Site de Saint-Laurent-des-Eaux

Site de Saint-Laurent-des-Eaux

Le site de Saint‑Laure nt‑des‑Eaux, situé sur le territoire de la commune de Saint‑Laurent‑Nouan dans le Loir‑et‑Cher, en bord de Loire, comporte différentes installations nucléaires, certaines en fonctionnement et d’autres en cours de démantèlement. La centrale nucléaire de Saint‑Laurent‑des‑Eaux comporte deux réacteurs B1 et B2 en fonctionnement d’une puissance de 900 MWe, mis en service en 1980 et 1981, qui constituent l’INB 100. Le site comporte également deux anciens réacteurs nucléaires A1 et A2 de la filière UNGG en phase de démantèlement et les deux silos d’entreposage des chemises de graphite provenant de l’exploitation des réacteurs A1 et A2.

La centrale nucléaire de Saint‑Laurent‑des‑Eaux comporte deux réacteurs B1 et B2 en fonctionnement, mis en service en 1980 et 1981, qui constituent l’INB 100.

Centrale nucléaire de Saint-Laurent-des-Eaux

Le site de la centrale est situé sur le territoire de la commune de St- Laurent Nouan sur le département du Loir et Cher en bordure de la rive gauche de la Loire. Il se trouve approximativement à mi-distance entre Orléans (à 32 km au nord-est) et Blois (à 24 km au sud-ouest). Le site comporte 2 réacteurs du type REP d'une puissance de 900 MWe (palier CP2). Les réacteurs 1 et 2 constituent l'installation nucléaire de base 100.

 

Le site comporte également deux anciens réacteurs nucléaires A1 et A2 de la filière UNGG en phase de démantèlement, et les deux silos d’entreposage des chemises de graphite provenant de l’exploitation des réacteurs A1 et A2.

Réacteurs A1 et A2 en démantèlement de Saint-Laurent-des-Eaux

Le site de Saint-Laurent-des-Eaux comprend aussi les installations à l'arrêt et en cours de démantèlement de deux réacteurs de la filière UNGG (uranium naturel-graphite-gaz). L’ancienne centrale de Saint‑Laurent‑des‑Eaux constitue une installation nucléaire de base qui comprend deux réacteurs UNGG « intégrés », les réacteurs Saint‑Laurent‑des‑Eaux A1 et A2. Leur mise à l’arrêt définitif a été prononcée respectivement en 1990 et 1992. Le démantèlement complet de l’installation a été autorisé par le décret du 18 mai 2010.

Date de la dernière mise à jour : 22/05/2025