Projet de décision de l’ASN fixant des prescriptions relatives aux modalités de prélèvement, de consommation d’eau et de surveillance dans l’environnement, durant la réalisation des essais périodiques du circuit d’eau de nappe de l’INB n° 67

Madame, Monsieur,
Il me semble que l'information présentée ici est insuffisante pour éclairer le public sur les impacts de la présente décision.
Au vu des enjeux de sécurité liés au refroidissement des réacteurs, je ne saurais m'opposer à la décision ici présente. Mais pour quelles conséquences? Quel est le volume d'eau moyen dans cette nappe, sa sensibilité, quels seront les volumes prélevés au total? Comment seront-il traités? Cette nappe est-elle par ailleurs utilisée pour l'approvisionnement en eau d'autres acteurs? Quel impact des essais par rapport à son renouvellement? Quel impact des travaux de forage? Quelles garanties sur l'entretien dans le temps de ce forage?
Par ailleurs, ce besoin d'eau de refroidissement vital pour l'énergie nucléaire fait bien apparaître l'inadéquation de cette source d'énergie face aux déréglements climatiques à venir et l'incertitude qui pèse sur la disponibilité de cette ressource à tout moment et sur le long terme auprès de l'ensemble de nos centrales nucléaires. Ainsi, la décision qui s'impose face à ce genre de mesures est le retrait du nucléaire.

Quelle idiotie!!!: des "aléas extrêmes...pouvant aboutir à la perte de refroidissement du réacteur" et vous trouvez comme seule solution de pomper dans les nappes souterraines !!! Ok vous êtes fous! Les nappes souterraines ne sont pas des ressources infinies en aucun cas elles devraient servir de la sorte! après s'être approprié les terrains, avoir exploité, gaché, abimé la faune, la flore ls océans, d'enterrer vos merdes dans les sols, reste plus qu'a aller pomper le trésor de l'eau qui dort! Nous savons pertinemment que nous allons être face à un problème majeur concernant la ressource en eau et vous pompez dedans pour alimenter ces réacteurs dont on ne veut pas!, qui saccagent l'environnement et infligent d'autres impacts dont nous n'avons pas encore conscience ?!
Arrêtez ça... Mettez tout en place : votre énergie, votre argent, vos scientifiques...pour arrêter ce massacre ! Assurez notre SÛRETÉ celles de nos enfants petits enfants et petits petits enfants! NOndidju! Merci.

Je trouve encore hallucinant qu'en 2017 de ne pas se rendre compte du danger effroyable du nucléaire, on parle de Tchernobyle et Fukushima, mais on ne parle pas des pollutions des rivières, des terres autours des centrales et de bien d'autres choses.
La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

AGIR
EPR : 8 semaines pour demander à l’ASN d’agir Le mois dernier, nous nous
NUCLÉAIRE
Incroyable : on vous demande votre avis sur le nucléaire !
Le 25 juillet 2017

Sous la pression d’EDF et d’Areva, et au mépris des impératifs de sûreté nucléaire, l'Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) est sur le point de donner le feu vert aux pièces défectueuses de l'EPR : sa cuve et son couvercle. Une fois n’est pas coutume : jusqu’au 12 septembre prochain, l’ASN consulte les Français sur cette décision. Nous devons répondre à ce passage en force qui marque une nouvelle étape dans la mise en danger des populations par EDF. La tâche est un peu ardue, mais on vous explique comment faire !

EPR : 8 semaines pour demander à l’ASN d’agir

Le mois dernier, nous nous sommes réunis devant le chantier de l’EPR de Flamanville pour dénoncer l’irresponsabilité d’EDF et d’AREVA et interpeller le ministre de la Transition écologique et solidaire, Nicolas Hulot. Objectif : refuser que la sûreté nucléaire soit sacrifiée pour sauver une industrie en faillite.

Pour rappel, le mois dernier l’ASN donnait un feu vert de principe à la cuve de l’EPR, malgré de graves anomalies avérées. Même si l’ASN précise que le couvercle de la cuve devra être changé en 2024, cela signifie que pendant six ans l’EPR fonctionnerait avec un couvercle défectueux et non contrôlé… une véritable roulette russe.

Face à ces reculades inacceptables, et pour une fois qu’on nous demande notre avis, ne nous gênons pas pour faire entendre notre désaccord haut et fort !

Comment participer à cette consultation ?

Répondre à cette consultation lancée en plein milieu de l’été n’est pas une mince affaire...il ne faudrait pas que ce soit trop facile ! Nous vous proposons ci-dessous un petit guide pour faire de cet exercice digne des 12 travaux d’Astérix un jeu d’enfant.

ÉTAPE 1 : créez votre compte !

C’est ici.

ÉTAPE 2 : vous avez dû recevoir un e-mail de l’ASN. Ouvrez-le pour valider votre compte.

ÉTAPE 3 : ouf, vous pouvez ENFIN participer.

Rendez-vous tout en bas de la page de consultation et laissez votre commentaire ! Nous devons rappeler à l’ASN les points suivants :

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n’a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d’une rupture brutale !
Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence…comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

La cuve est la pièce essentielle du réacteur. Sa qualité doit être impeccable ! Or, elle n'a pas les caractéristiques requises : rien ne permet de surveiller son évolution et de prévenir le risque d'une rupture brutale !

Dès 2005, AREVA et EDF étaient parfaitement au courant que l’usine Creusot Forge d’AREVA n’était pas en capacité de produire des pièces conformes aux normes de sûreté. C’est pourtant là que les pièces de l’EPR ont été fabriquées ! Ils ont laissé faire dans le silence...comment leur faire confiance ? Les intérêts de l’industrie nucléaire ne doivent pas passer avant la protection des populations !

La cuve ne doit pas être qualifiée avec son acier actuel. Le niveau de sûreté n'est pas satisfaisant, le principe de précaution doit prévaloir !

Nous n'acceptons pas la prise de risque que constitue l'utilisation de pièces comportant des anomalies. Le chantier doit être arrêté ! Nous, citoyens français, n’avons pas à payer le prix des erreurs stratégiques et techniques d’EDF et AREVA.

Bonjour,

Vous avez trouvez des "aléas extrêmes...pouvant aboutir à la perte de refroidissement du réacteur" et vous trouvez comme seule solution de pomper dans les nappes souterraines !!! Mais vous êtes fous ? Nous savons pertinemment que nous allons être fasse à un problème majeur concernant la ressource en eau et vous pompez dedans pour alimenter ces réacteurs qui saccagent l'environnement et infligent d'autres impacts dont nous n'avons pas encore conscience ?!
Arrêtez ça... Mettez tout en place : votre énergie, votre argent, vos scientifiques...pour arrêter ce massacre ! Assurez notre SÛRETÉ ! Merci.

- Dans tous les domaines d'activités humaines, il y a eu des pannes, des incidents, des accidents et des catastrophes.
Kychtym, Three Miles Island, Tchernobyl, Fukushima démontrent s'il le fallait que "le" nucléaire ne fait pas exception à cette donnée d'évidence.
La différence avec la période soviétique est que ce pays ne disposera pas de "liquidateurs" prêt-e-s à se sacrifier.
- enfouir loin des yeux, de la vie économique (en apparence), loin de l'actualité, les déchets téramillénaires qu'il en résulte est une ineptie sans nom. Aucune garantie ne peut être donnée pour le très long terme. Si tous les tombeaux et mausolées de toutes les sociétés ont été violés tôt ou tard, le site de Bures ne fera pas exception, avec des conséquences qui seront dramatiques. Le fonctionnement même du système ne peut être garantit pas plus que le nouveau et super sarcophage de Tchernobyl.
- j'ai simplement envie de dire arrêtons les frais ... tout en sachant que cette activité coûtera encore longtemps à nos successeur-e-s. Cela d'autant plus que les autres technologies énergétiques sont de moins en moins coûteuses. Et nous avons de moins en moins de moyens.

Vous croyez vraiment qu'en cas de séisme cumulé à une inondation lié à la rupture du barrage, vous pourrez maintenir un niveau de sécurité suffisant en pompant l'eau d'une nappe? C'est de l'enfumage, vous n'y croyez certainement pas vous-même. Continuer un système qui n'a plus d'avenir par résilience et par peur du changement (et du manque à gagner dans le portefeuille d'AREVA) est criminel dans le cas du nucléaire. Ne jouez pas avec nos vies pour vos profits. Les énergies de demain sont les énergies renouvelable.