Projet d’avis de l’ASN relatif à l’anomalie de la composition de l’acier du fond et du couvercle de la cuve du réacteur EPR de la centrale nucléaire de Flamanville (INB n° 167)

Puisque la cuve, pièce essentielle du réacteur, n'a pas les caractéristiques requises, que rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale, AREVA et EDF doivent faire machine arrière et renoncer à terminer l'EPR. C'est aussi le seul moyen de retrouver la confiance des usagers et d'échapper, en cas d'accident, à l'accusation de crime contre l'humanité. Si AREVA et EDF s'obstinent, il ne faudra pas s'étonner que les jeunes générations se détournent de la filière nucléaire alors que nous avons besoin d'ingénieurs pour entretenir le parc de nos centrales et démanteler les plus vieilles d'entre elles . Un peu de courage, d'honnêteté et de sens des responsabilités à l'égard de ceux qui viendront après nous, s'il vous plaît !

Puisque la cuve, pièce essentielle du réacteur, n'a pas les caractéristiques requises, que rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale, AREVA et EDF doivent faire machine arrière et renoncer à terminer l'EPR. C'est aussi le seul moyen de retrouver la confiance des usagers et d'échapper, en cas d'accident, à l'accusation de crime contre l'humanité. Si AREVA et EDF s'obstinent, il ne faudra pas s'étonner que les jeunes générations se détournent de la filière nucléaire alors que nous avons besoin d'ingénieurs pour entretenir le parc de nos centrales et démanteler les plus vieilles d'entre elles . Un peu de courage, d'honnêteté et de sens des responsabilités à l'égard de ceux qui viendront après nous, s'il vous plaît !

Puisque la cuve, pièce essentielle du réacteur, n'a pas les caractéristiques requises, que rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale, AREVA et EDF doivent faire machine arrière et renoncer à terminer l'EPR. C'est aussi le seul moyen de retrouver la confiance des usagers et d'échapper, en cas d'accident, à l'accusation de crime contre l'humanité. Si AREVA et EDF s'obstinent, il ne faudra pas s'étonner que les jeunes générations se détournent de la filière nucléaire alors que nous avons besoin d'ingénieurs pour entretenir le parc de nos centrales et démanteler les plus vieilles d'entre elles . Un peu de courage, d'honnêteté et de sens des responsabilités à l'égard de ceux qui viendront après nous, s'il vous plaît !

Puisque la cuve, pièce essentielle du réacteur, n'a pas les caractéristiques requises, que rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale, AREVA et EDF doivent faire machine arrière et renoncer à terminer l'EPR. C'est aussi le seul moyen de retrouver la confiance des usagers et d'échapper, en cas d'accident, à l'accusation de crime contre l'humanité. Si AREVA et EDF s'obstinent, il ne faudra pas s'étonner que les jeunes générations se détournent de la filière nucléaire alors que nous avons besoin d'ingénieurs pour entretenir le parc de nos centrales et démanteler les plus vieilles d'entre elles . Un peu de courage, d'honnêteté et de sens des responsabilités à l'égard de ceux qui viendront après nous, s'il vous plaît !

Puisque la cuve, pièce essentielle du réacteur, n'a pas les caractéristiques requises, que rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale, AREVA et EDF doivent faire machine arrière et renoncer à terminer l'EPR. C'est aussi le seul moyen de retrouver la confiance des usagers et d'échapper, en cas d'accident, à l'accusation de crime contre l'humanité. Si AREVA et EDF s'obstinent, il ne faudra pas s'étonner que les jeunes générations se détournent de la filière nucléaire alors que nous avons besoin d'ingénieurs pour entretenir le parc de nos centrales et démanteler les plus vieilles d'entre elles . Un peu de courage, d'honnêteté et de sens des responsabilités à l'égard de ceux qui viendront après nous, s'il vous plaît !

Puisque la cuve, pièce essentielle du réacteur, n'a pas les caractéristiques requises, que rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale, AREVA et EDF doivent faire machine arrière et renoncer à terminer l'EPR. C'est aussi le seul moyen de retrouver la confiance des usagers et d'échapper, en cas d'accident, à l'accusation de crime contre l'humanité. Si AREVA et EDF s'obstinent, il ne faudra pas s'étonner que les jeunes générations se détournent de la filière nucléaire alors que nous avons besoin d'ingénieurs pour entretenir le parc de nos centrales et démanteler les plus vieilles d'entre elles . Un peu de courage, d'honnêteté et de sens des responsabilités à l'égard de ceux qui viendront après nous, s'il vous plaît !

Puisque la cuve, pièce essentielle du réacteur, n'a pas les caractéristiques requises, que rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale, AREVA et EDF doivent faire machine arrière et renoncer à terminer l'EPR. C'est aussi le seul moyen de retrouver la confiance des usagers et d'échapper, en cas d'accident, à l'accusation de crime contre l'humanité. Si AREVA et EDF s'obstinent, il ne faudra pas s'étonner que les jeunes générations se détournent de la filière nucléaire alors que nous avons besoin d'ingénieurs pour entretenir le parc de nos centrales et démanteler les plus vieilles d'entre elles . Un peu de courage, d'honnêteté et de sens des responsabilités à l'égard de ceux qui viendront après nous, s'il vous plaît !

Puisque la cuve, pièce essentielle du réacteur, n'a pas les caractéristiques requises, que rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale, AREVA et EDF doivent faire machine arrière et renoncer à terminer l'EPR. C'est aussi le seul moyen de retrouver la confiance des usagers et d'échapper, en cas d'accident, à l'accusation de crime contre l'humanité. Si AREVA et EDF s'obstinent, il ne faudra pas s'étonner que les jeunes générations se détournent de la filière nucléaire alors que nous avons besoin d'ingénieurs pour entretenir le parc de nos centrales et démanteler les plus vieilles d'entre elles . Un peu de courage, d'honnêteté et de sens des responsabilités à l'égard de ceux qui viendront après nous, s'il vous plaît !

Je trouve que installer une cuve défecueuse c'est prendre beaucoup de risques une pollution nucléaire n'est pas anodine.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n’est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
Je n’accepte pas la prise de risque que constitue l’utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Moi, citoyen français, n’ai pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et d’AREVA.

Bonjour,
Je sais que les enjeux économiques autour de ce projet sont importants. Néanmoins, quelle que soit leur ampleur, ils ne devraient pas primer sur la sécurité de l'ensemble des citoyens. Les informations disponibles sur la qualité de l'acier utilisé pour construire la cuve de l'EPR me paraissent très préoccupantes. EDF et AREVA devraient prendre leurs responsabilités en proposant a minima une construction irréprochable ou en arrêtant tout simplement ce projet, qui traine depuis trop longtemps et qui ne crée que des problèmes et des surcoûts.

Nous savons tous que le parc des centrales nucléaires françaises est trop vieux...et donc, présente des faiblesses...comme tout ce qui "prend de l'âge". (Usure naturelle liée au temps malgré la maintenance régulière). Il va donc falloir le démanteler dans les années à venir. Nous avons déjà assez joué avec la vie des populations vivant dans un certain périmètre de certaines centrales qui ont mal vieilli. Feschenheim a été très médiatisée mais l'on ne parle pas de Chinon (p. ex.) alors même que les habitants situés dans ce périmètre tombent comme des mouches car le taux de cancers y est très (anormalement ?) élevé. (Vous savez, c'est la fameuse centrale que l'on peut survoler sans être inquiété...et l'on peut même pénétrer dans son enceinte !) Et bien d'autres centrales dont je ne nommerais pas le nom sont aujourd'hui dangereuses.
Or, nous avons vu qu'EDF avait très largement sous-estimé le coût du démantèlement des centrales françaises. En effet, Brénilis (en Bretagne) en est l'exemple parfait. (Centrale, qui, entre-nous soit dit est un parfait exemple d'échec d'EDF car elle n'a jamais fonctionné correctement. Combien de fois avons-nous vu des militaires, mitraillette au côté, nous interdisant l'accès des routes bretonnes dans un périmètre large tout autour de la centrale ! EDF a non seulement exposé les habitants de cette région à des risques pour la santé-(ils expliquaient que le taux élevé de cancers était dû au sous-sol granitique...alors qu'il a toujours été granitique en Bretagne me semble-t-il !...et que les gens n'en mourraient pas). Mais EDF a aussi littéralement "explosé" son budget démantèlement, car ceux-ci n'avaient pas planifié qu'il faudrait mettre en caisson jusqu'à la moindre poussière.
Voilà donc ce qui nous attend pour le démantèlement des autres centrales !!!! ...Et, faites le calcul sur le nombre faramineux de centrales au km2 que nous avons en France !!!!!!
Comment EDF pourra payer déjà cela ?
Pourquoi se lancer dans un nouveau projet alors que les comptes sont déjà dans le rouge ?
(Il faut rappeler qu'AREVA, qui était, de notoriété publique (et même financière), un organisme SOLIDE, a coulé et qu'EDF a dû le racheter de toute urgence malgré sa dette !!!)
Nous jouons avec le feu car, pour le moment EDF obtient encore des crédits (pour le rachat d'AREVA, pour la construction de l'EPR (ici, mais n'oublions pas qu'il y en avait aussi un de prévu au Royaume-Uni, en Chine, et où encore ????)
Votre banquier vous prête-t-il de l'argent lorsque vous êtes carrément dans le rouge ????
EDF aurait donc tout misé sur l'EPR pour se renflouer ?
Et si l'EPR ne fonctionnait pas ?
Passons outre le désastre humain et écologique que cela générerait pour la planète-(qui n'est apparemment qu'un aléa pour EDF car il continue à mettre la vie de personnes en danger en s'entêtant à ne pas démanteler des centrales dangereuses et en mettant l'argent qui serait nécessaire à ce démantèlement dans un projet complètement fou dont les "lacunes" : cuve, acier, couvercle,...ne sont plus à prouver).
Comment démantèlerions-nous les autres centrales dangereuses après cette échec cuisant d'EDF qui se discréditerait auprès du monde entier ainsi qu'auprès des organismes bancaires ?
Nous rentrerions donc dans une spirale VRAIMENT INFERNALE...au sens littéral du terme.
Mieux vaut donc un projet (qui nous aura coûté très cher) mais laissé en plan-(ce ne serait pas le 1er en France !)-plutôt qu'un désastre humain et écologique ainsi qu'une situation dont nous ne pourrions plus sortir, non ?

• La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.