semble que l'argument le plus souvent avancé en faveur du nucléaire par l'industrie nucléaire française est qu'il s'agit d'une industrie sûre, que le nucléaire peut être dangereux mais que nous, Français, maîtrisons les procédés et sommes garants d'une bonne utilisation de cette énergie. Comment peut-on donc imaginer construire la plus grosse - et la plus puissante- centrale nucléaire jamais construite sur notre territoire contienne une pièce maîtresse contrefaite ??? Cela paraît incroyable, mais surtout pas acceptable.
- Si la solution retenue est de faire fonctionner cet EPR en sous régime, qui est une des solutions envisagées, cela ressemblerait à un double échec : impossibilité d'honorer l'objectif initial de puissance du réacteur d'une part, tout en ne garantissant pas pour autant la sécurité optimale d'autre part (qui nous dit qu'à puissance réduite il n'y aurait pas des risque, même plus faibles qu'à pleine puissance?)
- Comment peut-on faire confiance à EDF et AREVA concernant la construction puis l'exploitation de cette centrale, alors que notre confiance a été trahie puisqu'ils avaient connaissance de l'incapacité de l'usine Creusot forge à produire des pièces conformes ?

Pour ces raisons entre autres je m'oppose totalement à la poursuite de ce chantier que je trouve particulièrement dangereux et dont la tenue se situe clairement en deçà des exigences de service public.

Merci de prendre en compte les avis des citoyens, c'est de notre santé et de nos impôts dont il s'agit !

Franchement si ce n'est pas assez solide, cela peut être embarrassant ... Cette histoire est embarrassante. L'ASN accorde une durée de vie de 7 ans pour le couvercle de la cuve (?!?!). Vis a vis des coûts, franchement cela paraît court ... La centrale n'a pas démarrée. Pourquoi ne pas refondre une cuve de meilleure qualité? Je ne comprends pas très bien. Cela ne met pas à l'aise. Franchement çà fait peur. Sans du tout remettre en cause le travail des experts, je suis désolé mais à la lecture du projet d'avis de l'ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville, je ne peux pas m'empêcher de penser qu'en fait ... aussi bien, n'importe quoi pourrait aussi arriver ... Une rupture brutale ou ??? Depuis plusieurs années, le nucléaire français a fait preuve d'une très grande transparence (cette consultation y participe). Mais lancer une centrale nucléaire avec un chapeau de cuve jugé peu fiable (7 ans de vie ... pour moi c'est un peu du n'importe quoi! pardon mais ...) ... Je crois que pour moi ce ne peut pas être possible. C'est très inquiétant. Il me paraît beaucoup plus raisonnable de bloquer le projet en attente d'une cuve qui réponde aux critères de qualité exigée.

Nous ne voulons pas d'une centrale nucléaire encore plus dangereuse que les autres pour celle filière obsolète qui n'est en rien une solution durable au problème énergétique.
En effet, la cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

• La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

L'ASN est censée nous protéger ? Comme pour la qualité de l'information suite à Tchernobyl ?
L'ASN peut-elle simplement informer que cette technologie n'est pas fiable et qu'il vaut mieux songer à d'autres alternatives ?

• La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La mise en service de cette centrale est irresponsable, trop d'irrégularités sont mises en lumière! Le risque est trop grand.
• La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Bonjour
• La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.
Merci de votre bienveillance !

Consultation publique EPR

La cuve étant la pièce essentielle du réacteur, sa qualité doit être irréprochable ! Malheureusement, elle n'a pas les qualités requises car rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !!
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire encore confiance si les intérêts de l’industrie nucléaire passent avant la protection des populations ?!
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant et le principe de précaution doit prévaloir !
• Je ne peux comprendre, ni accepter, la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces avec des anomalies. Les citoyens français n'ont pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA, erreurs financées avec l'argent public et sans tenir compte de l'avis plus que "raisonnable" des citoyens... qui ne sont pas des idiots !
Ce chantier doit être arrêté !

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La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
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Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
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La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
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Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et A

• Une analyse rationnelle des problèmes techniques et économiques montre que l’EPR aurait dû être abandonné depuis longtemps, et ce projet se trouve dans une situation de double-contrainte très dangereuse
- soit transiger avec les normes de sécurité au nom d’un « impératif économique »… et perdre définitivement toute crédibilité.
- soit aller au bout de sa raison d’être et interdire la mise en oeuvre de cet EPR, dont les éléments ne satisfont pas aux normes de sécurité établies lors de sa conception.

• C’est de la responsabilité de l’ASR de sortir de la logique mortifère de la poursuite et du développement de l’EPR !

Les multiples défaillances aux conséquences graves sur les pièces de l’EPR (la cuve du réacteur, les soupapes …) attestent que l’EPR n'est pas de l'intérêt des citoyens.
Ne pas voir cet état de fait, construire l’EPR et mettre chacun devant le fait accompli n'a d'autres intérêts que financiers, au détriment de la sécurité de tous mais aussi de l'environnement.
• Il est impératif et urgent d’investir dans la recherche et le développement nécessaires aux filières d'énergies renouvelables : c'est le seul choix politique soutenable.

1/ L'affaire Creusot Forge a révélé des défaillances gravissimes dans le système de contrôle des activités nucléaires. Il est indispensable et prioritaire d'en rechercher les causes et de les traiter. Dans un tel contexte, il serait irresponsable d'autoriser la mise en service d'équipements critiques qui ne satisfont pas aux minima requis par la réglementation.

2/ Faute de pouvoir accéder à l'ensemble du dossier, toute contre-expertise est impossible.

3/ Les documents à disposition émanent tous d'organismes impliqués dans les dysfonctionnements qui ont conduit à l'installation des composants défectueux ;

4/ Le texte introductif de l'ASN induit d'ailleurs le lecteur en erreur, en présentant comme hypothétique l'altération bien réelle des propriétés mécaniques de l'acier des calottes ;

5/ Les conditions posées par l'ASN pour la mise en service (contrôle sous 30 mois pour le fond de cuve et limitation à 2024 de l'utilisation pour le couvercle) ne sont pas de nature à compenser la dégradation des performances de l'acier et ne démontrent pas qu'aucun défaut nocif ne peut apparaître avant ces échéances ;

6/ La dangerosité de l'EPR, réacteur de 1650 MWe dont la construction a été émaillé de nombreux problèmes et qui ne bénéficie d'aucun retour d'expérience, impose de proscrire toute diminution des marges de sécurité, toute zone d'ombre, toute remise en question du principe fondamental de défense en profondeur ;

7/ Areva et EDF ont sciemment passé outre leurs engagements, les prescriptions réglementaires et les rappels à l'ordre de l'ASN. Ils doivent en assumer les conséquences. Toute autre décision enverrait un signal délétère.