Modifications d’échéances réglementaires concernant le silo 130 (INB n° 38) exploité par AREVA NC dans son établissement de La Hague

Plus de 6 ans de retard et plus de 7 milliards de dépassement, il serait peut être temps d'arrêter de jouer avec la vie des citoyens !! Cher, dangereux, inutile : le réacteur EPR doit être abandonné ! C'est une bombe à retardement !
- Des malfaçons en séries, le plus souvent camouflées par EDF et AREVA qui n'informe qu'en 2015 l'ASN des défauts sur la cuve, alors qu'ils étaient connus depuis 2006 !
- Des conditions de travail déplorables : 2 ouvriers décédés en 2011, 112 accidents du travail non déclarés, 460 ouvriers étrangers exploités, 10 millions d'euros escroqués a l'URSSAFF
- Une cuve fragile : avec de l'eau a haute pression ( + de 320°C) et du combustible, la cuve est une pièce cruciale et doit être INCASSABLE !! Or certaines parties ont été forgées selon un procédé inapropprié et des fissures pourraient apparaitre
- Et que dire du Mox, que personne ne sait recycler ??

LE SITE DE LA HAGUE EST LA PLUS GRANDE RESERVE RADIOACTIVE NUCLEAIRE DE LA PLANETE !!! ARRETEZ LE MASSACRE !!

C'est officiel! le nucléaire n'est plus aussi rentable (l'a-t-il jamais été?) que les renouvelables. Arrêtez donc ce projet fou, arrêtez de gaspiller NOS moyens et de mettre en danger la vie de tous les citoyens d'Europe de l'Ouest. Tournez vous vers des énérgies plus sûres ET PLUS RENTABLES POUR VOUS.

En attendant, et concernant la question posée:

• La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Arrêtez d'investir dans le nucléaire avant qu'il ne soit trop tard. L'EPR a été construit avec des pièces non conformes aux normes de sécurité. C'est CRIMINEL de le mettre en service.Combien d'argent allez vous encore gaspiller dans cette énergie fossile dont nous ne savons plus comment stoker les déchets? Investissez dans les énergies renouvelables car c'est l'avenir de nos enfants qui est en grand danger. N'atteignez pas le point de non retour!
Un peu de courage et de fermeté pour ne pas favoriser les intérêts économiques d'EDF et D'AREVA au détriment de la sécurité des populations. A quoi servez-vous sinon!?

Le budget pour la construction de l'EPR a déjà été plus que doublé par rapport au budget prévisionnel, cet argent aurait pu être investi dans des structures de production d'électricité sûres telles que l'éolien, le photovoltaïque... De plus, AREVA emploie des travailleurs détachés alors que des millions de Français sont au chômage...
• La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

A quoi servent les organisations, les normalisations, les études innombrables qui même à l’élaboration d’un tel projet si on se permet de faire un travail approximatif ?
En matière de Nucléaire il faut être ferme et faire autorité !
Ne misé pas sur le hasard, la prudence est de mise quand l’enjeu porte sur des générations. On dit souvent qu’un accident nucléaire proviens de plusieurs erreurs, ne commençons pas avec une anomalie, car quand les erreurs arriveront et elles arriveront un jour, le risque d'accident sera bien plus grand.
Être ferme et faire autorité !

Une chose qui semble irréelle et totalement affolante, c'est qu'une entreprise traitant d'un sujet aussi sensible et dangereux que le nucléaire puisse connaître des "aléas", en six années sur un programme. Ainsi, en 2016, elle "s'aperçoit" qu'elle ne peut tenir des engagements de 2010 ! Et ce n'est pas une blague ! C'est même très sérieux. Il faut le vivre pour le croire ! Alors que le nucléaire engage les populations dans une voie, dont on peut penser qu'elle est bordée de beaucoup d'inconnu et de surprise, cette affaire le montre aisément, pour des centaines d'années. Que dire... Sans doute, que la maîtrise de cette filière paraît hasardeuse et imprévisible. A ce propos, une partie de la définition du Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales d'aléas, oui le terme employé dans le projet de modification de décision des échéances :
B.− Cour. [Souvent au plur. et avec un adj. ou un compl. déterminatif] Risque, inconvénient que l'on envisage sans pouvoir l'imaginer avec précision ou le situer avec exactitude dans le temps :
4. Elle m'entretenait souvent de mon avenir, m'expliquait diverses professions, leurs avantages, leurs « aléas », ... J. de Lacretelle, Silbermann,1922, p. 17.
Rem. Syntagmes rencontrés léger aléa, − imprévu, petit -, sans aléas, les aléas du métier, du sort; offrir, présenter, comporter trop d'aléas.
− Il semble que la notion de risque tende à supplanter celle d'imprévisibilité :
5. Je ne pouvais admettre que nos troupes restassent l'arme au pied, pour un temps indéterminé, tandis que le sort du monde se jouait dans les batailles. Plutôt que d'en venir là, je préférais prendre l'aléa d'un changement d'orientation. Ch. de Gaulle, Mémoires de guerre,L'Appel, 1954, p. 252.
Rem. Aléa devient ainsi un synon. noble et superlatif de risque, avec peut-être une nuance d'« aventure ».
Oui, c'est vrai, c'est la grande aventure...Mais elle n'engage pas que ceux qui décident !
Heureux d'avoir eu la possibilité, modeste, de m'exprimer sur le sujet.

Sur le site de Flamanville/La Hague, les coûts du démontage des réacteurs n'ayant pas été estimés et les techniques de démontage étant balbutiantes comme croire votre projet EPR comme Viable, Fiable et Efficient ?
La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être irréprochable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !
• Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l'usine Creusot Forge d'AREVA n'était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C'est pourtant là que les pièces de l'EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l'industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !
• La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !
• Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n'avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d'EDF et AREVA.
aucune alternative non nucléaire à été prévue, l'élévation probable du niveau des mers, et du niveau du réchauffement climatique pose question pour toutes les centrales en bord de mer.
Alors, stop aux gabegies, stop aux solutions partielles (on construit et après on verra !)
Arrêtez cette opération.