Mise en service partielle du réacteur EPR de Flamanville pour l’arrivée de combustible nucléaire dans le périmètre du réacteur

A ce stade du chantier de construction de l'EPR il existe toujours un risque qu'il n'aille pas jusqu'au bout et ne soit donc jamais connecté au réseau, et ce pour plusieurs raisons :
- des raisons techniques (peu probables), et/ou malfaçons...
-des raisons politiques, par exemple suite à un changement de majorité à l'AN après 2022, et un abandon de l'énergie nucléaire
-des raisons environnementales, par exemple une pente d'élévation du niveau des océans incompatible avec les durées d'exploitation puis de démentellement prévues.
Ce chantier n'a pas brillé par le respect du calendrier, et encore moins des coûts, rajouter quelques mois supplémentaires pour attendre le dernier moment pour le chargement du combustible ne changera rien à la rentabilité du chantier pour l'exploitant.
Je demande donc l'emission d'un avis défavorable

L'ASN pourait-elle éclairer les personnes voulant donner un avis sur la méthode de transport des assemblages conbustibles très peu connue du public à la différence des TN plus "médiatisés". Sur les emballages , par exemple quelles sont les différences entre les FCC3 et FCC4 et autres éléments permettant de se faire une opinion sur la sûreté de ces nombreux transports.

L'ASN pourrait-elle expliquer pourquoi avoir joint l'approvisonnement en combustible avec les essais avec les gaz radioactifs. A première vue on ne comprend pas le rapport direct entre les deux opérations. Deux dossiers distincts auraient pu paraitre plus cohérents.

De même il serait bon de justifier en quoi ces transports sont "utiles" maintenant pour un chargement prévu fin 2022, au plus tôt.