Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Il est tout à fait inconcevable d'autoriser une pièce défectueuse dans un réacteur nucléaire. Déjà que sans défaut, une centrale nucléaire présente un risque énorme pour toute la population et l'environnement aux alentours, il est hors de question de prendre un risque conscient qui pourrait avoir de graves conséquences. Les intérêts d'Areva et d'EDF ne doivent pas prévaloir face à la sécurité de la population.
Le scepticisme des français au sujet du nucléaire ne fait qu'augmenter à cause, entre autres, d'histoire comme celle ci. Il est temps de se montrer responsable!

Comment peut-on nous laisser croire que l'industrie nucléaire est une industrie non polluante, sans risque ? Quel sera le prix à payer quand il sera trop tard ! Tous les accidents nucléaires de part le monde devraient nous enseigner la sagesse ! Si la cuve n'est pas étanche car construite avec un acier de mauvaise qualité alors il faut abandonner le projet ! Nous savons tous qu'à l'heure d'aujourd'hui la course est au profit ! Et le profit ne nous est pas profitable ! Et l'industrie nucléaire n'échappe pas à ce
mécanisme privilégiant ses intérêts financiers à la sécurité des Hommes ! Il n'est pas encore trop tard pour prendre la bonne décision ! Il est temps de comprendre que cette industrie est passéiste, dangereuse et mortelle ! Il faut investir dans les énergies renouvelables ! Votre devoir en tant qu'autorité de sûreté nucléaire est d'assurer notre protection et de constater que cette cuve n'est pas viable et que ce projet d'EPR est un fiasco ! Continuer d'exister pour notre sécurité par un contrôle régulier et efficace des installations (malheureusement) existantes ! Vous avez notre avenir entre vos mains !

Christine Lerouge

Concernant la cuve de l'EPR de Flammanville, je n'accepte pas la prise de risques que constitue l'utilisation de pièces non conformes au cahier des charges requis au préalable. La cuve et son couvercle comportent des anomalies et nous font courir un risque incommensurable. La cuve étant une pièce essentielle du réacteur, et l'usine Creusot Forge d'Areva n'ayant pas été en capacité de fournir une pièce conforme aux norme de sureté, je n'accepte pas, pr moi, mes proches, les proches de mes proches ainsi que pr toutes les personnes et êtres vivants, la prise de risques que constitue cette utilisation de pièces défectueuses.
Nous, citoyens français, n'avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d'EDF AREVA. Développons les énergies renouvelables au lieu de polluer indubitablement et durablement, la terre qui nous permet de vivre!
Vous remerciant par avance de ne pas prendre notre santé à tous en otage,

La qualité de la cuve doit être irréprochable.
Or rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
Nous n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.
Le chantier doit être arrêté.

Et si on essayait de passer à une autre une énergie plus verte et sans risque. Le nucléaire à fait son temps. Il n'est pas fiable et coûte très cher.
Et si chaque bâtiment (particuliers, collectifs, agricoles, artisanaux, industriels...) produisait ses propres besoins en énergies ?!!..

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations.
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA

• La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La qualité du couvercle du réacteur n'étant pas conforme aux cahier des charges défini quant à la qualité de l'acier, celui-ci ne doit pas être utilisé. On ne transige pas avec la sécurité en matière de nucléaire je croyais que c'était une règle de base ! Les accidents nucléaires majeurs auxquels nous (citoyens du monde) avons et devons faire face, ont eu lieu dans des centrales conformes, et nous aurions nous Français, l'audace de mettre en fonctionnement du matériel ne répondant pas aux critères de qualité définis! Je le refuse pour la sécurité, le bien être et l'avenir de tous. Le nucléaire est une technologie dangereuse qui malgré les précautions prises laissera toujours une épée de Damoclès au-dessus de la tête d'innombrables générations, de par la radioactivité des déchets produits, il n'est donc pas envisageable d'en rajouter en acceptant le risque supplémentaire que représente cet acier défectueux. Le prinipe de précaution doit prévaloir. Pour mes enfants, ma famille, mes amis, et tous les habitants de cette planète, merci de prendre la plus sage décision, non à l'EPR déficient.

• La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable. La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Une fois la mise en service il ne sera plus possible d'intervenir pour réparer. Il faut arrêter les frais de cette gabegie financière de cet EPR. La seul chose que voit AREVA et EDF c'est qu'il faut absolument mettre en service cet EPR quelque soit les risques pour espérer enfin en vendre ensuite ailleurs. Que la sécurité des personnes et de l'environnement soit plus importante que les enjeux financier.